Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
Reynolds American Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-03-31).
- Évolution du passif total
- Le pourcentage du passif et des capitaux propres représenté par le passif total a connu une variation dans le temps, oscillant entre environ 58 % et 70 %. On notes une tendance générale à la stabilité avec une légère baisse en fin de période, passant d'environ 63-64 % à un peu moins de 58 %, ce qui peut indiquer une consolidation ou une augmentation relative des capitaux propres.
- Répartition des passifs courants et non courants
- Les passifs non courants ont représenté en moyenne une part de plus de 44 %, atteignant jusqu'à 55 %, indiquant une structure de dette avec une composante non immédiate. La part des passifs courants, quant à elle, est descendue à un faible niveau avant de remonter légèrement, passant d’environ 11-13 % à près de 27-29 %, illustrant une gestion variable des besoins à court terme.
- Comptes créditeurs
- Ce poste a montré des fluctuations quotidiennes importantes, avec une tendance à la baisse initiale, allant de 0,91 % à 0,33 %, puis une augmentation à partir de la fin 2014, atteignant 0,43 % en fin de période. La tendance pourrait indiquer une gestion plus prudente ou une variation dans les conditions de paiement fournisseurs.
- Dettes à long terme et échéances
- Les emprunts à long terme ont généralement représenté une part significative du passif, autour de 30 à 33 %, avec une légère baisse vers 24-25 % en fin de période, signalant peut-être une réduction progressive de cet endettement ou un remplacement par d’autres financements. Les échéances de dette à long terme ont connu une certaine volatilité, notamment en 2012-2013, mais ont crû légèrement à partir de 2014, indiquant possiblement des renouvellements ou de nouvelles émissions de dette.
- Passif à court terme
- Ce poste a connu une baisse notable en 2015, passant d’environ 26-27 % à un niveau inférieur (environ 10-13 %), puis une reprise légère par la suite. La réduction importante en 2015 pourrait indiquer une gestion stratégique de la liquidité ou un désendettement à court terme.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres ont représenté environ 29-38 % durant l’ensemble de la période, avec une tendance à la hausse en fin de période, culminant à plus de 41 %, notamment en 2016 et 2017. Cette augmentation progressive reflète probablement une amélioration de la rentabilité ou une infusion de capitaux.
- Bénéfices non répartis
- Ces éléments ont été négatifs jusqu’à fin 2014, avec une valeur négative marquée puis ont évolué positivement à compter de 2015. La remontée en territoire positif indique une accumulation de bénéfices et une meilleure rentabilité au fil du temps, notamment après 2014.
- Autres éléments du résultat global et réserves
- Les autres éléments du résultat global ont été globalement négatifs ou proches de zéro, avec de légères fluctuations. Leur impact semble marginal comparé aux autres postes, mais leur tendance à la baisse en valeur absolue en fin de période peut signaler une stabilisation ou un reflux des éléments non réalisés.
- Structure relative des passifs non courants
- Les impôts différés à long terme ont constitué une part importante du passif en fin de période (plus de 18 %), témoignant d’une gestion fiscale différée ou d’obligations fiscales futures potentielles. Les prestations de retraite constituent également une composante significative, représentant autour de 3 à 7 %, signalant des engagements à long terme dans la gestion des rémunérations différées ou obligations sociales.
- Facteurs généraux
- Globalement, la structure financière montre une modification dans la composition du passif, avec une tendance vers une augmentation relative des capitaux propres et une réduction de certains passifs à court terme, signe potentiel d’une volonté de renforcer la stabilité financière ou d’optimiser la structure du passif. La gestion de la dette à long terme semble également s’inscrire dans cette dynamique, avec une réduction modérée de l’endettement à long terme à la fin de la période.