Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31).
- Tendances observées dans la structure du passif
- Depuis 2019, la part du passif total en dettes à long terme, excluant la partie courante, affiche une tendance stable, oscillant autour de 45 à 50 %, témoignant d'une gestion soutenue de l'endettement à long terme. Parallèlement, la proportion de la dette à court terme relative reste faible, autour de 1 % à 2 %, indiquant une capacité à maintenir un apport limité de financements à court terme.
- Évolution du passif courant
- Le passif à court terme, en tant que pourcentage du total du passif et des capitaux propres, montre une fluctuation notable, passant d'environ 60 % en 2019 à environ 54-55 % vers la fin de 2021, puis rebondissant autour de 52 % à 54 % en 2022 et 2023. Cette variation reflète une gestion dynamique des obligations à court terme, notamment des comptes créditeurs et autres passifs courants.
- Comptes créditeurs et charges à payer
- Les comptes créditeurs présentent une tendance à la hausse, passant d'environ 2.16 % en 2019 à près de 3.37 % en 2022, avant une légère stabilization. Quant aux charges à payer, leur part demeure relativement stable autour de 4 à 5 %, avec une légère augmentation en 2022 et 2023. La proportion combinée de ces éléments indique une gestion active et une augmentation progressive des obligations à court terme liées aux achats et charges courantes.
- Valeurs relatives des impôts et autres passifs
- Les impôts à payer connaissent une augmentation significative lors de la période post-2021, atteignant jusqu’à 2.01 % en 2023, suggérant une hausse des obligations fiscales ou une modulation de la politique fiscale. D’autres passifs à court terme, notamment les autres passifs à court terme et autres taxes à payer, fluctuants modérément, illustrent une stabilité relative dans les dettes diverses à court terme.
- Structure du passif non courant
- Les passifs non courants, en particulier la dette à long terme, restent la composante principale du passif total, représentant environ 45 à 55 % tout au long de la période, avec une tendance à la légère baisse en 2022 puis une stabilisation. La part des passifs d’impôts différés non courants et d’autres passifs non courants affiche une tendance baissière jusqu’en 2021, puis une stabilisation vers la fin de la période.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres de l’entreprise constituent une part significative du passif total, oscillant autour de 33 à 36 % sur la période, avec une augmentation notable à partir de 2020. La composante bénéfices non répartis connaît une croissance continue, atteignant en 2023 une proportion de plus de 70 % du total des capitaux propres, ce qui signale une politique de rétention efficace des bénéfices et une stabilité renforcée des fonds propres.
- Évolution du stock de trésorerie
- Le stock de trésorerie, exprimé en pourcentage du passif et des capitaux propres, montre une tendance à la baisse continue, passant d’environ -14.64 % en 2019 à près de -41.32 % en 2024. Cette baisse constante indique une augmentation de l’utilisation de la trésorerie ou des investissements, traduisant une croissance des déploiements financiers ou une gestion conservatrice de la liquidité.
- Structure du capital
- La valeur nominale des actions ordinaires reste très marginale, représentant moins de 0.05 % du passif et des capitaux propres, indiquant une composition principalement axée sur les capitaux propres et la dette. La proportion des actions ordinaires est stable, permettant d’en déduire une politique de financement axée sur le maintien de fonds propres conséquents.
- Résumé général
- La structure financière de l’entreprise demeure stable avec une prédominance de la dette à long terme par rapport à la dette à court terme. La croissance soutenue des bénéfices non répartis et l’augmentation de la part des capitaux propres indiquent une santé financière solide et une capacité à financer la croissance par des réserves internes. La réduction progressive du stock de trésorerie suggère une utilisation accrue des liquidités, peut-être pour des investissements ou le remboursement de dettes. La stabilité dans la répartition des autres passifs et le contrôle de la dette à court terme illustrent une gestion prudente de la structure financière.