Structure du bilan : actif
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
- Tendance de la trésorerie et des équivalents de trésorerie
- La proportion de la trésorerie et des équivalents de trésorerie par rapport à l'actif total a significativement diminué entre 2011 et 2012, passant de 0,57 % à 0,26 %. Ensuite, on observe une augmentation notable en 2013, pour atteindre 3,09 %, suivie d'une réduction en 2014 à 1,37 %. En 2015, cette proportion connaît une forte augmentation pour atteindre 7,79 %, ce qui indique une amélioration importante de la liquidité à la fin de la période.
- Évolution des créances
- Les créances déduction faite de la provision représentent en moyenne une part stable de l’actif, avec une légère baisse entre 2011 et 2014, passant de 5,92 % à 3,62 %. En 2015, on note une croissance significative à 6,65 %, pouvant indiquer une augmentation des créances clients ou autres sorts de créances, voire une modification dans leur recouvrement ou leur reconnaissance.
- Inventaires
- Les inventaires oscillent légèrement autour de 1,3 %, avec une augmentation à 3,03 % en 2015, signalant peut-être une accumulation ou une prolongation dans la rotation des stocks ou une augmentation de leur valeur en fin d’année.
- Avancées en matière de forage
- Les avancées de forage ont connu une hausse progressive, passant de 0,44 % en 2011 à 0,96 % en 2012. Après une baisse à 0,6 % en 2013, elles restent relativement stables autour de 0,69-0,91 % jusqu’en 2015. La stabilité relative indique une activité continues dans ce secteur sans croissance explosive ni diminution marquée.
- Actifs détenus en vue de la vente et autres actifs spécifiques
- En 2015, les actifs en vue de la vente apparaissent pour la première fois, représentant une part non négligeable de 2,91 %, ce qui pourrait refléter une cession imminente ou une stratégie d’aléa temporaire. Par ailleurs, l’actif d’impôt différé est aussi enregistré pour la première fois en 2013, à 0,22 %, avant d’augmenter à 1,37 % en 2015, témoignant de la reconnaissance d’actifs fiscaux différés liés aux pertes reportables ou crédits d’impôt.
- Actifs prépayés, autres actifs et actifs circulants
- Les actifs prépayés et autres ont d’abord diminué, puis augmenté, culminant à 1,54 % en 2015, tandis que la part des actifs circulants connaît une croissance régulière, passant de 9,23 % en 2011 à près de 19,91 % en 2015. La progression des actifs circulants indique un renforcement de la liquidité ou une gestion dynamique du fonds de roulement.
- Immobilisations corporelles
- La part des immobilisations corporelles dans l’actif total est stable autour de 87 %, mais diminue à 74,93 % en 2015, ce qui suggère une réduction de l’importance de ces actifs ou une redistribution vers d’autres catégories d’actifs, notamment la diversification dans des actifs circulants ou autres actifs financiers.
- Survaleur
- La survaleur (goodwill) représente une petite proportion de l’actif total, diminuant fortement au début de la période (2,14 % en 2011 à 0,16 % en 2014) pour ensuite augmenter à 0,46 % en 2015. La variation pourrait refléter des opérations de fusion ou d’acquisition ayant généré du goodwill ou une dépréciation des actifs incorporels antérieurs.
- Charges reportées et autres
- Les charges reportées et autres actifs ont connu une augmentation progressive, passant de 1,32 % en 2011 à 4,69 % en 2015, indiquant une croissance potentielle des passifs différés ou d’autres charges à reporter, traduisant peut-être une planification fiscale ou opérationnelle spécifique.
- Autres actifs
- Les autres actifs ont également augmenté, passant de 3,46 % en 2011 à 5,15 % en 2015, montrant une diversification ou une croissance de certains types d’actifs non classés dans les catégories principales, pouvant inclure des investissements ou des actifs non courants spécifiques.
- Actifs non courants
- La proportion d’actifs non courants a réduit de 90,77 % en 2011 à 80,09 % en 2015, en lien avec la baisse des immobilisations corporelles ou de la survaleur, ce qui témoigne d’un recentrage ou d’un ajustement dans la composition de l’actif à long terme.