Structure du bilan : passif et capitaux propres
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Kinder Morgan Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- Bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de rentabilité
- Rapport valeur/ FCFF d’entreprise (EV/FCFF)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2010
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2010
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2010
- Ratio prix/chiffre d’affaires (P/S) depuis 2010
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31).
- Évolution de la portion actuelle de la dette
- La part de la dette considérée comme à court terme a montré une augmentation significative entre 2015 et 2018, passant d'environ 0,98% à 4,3% du passif total. Toutefois, en 2019, cette proportion a diminué à 3,34%, indiquant une réduction relative de la dette à court terme dans la structure financière.
- Composition des passifs à court terme
- Les comptes créditeurs ont maintenu une proportion stable autour de 1,57% à 1,7% jusqu'en 2018, puis ont diminué à 1,23% en 2019. Les intérêts courus sont restés relativement stables, oscillant autour de 0,78% à 0,83%. La part des autres passifs à court terme a diminué de 1,46% en 2015 à 1,07% en 2019. La participation aux distributions payables aux participations ne donnant pas le contrôle apparaît seulement en 2019, représentant 1,11% du passif total.
- Évolution du passif à court terme
- La proportion du passif total attribuée au passif à court terme s’est accrue, atteignant un pic en 2018 à 9,58%, avant de diminuer à 6,88% en 2019. La part exceptionnelle du passif, en dépit d’un léger recul, reste substantielle, représentant environ 41,65% à 48,43% sur l’ensemble de la période, suggérant une composante à caractère exceptionnel dans la structure du passif.
- Évolution de la dette à long terme
- La dette à long terme, hors partie courante, a connu une baisse progressive, passant de 50,42% en 2015 à environ 44% en 2017 et 2018, puis stabilisée à 43,04% en 2019. La proportion des autres passifs à long terme et crédits reportés a augmenté légèrement, de 2,65% en 2015 à 3,04% en 2019. La part totale des passifs à long terme a suivi une tendance à la baisse, d’environ 53,07% en 2015 à 46,08% en 2019.
- Évolution du total du passif
- La part du passif total représentée par l’ensemble des passifs à court et long terme a diminué, passant de 57,91% en 2015 à 52,95% en 2019, indiquant une réduction de la dépendance à l’endettement à long terme et une certaine consolidation financière.
- Capital et capitaux propres
- Le capital versé supplémentaire a augmenté régulièrement, passant d’environ 49,54% en 2015 à 56,29% en 2019, ce qui reflète une augmentation de la contribution en capital de la société. Par ailleurs, le déficit retenu s’est creusé, atteignant -10,37% en 2019 contre -7,26% en 2015, ce qui indique une accumulation de pertes non absorbées au fil des ans. La valeur totale des capitaux propres, en revanche, a connu une légère croissance relative, passant de 41,76% à 45,5%, renforçant la structure financière par une augmentation des fonds propres au détriment du déficit retenu.
- Autres éléments de capitaux propres
- La participation ne donnant pas le contrôle a connu une hausse en 2017, atteignant 1,88%, mais est redescendue à 0,46% en 2019. La valeur des actions privilégiées de série A n’a pas été précisée. La part des actions catégorie P est restée stable à 0,03% de 2015 à 2019. La part combinée des autres éléments du résultat global est restée faible, autour de -0,45% à -0,82%. La proportion totale des capitaux propres a progressé, passant de 42,09% en 2015 à 45,96% en 2019, ce qui indique une amélioration progressive de la solvabilité de l’entreprise.
- Résumé global
- Au cours de la période analysée, l'entreprise a réduit progressivement sa dépendance à la dette à court et long terme en diminuant notamment la part de la dette à long terme dans sa structure de financement. La composition des passifs a évolué vers une part accrue des capitaux propres, notamment par l’augmentation du capital versé supplémentaire, malgré une détérioration du déficit retenu. La part exceptionnelle, représentant une composante significative du passif total, a persisté à un niveau élevé, témoignant probablement d’éléments inhabituels ou exceptionnels dans la structure du passif. Enfin, la situation financière semble s'être améliorée grâce à une augmentation relative des capitaux propres, renforçant la stabilité financière de l'entreprise à la fin de la période considérée.