État des résultats
Données trimestrielles
Le compte de résultat présente des informations sur les résultats financiers des activités commerciales d’une entreprise sur une période donnée. Le compte de résultat indique le montant des revenus générés par l’entreprise au cours d’une période donnée et les coûts qu’elle a engagés dans le cadre de la génération de ces revenus.
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- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2005
- Ratio de liquidité actuel depuis 2005
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
Nous acceptons :
Apache Corp., compte de résultat consolidé (données trimestrielles)
en millions de dollars américains
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-03-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2011-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-03-31).
- Revenus pétroliers
- Une tendance à la baisse est observable à partir du deuxième trimestre 2014, après une période de fluctuation avec des pics en 2011 et 2012. La croissance initiale, atteignant près de 4 395 millions de dollars en fin 2011, est suivie d'une décroissance progressive, culminant à 907 millions de dollars au troisième trimestre 2015, puis à 822 millions de dollars à la fin de juin 2016.
- Revenus gaziers
- Les revenus gaziers apparaissent uniquement à partir du troisième trimestre 2012. Après une période d'évolution fluctuante, une tendance à la diminution est manifeste, passant de 646 millions de dollars en fin 2012 à 309 millions en fin septembre 2013, puis se stabilisant autour de 200 à 300 millions jusqu'en juin 2016.
- Revenus tirés des liquides de gaz naturel
- Les revenus liés aux liquides de gaz naturel suivent une tendance similaire, avec une baisse notable après 2012. Après un pic en fin 2012 à 61 millions, ils diminuent progressivement jusqu'à atteindre 42 millions au troisième trimestre 2013, puis stabilisent avec une tendance à la baisse jusqu'en juin 2016.
- Revenus tirés de la production pétrolière et gazière
- En intégrant l'ensemble des revenus liés à la production, on constate une fluctuation avec un pic en fin 2011, suivi d'une tendance à la baisse à partir de 2013. La valeur chute de 4 146 millions en mars 2013 à 1 087 millions en juin 2016, indiquant une réduction significative de l'activité ou de la contribution financière de la production.
- Charges d’exploitation de location
- Les charges d’exploitation de location montrent une augmentation progressive sur la période, passant de -623 millions de dollars à environ -704 millions en juin 2012, puis fluctuant autour de cette valeur. La tendance générale indique une augmentation des coûts liés à cette activité.
- Rassemblement et transport
- Les coûts de rassemblement et transport oscillent autour de 70 millions de dollars, avec une légère hausse en 2012, puis une oscillation entre 48 et 86 millions jusqu’à juin 2016. La tendance horizontale indique une stabilité relative de ces coûts opérationnels.
- Coût des revenus
- Les coûts liés aux revenus suivent une tendance à la hausse lors des premières années, culminant à près de -909 millions en septembre 2013, puis diminuent légèrement par la suite, mais restent globalement élevés, traduisant une pression sur la marge opérationnelle.
- Marge brute
- La marge brute suit une tendance globale décroissante après 2012, passant de près de 3 535 millions en décembre 2012 à 717 millions en septembre 2015. Elle reflète une détérioration de la profitabilité brute, en partie due à la baisse des revenus pétroliers et gaziers.
- Impôts autres que sur le revenu
- Les charges d’impôts autres que sur le revenu démontrent une tendance à la diminution, passant de 164 millions en mars 2011 à seulement 11 millions en juin 2016, témoignant probablement d’une réduction de la base imposable ou d’allègements fiscaux.
- Exploration
- Les dépenses en exploration apparaissent uniquement à partir du deuxième trimestre 2014, avec une valeur d’environ -90 millions, indiquant un recentrage ou une réduction des activités d’investissement dans cette activité.
- Généralités et administration
- Les coûts administratifs évoluent de manière fluctuante mais globalement à la baisse après 2013, passant de 112 millions à environ 93 millions en juin 2016, suggérant une gestion plus stricte des coûts opérationnels administratifs.
