Structure du bilan : actif
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31).
- Trésorerie et équivalents
- La proportion de trésorerie et équivalents par rapport à l’actif total a présenté une tendance volatile au cours de la période. Elle a enregistré une augmentation significative à partir de 12,29 % au troisième trimestre 2014, culminant à 28,27 % au deuxième trimestre 2016. Par la suite, une baisse progressive est observée, revenant à environ 7,73 % à la fin de la période, ce qui indique une réduction de la liquidité immédiate relative de l’entreprise.
- Créances déduction faite des provisions
- La part des créances a connu une baisse notable entre 2014 et 2016, passant d’environ 21,58 % à 14,39 %. Après cette période, une légère reprise est perceptible, atteignant plus de 21 % en 2018. Cette évolution pourrait refléter une amélioration ou une dégradation des délais de paiement ou de la qualité des créances, selon l’état de l’activité commerciale.
- Inventaires
- La proportion d’inventaires est relativement stable, oscillant autour de 11 %, avec une baisse significative à 6,54 % au quatrième trimestre 2015. Ensuite, une légère augmentation se manifeste, culminant à 11,65 % à la fin de 2018. La gestion des inventaires semble fluctuante mais globalement maîtrisée.
- Actifs détenus en vue de la vente
- Ce poste apparaît seulement à partir du début 2015, représentant environ 6,87 % du total en 2015, puis fluctuant autour de 5,7 %. La présence limitée et la stabilité relative suggèrent une gestion encadrée des actifs destinés à la cession.
- Autres actifs circulants
- Ce poste montre une légère tendance à la stabilité, oscillant entre 3,39 % et 7,56 %, avec quelques pics en 2015 et 2016. La variation reste modérée, indiquant une gestion constante de ces actifs à court terme.
- Actif circulant
- La proportion d’actifs circulants a connu des variations importantes, avec une hausse à près de 58,49 % au quatrième trimestre 2015, puis une baisse à environ 42,92 % à la fin de 2018. Ces fluctuations reflètent des changements dans la liquidité globale ou la structure de l’actif à court terme de l’entreprise.
- Immobilisations corporelles
- La part des immobilisations corporelles a généralement diminué de près de 39,18 % en 2014 à environ 34,49 % en 2018. Cette tendance pourrait indiquer une cession ou une amortissement accru des actifs physiques ou une hausse du poids des autres actifs.
- Survaleur
- La survaleur a augmenté progressivement, passant de 7,5 % en 2014 à plus de 10,87 % en fin de période, illustrant une augmentation de la valeur des actifs incorporels ou des goodwill. Cette évolution peut signaler des acquisitions ou une revalorisation des actifs incorporels.
- Impôts différés
- Ce poste apparaît à partir de 2016, représentant environ 4,34 % à 8,81 % de l’actif total. La présence intermittente et la variation modérée indiquent une gestion des différences temporaires d’imposition, probablement liées à des amortissements ou des provisions.
- Autres actifs
- Ce poste présente des fluctuations mineures autour de 6 à 9 %, sans tendance claire. La stabilité relative suggère une gestion constante des autres types d’actifs non classés dans les autres catégories.
- Actifs non courants
- La proportion d’actifs non courants a connu une baisse progressive, de plus de 54,8 % en 2015 à environ 55,6 % en 2018. Cette réduction reflète une tendance à une plus grande proportion d’actifs à court terme dans la structure globale de l’actif, ou une réduction relative des actifs à long terme.