Bilan : passif et capitaux propres
Le bilan fournit aux créanciers, aux investisseurs et aux analystes des informations sur les ressources (actifs) de l’entreprise et ses sources de capitaux (ses capitaux propres et ses passifs). Il fournit normalement également des informations sur la capacité bénéficiaire future des actifs d’une entreprise ainsi qu’une indication des flux de trésorerie qui peuvent provenir des créances et des stocks.
Les passifs représentent les obligations d’une société découlant d’événements passés, dont le règlement devrait entraîner une sortie des avantages économiques de l’entité.
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- Bilan : actif
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2006
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2006
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2006
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2006
Nous acceptons :
Time Warner Cable Inc., Bilan consolidé : passif et capitaux propres
en millions de dollars américains
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
- Évolution des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs présentent une tendance globale à la hausse, passant de 545 millions de dollars en 2011 à 656 millions en 2015. La croissance est régulière, indiquant une augmentation probable des achats à crédit ou des engagements fournisseurs au fil des années.
- Produits reportés et passifs liés aux abonnés
- Ce poste affiche une progression constante, passant de 169 millions en 2011 à 224 millions en 2015. La tendance suggère une augmentation des abonnements ou des revenus différés liés à la clientèle, reflétant potentiellement une croissance de la base d’abonnés ou des contrats à long terme.
- Charges à payer pour la programmation et le contenu
- Ce poste montre une augmentation de 807 millions en 2011 à 985 millions en 2015. La croissance régulière indique une hausse des coûts liés à la programmation, peut-être en raison d’accords contractuels ou d’une expansion de l’offre de contenu.
- Échéances actuelles de la dette à long terme
- Une réduction significative est observable, passant de 2 122 millions en 2011 à seulement 5 millions en 2015. Cette diminution indique une gestion efficace de la dette ou un refinancement ayant permis de rembourser les échéances à court terme.
- Actions privilégiées obligatoirement rachetables émises par une filiale
- Ce poste apparaît uniquement en 2012 avec un montant de 300 millions, puis disparaît par la suite, ce qui pourrait indiquer une émission ponctuelle ou une restructuration ayant supprimé ou modifié cette catégorie.
- Intérêts courus
- Les intérêts courus montrent une baisse de 585 millions en 2011 à 481 millions en 2015, mais restent relativement stables. La tendance suggère une gestion stable des charges d’intérêt ou de la politique de financement.
- Rémunération et avantages sociaux accumulés
- Ce poste évolue à la hausse de 360 millions en 2011 à 443 millions en 2015, indiquant une augmentation des obligations sociales ou des coûts liés aux employés avec le temps.
- Assurance accumulée
- Une croissance continue est observée, de 158 millions à 225 millions, reflétant éventuellement une augmentation des provisions pour risques ou une hausse des coûts d’assurance.
- Dividendes courus
- Ce poste apparaît uniquement en 2015 avec une valeur de 216 millions, suggérant qu’il s’agit d’un nouveau montant enregistré, possiblement suite à une politique de distribution ou de déclaration tardive de dividendes.
- Taxes de vente et autres taxes à payer
- On constate une hausse régulière, passant de 84 millions en 2011 à 150 millions en 2015, ce qui pourrait correspondre à une augmentation de l’activité taxable ou à des ajustements fiscaux.
- Frais de franchise courus
- La tendance est une baisse modérée, de 164 millions en 2011 à 145 millions en 2015, pouvant refléter la réduction de certaines obligations contractuelles ou de renouvellements de franchises.
- Autres charges à payer
- Ce poste connaît une augmentation de 376 millions en 2011 à 419 millions en 2015, ce qui peut indiquer des charges différées ou des obligations non encore réglées en hausse.
- Autres passifs à court terme
- Une tendance à la hausse importante est notable, passant de 1 727 millions en 2011 à 2 079 millions en 2015. La croissance suggère une augmentation des obligations diverses à court terme, pouvant inclure des passifs non spécifiés ou des provisions.
- Passif à court terme
- Une diminution régulière est observée, de 5 370 millions en 2011 à 3 949 millions en 2015. La réduction indique probablement un effort de désendettement ou de gestion des passifs à court terme.
- Dette à long terme, à l’exclusion des échéances courantes
- Ce poste affiche une croissance de 24 320 millions en 2011 à un sommet de 25 171 millions en 2012, puis une baisse progressive à 22 497 millions en 2015. La tendance pourrait refléter la restructuration de la dette ou le refinancement, avec une réduction de la dette à long terme finalement constatée à la fin de la période.
- Passifs d’impôts différés, montant net
- Une augmentation constante est présente, de 10 198 millions en 2011 à 12 830 millions en 2015, suggérant une accumulation de différences temporaires favorables ou un report accru d’obligations fiscales différées.
- Autres passifs
- Une tendance à la hausse est visible, passant de 551 millions en 2011 à 1 002 millions en 2015, indiquant une augmentation des obligations diverses non classées ou des provisions additionnelles.
- Passifs non courants
- Les passifs non courants restent relativement stables, oscillant entre 35 369 millions en 2011 et 36 329 millions en 2015, montrant une stabilité dans l’engagement à long terme de l’entreprise.
- Total du passif
- Une croissance initiale jusqu’en 2012 (40 739 millions en 2011 à 42 526 millions en 2012), puis une légère diminution à 40 278 millions en 2015, reflétant une gestion active du passif avec une volonté de réduire l’endettement ou de restructurer la dette globale.
- Actions ordinaires et capital versé supplémentaire
- Le capital social reste constant à 3 millions de dollars, tandis que le capital versé supplémentaire fluctue, passant de 8 018 millions en 2011 à 7 481 millions en 2015. La baisse pourrait indiquer des rachats d’actions ou des ajustements dans la structure du capital propre.
- Bénéfices non répartis (déficit accumulé)
- Une évolution remarquable est observée : passage de 68 millions en 2011 à un déficit de -55 millions en 2013, suivi d’un retour à des bénéfices non répartis importants, culminant à 1 925 millions en 2015. Cela signale une amélioration de la rentabilité et une gestion efficace des résultats.
- Cumul des autres éléments du résultat étendu, montant net
- Ce poste oscille entre des valeurs négatives et positives, allant de -559 millions en 2011 à -414 millions en 2015. La tendance montre une volatilité, avec une période de résultat négatif prolongé puis un léger rebond à la fin de la période.
- Total des capitaux propres
- Une augmentation progressive est visible, de 7 530 millions en 2011 à 8 995 millions en 2015, reflétant la croissance de la valeur nette de l’entreprise et l’accroissement des réserves, notamment grâce à l’amélioration de la rentabilité.
- Total du passif et des capitaux propres
- Ce total suit une tendance à la hausse, passant de 48 276 millions en 2011 à 49 277 millions en 2015, témoignant d’une croissance globale du bilan et d’une augmentation de l’ensemble des ressources financées par l’entreprise.