- Immobilisations corporelles et gazières
- Les investissements en immobilisations sont très variables, avec une forte augmentation en 2014 et 2015, culminant à 8 219 millions de dollars, suivie d’un recul en 2016, ce qui témoigne probablement de phases d’investissement intensives suivies de désinvestissements ou d’amortissements successifs.
- Autres actifs
- Les autres actifs apparaissent principalement à partir de 2012, avec une tendance à la baisse après 2014, passant de valeurs négatives à des valeurs très faibles ou négatives proches de zéro, ce qui peut indiquer une réduction des autres composantes d’actif ou des ajustements comptables.
- Amortissement, épuisement et amortissement
- Ce poste montre une croissance très importante, notamment entre 2014 et 2015, avec un passage de 1 689 millions à 8 602 millions, illustrant une augmentation massive des charges d’amortissement en lien avec les investissements en immobilisations et leur épuisement.
- Accroissement de l’obligation de mise hors service d’actifs
- Ce poste reste relativement stable, avec une augmentation marginale jusqu’à 66 millions en 2013, puis une légère augmentation en 2014, indiquant une gestion prudente de cette obligation environnementale ou réglementaire.
- Déficiences
- Ce poste apparaît uniquement en 2014 et 2015 avec des valeurs importantes, notamment -2 357 millions en 2015, ce qui indique des pertes exceptionnelles ou des dépréciations importantes, contribuant significativement aux pertes nettes de cette période.
- Transaction, réorganisation et séparation
- Les coûts liés à ces opérations restent faibles mais évoluent, avec une augmentation notable en 2014, pouvant refléter des restructurations ou des cessions d’actifs significatives.
- Bénéfice (perte) d’exploitation
- Ce bénéfice varie fortement : il est positif jusqu’à 2013, culminant à 2 183 millions au troisième trimestre 2012, puis devient négatif à partir de 2014, atteignant -5 654 millions en septembre 2014, témoignant d’une détérioration importante de la rentabilité opérationnelle.
- Gains (pertes) nets sur instruments dérivés
- Les gains et pertes sur instruments dérivés culminent en 2014, avec un gain de 273 millions, mais ensuite la tendance est volatile, avec des pertes importantes en 2015 et 2016, ce qui reflète la volatilité des marchés financiers ou la couverture de risques financiers.
- Autre
- Ce poste montre des fluctuations, principalement liées à des éléments exceptionnels ou variés, avec une majorité de valeurs positives ou négatives faibles, témoignant d’une gestion de cette ligne comptable pour équilibrer les résultats globaux.
- Gain (perte) sur les dessaisissements
- Ce poste apparaît uniquement près de la fin de la période, en liaison avec la cession d’actifs, avec un gain marginal en décembre 2013, puis sans données ultérieures.
- Coûts de financement, montant net
- Les coûts de financement sont relativement stables mais augmentent en 2014 et 2015, traduisant une charge d’intérêt accrue ou un endettement croissant, culminant à -107 millions en septembre 2015.
- Bénéfice (perte) lié aux activités poursuivies avant impôts
- Ce bénéfice subit une forte dégradation à partir de 2013, passant de plus de 2 000 millions à des pertes de plusieurs milliards en 2015 et 2016, ce qui témoigne d’un appauvrissement de la rentabilité des activités continues.
- Avantage (provision) d’impôt sur le revenu
- Cette ligne montre une valeur très variable, notamment une hausse en 2014 et 2015, correspondant probablement à des impôts différés ou à des ajustements fiscaux liés à la restructuration ou aux pertes exceptionnelles.
- Bénéfice (perte) net (activités poursuivies et abandonnées)
- Une transition vers des pertes importantes à partir de 2014, atteignant -4 632 millions en septembre 2015, souligne une dégringolade de la performance globale, notamment complétée par les pertes liées aux activités abandonnées en 2014 et 2015.
- Perte nette (de bénéfice) attribuable aux actionnaires
- Les pertes se creusent au fil du temps, avec un déficit accru à partir de 2014, culminant à -7 213 millions en juin 2016, reflétant une détérioration importante de la rentabilité pour les actionnaires, notamment en lien avec le déclin des activités opérationnelles et les dépréciations substantielles.