Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
Coca-Cola Co., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-27), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-28), 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-27), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-28), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-29), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-29), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-01), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-01), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-01), 10-Q (Date du rapport : 2021-07-02), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-02), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-25), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-26), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-27).
- Tendances générales du passif
- La part du passif dans la structure financière de l'entreprise a connu des fluctuations, passant de près de 79 % en mars 2020 à environ 71 % en décembre 2023, avant de revenir à un niveau supérieur (près de 73 %) au troisième trimestre 2025. La proportion de passifs non courants, en particulier la dette à long terme (hors échéances courantes), a augmenté de façon progressive, passant d'environ 33 % en mars 2020 à plus de 43 % en juin 2025. Parallèlement, la part du passif courant, notamment les créditeurs et charges à payer ainsi que les autres passifs à court terme, a diminué initialement puis augmenté dans la dernière période, illustrant une gestion fluctuante des obligations à court terme.
- Évolution de la dette à long terme
- La dette à long terme, hors échéances courantes, a présenté une hausse continue, passant d’environ 33 % en mars 2020 à plus de 43 % en juin 2025. Cette tendance indique un recours accru à l’endettement à long terme, tandis que la proportion des échéances de la dette à long terme à court terme a été plutôt faible et relativement stable, souvent inférieure à 2 %, avec une augmentation temporaire vers 2,13 % en septembre 2023.
- Structure propre et capitaux propres
- Les capitaux propres, y compris la part des actionnaires et les bénéfices réinvestis, représentent environ un quart du total du passif et des capitaux propres au début de la période, puis tendent à s’accroître pour atteindre près de 29 % en décembre 2023, avant de stagner vers cette valeur. La part des bénéfices réinvestis demeure dominante dans la composition des capitaux propres, oscillant autour de 70 à 76 %, signifiant une politique de rétention de bénéfices soutenue.
- Proportions relatives
- Les créditeurs et charges à payer, qui représentaient environ 13-15 % fin 2020, ont augmenté pour atteindre plus de 22 % en décembre 2024, traduisant une augmentation des obligations à court terme. La part du stock de trésorerie en proportion des capitaux propres a fluctué entre 52 % et 56 %, indiquant une gestion conservatrice de la trésorerie. La part des autres passifs non courants a été relativement stable, autour de 8-10 %, tandis que la part des impôts différés est restée stable autour de 2-3 %, représentant une quote-part mineure mais constante.
- Changements dans la structure des capitaux propres
- Les actions ordinaires en valeur nominale ont représenté environ 1,7 à 2 % du total du passif et des capitaux propres, avec une légère tendance à la baisse. La part de l'excédent de capital et des bénéfices réinvestis montre une stabilité, avec une légère diminution dans la proportion de l'excédent de capital vers la fin de la période, tandis que les bénéfices réinvestis restent majoritaires, entre 70 et 76 %, indiquant une stratégie de croissance basée sur la rétention de résultats.
- Considérations additionnelles
- La structure financière montre une augmentation progressive de l’endettement à long terme, accompagnée d’une gestion prudente du passif à court terme. La stabilité relative des capitaux propres et leur composition indique une politique financière conservatrice, favorisant la rétention des bénéfices et une augmentation contrôlée de la dette à long terme. La part importante des bénéfices réinvestis dans la structure du capital souligne une stratégie orientée vers la croissance interne plutôt que la distribution immédiate des profits.