Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Bilan : actif
- Bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des segments à présenter
- Ratios d’évaluation des actions ordinaires
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Ratio de liquidité actuel depuis 2006
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2006
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2006
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2006
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-02-03), 10-K (Date du rapport : 2023-01-28), 10-K (Date du rapport : 2022-01-29), 10-K (Date du rapport : 2021-01-30), 10-K (Date du rapport : 2020-02-01), 10-K (Date du rapport : 2019-02-02).
- Comptes créditeurs
- La proportion des comptes créditeurs par rapport au passif total et aux capitaux propres a diminué entre 2019 et 2023, passant d'environ 26 % à 17 %, puis a diminué davantage à 12 % en 2024. Cela indique une gestion prudente ou un allègement de cette obligation à long terme.
- Responsabilités liées à la clientèle
- La part relative de ces responsabilités a connu une augmentation jusqu'à 10,18 % en 2021, avant de diminuer à environ 5,72 % en 2024, suggérant une réduction de ces engagements au fil du temps.
- Produits reportés
- Les produits reportés ont connu une croissance notable jusqu'en 2023, atteignant 6,81 %, avant de chuté à 4,75 % en 2024, reflétant peut-être une augmentation temporaire ou un décalage dans la reconnaissance des revenus.
- Avantages sociaux, rémunération et impôts connexes
- Ce poste a connu une baisse continue en proportion, passant de 4,22 % en 2021 à 2,02 % en 2024, ce qui pourrait indiquer une gestion plus efficace ou une réduction des obligations liées à ces éléments.
- Impôts sur le revenu et autres impôts à payer
- La part de cette catégorie a diminué, atteignant moins de 1 % en 2022 et restant stable en 2023 et 2024, témoignant d'une apaisement ou d'une résolution progressive de ces obligations fiscales.
- Autres charges à payer
- Ces charges ont diminué de façon significative, passant de 4,53 % en 2020 à 1,81 % en 2024, indiquant une gestion plus rigoureuse ou une baisse des charges en suspens.
- Charges à payer et autres passifs à court terme
- Cette composante a connu une hausse notable en 2021 à 25,35 %, puis une baisse en 2023 à 19,35 %, avant de s'établir autour de 15 % en 2024. La tendance globale montre une certaine volatilité mais une tendance à la réduction en proportion du passif total.
- Portion à court terme du passif lié aux contrats de location-exploitation
- Une augmentation constante est observée, culminant à 9,2 % en 2021, avec une légère baisse en 2022, puis une reprise à 6,93 % en 2024, signalant une gestion accrue de ces passifs à court terme liés aux locations.
- Portion à court terme de la dette à long terme
- À partir de 8,63 % en 2019, cette mesure a globalement diminué pour atteindre 0,4 % en 2024, témoignant d'un dénouement ou d'un refinancement de cette dette à court terme.
- Emprunts contractés en vertu d’une marge de crédit renouvelable
- Il n’existe pas de données pour cette ligne après 2020, ce qui peut indiquer une réduction ou une absence d’utilisation de cette source de financement à partir de cette période.
- Passif à court terme
- Ce poste a connu une forte fluctuation, passant de 53,93 % en 2019 à un creux de 38,71 % en 2022, puis remontant à plus de 43 % en 2023, avant de se stabiliser à 34,5 % en 2024, reflétant une gestion dynamique des obligations à court terme.
- Impôts différés
- La présence de cette ligne en 2020, avec une faible proportion (0,02 %), n’est pas suivie d’autres données, indiquant probablement une réduction ou une absence ultérieure.
- Dette à long terme, excluant la partie courante
- Elle a augmenté de 11,66 % en 2019 à un pic de 14,89 % en 2020, puis a diminué drastiquement à 0,92 % en 2023, atteignant 0,65 % en 2024, témoignant d’un désendettement à long terme significatif.
- Passifs liés aux contrats de location-exploitation, à l’exclusion de la partie à court terme
- Ce poste a diminué mais reste significatif, passant de 18,77 % en 2020 à environ 14,27 % en 2024, reflétant une gestion stabilisée de ces engagements à long terme.
- Autres passifs à long terme
- La proportion a été fluctuante, atteignant un sommet en 2022 à 3,08 %, avant de redescendre à 1,17 % en 2024, indiquant une stabilité relative de ces éléments à long terme.
- Passifs à long terme
- La part totale de cette catégorie a diminué de 34,42 % en 2020 à environ 14,52 % en 2023, puis a légèrement augmenté à 16,09 % en 2024, indiquant une réduction générale des obligations longues, mais une légère hausse récente.
- Total du passif
- La part relative du passif total a varié, atteignant un sommet de 82,34 % en 2021, avant de chuter à 54,21 % en 2022, puis à 57,53 % en 2023, et enfin à environ 50,59 % en 2024, ce qui indique une volonté de limiter la structure de passif par rapport aux capitaux propres sur la période.
- Capital versé supplémentaire
- Ce poste n’était pas présent en 2019 et 2020, puis a connu une croissance marquée de 0,44 % en 2021 à 51,83 % en 2023, culminant à 60,35 % en 2024, reflétant une augmentation significative des contributions en capital ou des réserves additionnelles apportées par les actionnaires.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- Ce poste a persisté enregistre des valeurs négatives croissantes, passant de -1,34 % en 2019 à -3,09 % en 2024, témoignant de pertes ou de réductions dans les éléments du résultat global autres que le bénéfice net.
- Bénéfices non répartis (perte)
- Ce poste a fortement diminué en 2022, atteignant une perte de -7,05 %, puis a continué à s’inscrire dans une perte en 2023 (-7,86 %), reflétant une détérioration importante de la rentabilité ou de la distribution des profits au cours de cette période.
- Capitaux propres
- Ils ont diminué de 33,04 % en 2019 à 17,66 % en 2021, puis ont augmenté de façon significative à 45,79 % en 2022, et ont continué à progresser pour atteindre presque 50 % en 2024. Cette évolution indique une augmentation de la contribution des capitaux propres, notamment via le capital supplémentaire, après une période de faiblesse relative.