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- État du résultat global
- Bilan : passif et capitaux propres
- Structure du bilan : actif
- Structure du bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
- Ratio prix/chiffre d’affaires (P/S) depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31).
- Tendance de la part des services dans le chiffre d’affaires
- La proportion des services dans le chiffre d’affaires a montré une légère baisse entre 2014 (76,18%) et 2016 (70,12%), puis a augmenté en 2017 (74,72%) pour atteindre 76,87% en 2018. Cela indique une domination constante de cette activité, avec une recrudescence en 2017 et 2018, suggérant une stratégie axée sur les services à partir de cette période.
- Évolution de la part des ventes de produits
- Les ventes de produits représentaient environ 23,82% du chiffre d’affaires en 2014, avec une tendance à la hausse jusqu’en 2016 (29,88%). Cependant, cette part a diminué à 25,28% en 2017 puis à 23,13% en 2018. La réduction en 2017 et 2018 pourrait refléter une concentration accrue sur les services ou une baisse relative des ventes de produits.
- Évolution du coût des services et des ventes
- Le coût des services en pourcentage du chiffre d’affaires a augmenté de 63,76% en 2014 à 70,83% en 2016, puis a fluctué autour de 68-69% en 2017 et 2018. Le coût des ventes de produits a connu une croissance relative, atteignant 23,73% en 2016, avant de diminuer légèrement à 18,41% en 2018. La proportion globale des coûts liés aux activités principales est élevée, mais tend à se stabiliser en 2018, malgré une augmentation de la rentabilité brute en fin de période.
- Évolution de la marge brute
- La marge brute en pourcentage du chiffre d’affaires a fortement diminué de 16,25% en 2014 à 5,44% en 2016, reflétant une compression de la rentabilité brute. Par la suite, elle s’est améliorée, atteignant 10,98% en 2017 puis 12,44% en 2018, indiquant une amélioration de la rentabilité opérationnelle brute au dernier exercice.
- Impact des coûts liés à la fusion et des dépréciations
- Les coûts liés à la fusion et indemnités de résiliation ont connu une importante augmentation à -25,54% en 2017, après une faible valorisation de 0,05% en 2014 et 1,3% en 2015, ce qui a fortement pesé sur le résultat opérationnel cette année-là. Les dépréciations et autres charges ont également augmenté notablement, atteignant 21,13% en 2016, avant de diminuer à 1,1% en 2018, participant à la détérioration des marges en 2016 et leur amélioration ultérieure.
- Résultat d’exploitation (marge d’exploitation)
- Ce ratio a connu une tendance très volatile, passant d'un bénéfice de 15,51% en 2014 à une perte importante de -42,66% en 2016. La perte significative en 2016 est principalement liée à l’impact combiné des coûts exceptionnels et de la dégradation de la marge brute. La situation s’est améliorée en 2017 (6,61%) puis en 2018 (10,28%), indiquant une reprise progressive de la performance opérationnelle.
- Charges et revenus d’intérêts
- Les charges d’intérêts ont augmenté en 2015 (-1,96%) puis ont atteint un pic en 2016 (-4,39%), avant de diminuer à -2,49% en 2018. Les revenus d’intérêts ont été faibles mais positifs tout au long de la période, atteignant un maximum de 0,54% en 2017. La contribution nette des charges et revenus d’intérêts reste faible dans le résultat général, mais leur évolution reflète une gestion relativement stable de la dette financière.
- Résultat avant impôts et bénéfice net
- Le résultat avant impôts a fluctué considérablement, passant d’un bénéfice de 14,34% en 2014 à une perte de 48% en 2016, puis retrouvant un signe positif à 7,56% en 2018. Le bénéfice net a suivi une tendance similaire, concluant la période à un résultat positif de 6,91% en 2018 après une perte de 36,31% en 2016. La reprise en 2017 et 2018 indique une amélioration significative de la rentabilité globale.
- Résultat attribuable à la société et aux activités poursuivies
- Le bénéfice net attribuable à la société a connu une progression, passant d’une perte de 2,84% en 2015 à un bénéfice de 6,9% en 2018, après un creux en 2016 (perte de 36,27%). La part liée aux activités poursuivies a suivi un schéma similaire, avec une forte dégradation en 2016 puis une récupération partielle en 2017 et 2018.