Structure du bilan : actif
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
- Trésorerie et équivalents
- Les trésoreries et équivalents ont connu une baisse notable entre 2011 et 2013, passant de 10,72 % à 1,09 % de l’actif total. Par la suite, une légère reprise est observée en 2014 et 2015, atteignant respectivement 1,46 % puis 2,37 %, indiquant une gestion plus prudente de la liquidité à partir de 2014.
- Placements à court terme en bons du Trésor américain
- Une donnée relative à ces placements est enregistrée uniquement pour 2012, représentant 0,3 % de l’actif total, sans évolution visible sur les autres années, suggérant une allocation limitée en instruments du Trésor à court terme.
- Créances, moins les provisions
- Les créances ont augmenté de 1,59 % en 2011 à 1,98 % en 2013, puis ont légèrement diminué à 1,86 % en 2015. Cette évolution reflète une tendance à la stabilisation ou une gestion prudente des comptes clients ou autres créances à cette période.
- Actifs d’impôt différé
- Les actifs d’impôt différé ont connu une croissance modérée, passant de 0,55 % en 2011 à un pic de 0,69 % en 2013, avant de redescendre à 0,55 % en 2014, puis disparaître dans le total de 2015, ce qui pourrait indiquer une stratégie d’optimisation fiscale ou une variation dans la reconnaissance des actifs d’impôt différé.
- Impôts payés d’avance
- Les impôts payés d’avance ont fortement progressé entre 2011 et 2014, de 0,03 % à 0,32 %, avant de se stabiliser à 0,31 % en 2015, témoignant d'une gestion proactive des obligations fiscales anticipées.
- Autres dépenses payées d’avance
- Ce poste a connu une hausse régulière, culminant à 0,43 % en 2014, puis se stabilisant à 0,41 % en 2015, signalant une augmentation des dépenses payées d’avance ou une gestion prudente des paiements anticipés.
- Autres actifs circulants
- Le pourcentage correspondant à cette catégorie a été réduit de 0,07 % en 2011 à 0,03 % en 2015, illustrant une diminution dans les autres actifs circulants ou une révision de leur classification.
- Actif circulant
- Ce dernier a connu une baisse importante de 13,25 % en 2011 à 4,44 % en 2013, puis une hausse jusqu’à près de 5 % en 2015, indiquant une réduction générale des actifs à court terme suivie d’une stabilisation ou d’une légère reprise.
- Placements selon la méthode de la mise en équivalence
- Ce poste a fortement diminué de 1,56 % en 2011 à 0,13 % en 2012, puis a maintenu une faible valeur stable, signifiant une réduction des investissements dans des participations significatives ou un changement de méthode comptable.
- Autres investissements
- Ces investissements sont faibles mais ont tendance à diminuer de 0,05 % en 2011 à 0,01 % en 2013-2015, indiquant une réduction progressive de ce type d’actifs.
- Immobilisations corporelles, montant net
- Ce poste a progressé de 28,8 % en 2011 à 34,39 % en 2015, reflétant une augmentation significative des investissements dans des immobilisations physiques, témoignant d’un effort d’expansion ou de renouvellement de l’infrastructure.
- Immobilisations incorporelles soumises à l’amortissement
- Cette catégorie a connu une croissance de 0,47 % en 2011 à 1,29 % en 2012, puis une diminution progressive pour atteindre 0,89 % en 2015. La tendance indique une amortisation continue ou une réduction de la valeur comptable de ces actifs immatériels.
- Immobilisations incorporelles non assujetties à l’amortissement
- Ce poste a été relativement stable, oscillant autour de 50,3 % en 2011 à 52,8 % en 2015, signifiant une forte proportion d’actifs immatériels non amortissables, tels que les licences ou marques.
- Survaleur
- La survaleur a légèrement diminué, passant de 4,65 % en 2011 à 6,37 % en 2015, ce qui peut indiquer une dépréciation ou une diminution de la prime d’acquisition dans les actifs incorporels.
- Autres actifs
- Ce poste a varié, atteignant un pic à 2,6 % en 2013 avant de redescendre à 0,44 % en 2015, témoignant d’une gestion ou d’une classification différente de certains actifs non courants ou exceptionnels.
- Actif non courant
- La part de l’actif non courant a augmenté de 86,75 % en 2011 à environ 95 % en 2013-2015, indiquant une stratégie axée sur l’accroissement des investissements à long terme et la réduction de la proportion d’actifs à court terme.