Structure du bilan : actif
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- Ratio de liquidité actuel depuis 2015
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D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31).
- Tendance de la trésorerie et des équivalents de trésorerie
- La proportion de trésorerie et équivalents de trésorerie par rapport à l’actif total a connu une croissance significative entre 2017 et 2018, passant d’environ 37% à plus de 52 %, puis a fluctué autour de 35-45 % au cours de 2018. Après une baisse en 2019, cette proportion a de nouveau augmenté pour atteindre près de 63 % en fin 2020, avant de diminuer fortement en 2021 à 17,69 %, puis de remonter légèrement à environ 20 % en 2022. Cette évolution pourrait indiquer des variations dans la gestion de la liquidité ou des changements stratégiques dans la conservation des liquidités.
- Placements à court terme
- Les placements à court terme en pourcentage de l’actif total ont diminué au début de la période, passant d’environ 15 % en 2017 à moins de 5% en 2017, avant de remonter à plus de 28 % en 2018. Par la suite, cette position est restée relativement stable autour de 17-20 % jusqu’en 2022, avec quelques fluctuations. La baisse en 2017 indique probablement un recentrage sur la liquidité immédiate, suivie d’une stabilisation dans une gestion équilibrée des placements à court terme.
- Débiteurs, déduction faite des pertes de crédit attendues
- La part des débiteurs dans l’actif total s’est essentiellement réduite entre 2017 et 2019, passant d’environ 4.7 % à seulement 0.83 %, atteignant un point minimal en 2019. La tendance indique une réduction de l’exposition aux risques de crédit ou une amélioration du recouvrement. Après 2019, cette proportion a connu une légère augmentation, atteignant environ 0.89 % en 2022, suggérant éventuellement une reprise ou une gestion différente des comptes clients.
- Actifs prépayés et autres actifs à court terme
- La proportion de ces actifs a été relativement stable, oscillant entre 1.5 % et 5 % jusqu’en 2020, puis a augmenté légèrement pour atteindre environ 3.82 % en 2022. La stabilité de cette composante indique une gestion constante des coûts payés d’avance et autres actifs à court terme.
- Fonds clients et comptes vendeur
- La part de cette rubrique dans l’actif total a varié considérablement, passant d’environ 7 % en 2017 et 2018 à un minimum de 2.34 % en 2019, puis a connu des variations jusqu’à atteindre près de 8 % en 2022. Ces fluctuations peuvent refléter des changements dans la structure commerciale ou dans la rotation des comptes clients et vendeurs.
- Actif circulant
- Le pourcentage d’actifs circulants dans l’actif total a augmenté sensiblement. En 2017, il représentait environ 67 %, atteignant jusqu’à 81 % en 2020, puis déclinant à environ 55 % en 2022. Cette augmentation en 2020 signale une liquidité accrue, tandis que la baisse ultérieure pourrait indiquer un investissement accru dans des actifs non courants ou une gestion différente du cycle d’exploitation.
- Liquidités soumises à des restrictions
- Cette composante a été très faible tout au long de la période, représentant moins de 1 % de l’actif total, avec une tendance à la stabilité, mais avec une légère baisse en 2020 avant une légère remontée en 2022. La faible part indique peu de liquidités immobilisées sous contraintes significatives.
- Immobilisations corporelles
- La proportion d’immobilisations corporelles a diminué de manière notable, passant d’approximativement 24 % en 2017 à environ 3-4 % en 2021, atteignant 10.2 % en 2022. La réduction importante avant 2020 suggère une stratégie de désinvestissement ou une délocalisation vers des actifs immatériels, ce qui est corroboré par la baisse des immobilisations corporelles et la hausse des actifs immatériels.
- Survaleur
- La survaleur a connu une baisse significative, passant de plus de 6 % en 2017 à moins de 4 % en 2018, puis jusqu’à environ 3 % à partir de 2019. Une augmentation notable a été observée en 2020, atteignant près de 40 %, puis une baisse progressive, suggérant des ajustements dans la valorisation des actifs incorporels ou des acquisitions stratégiques significatives durant cette période.
- Immobilisations incorporelles
- Les immobilisations incorporelles ont affiché une tendance à la hausse à partir de 2018, culminant autour de 15-17 %, avant de descendre à environ 7-8 % en 2022. La croissance après 2017 indique une intensification des investissements en actifs immatériels, tels que licences, logiciels ou autres actifs incorporels, avec une consolidation en fin de période.
- Actifs d’impôts différés
- Les actifs d’impôts différés, absents jusqu’en 2018, ont représenté jusqu’à 2.96 % du total en 2022, avec une tendance à la hausse à partir de cette année. Leur apparition et leur augmentation peuvent refléter des stratégies de planification fiscale ou des différences temporaires dans la reconnaissance des revenus et charges fiscales.
- Investissements à long terme et autres actifs
- Les investissements à long terme ont été faibles et relativement stables, avec de légères variations. Leur part a augmenté en 2020 à 6.2 %, puis a diminué ensuite. Les autres actifs ont quant à eux représenté une proportion très faible, mais avec une légère tendance à la stabilité vers 1 % en fin de période.
- Actifs non courants
- Les actifs non courants ont présenté une évolution inverse à celle des actifs circulants, passant d’environ 33 % en 2017 à un pic proche de 40 % en 2020, puis déclinant à environ 44 % en 2022. La croissance durant 2018-2020 indique une orientation vers la détention d’actifs non courants, potentiellement liés à des acquisitions ou à la stratégie de croissance à long terme.