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- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2005
- Ratio de liquidité actuel depuis 2005
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-03-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2011-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-03-31).
- Tendances globales des revenus
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Les revenus issus de la production pétrolière et gazière ont connu une stabilité relative en pourcentage, restant autour de 100 % jusqu'au début de 2014. À partir de cette période, une baisse progressive est observée, notamment au premier semestre 2015, où leur part dans la totalisation des revenus de la société diminue considérablement, atteignant un faible pourcentage.
Les revenus gaziers ont été faibles ou absents jusqu'à la dernière période de 2012, puis ont connu une augmentation notable à partir de 2013, atteignant près de 20 %. Cependant, ces revenus ont ensuite fluctué sans tendance claire, généralement en dessous de 20 %, sauf à la fin de 2014 et en 2015, où une légère hausse est observable, mais en restant faibles.
Les revenus tirés des liquides de gaz naturel ont été faibles tout au long de la période, avec une tendance à la baisse dans la seconde moitié de la série, s'établissant autour de 3-5 % dans les dernières périodes.
- Variations des charges d'exploitation et marge brute
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Les charges d'exploitation de location sont en augmentation en pourcentage du revenu, passant d'environ -16 % au début de 2011 à près de -37 % à la fin de la période, ce qui indique une augmentation de ces coûts relatifs.
Les coûts liés au rassemblement et au transport ont également augmenté en pourcentage, tout comme le coût des revenus, qui a connu une croissance importante notamment à partir de 2014, dépassant parfois 30 %, ce qui réduit la marge brute. La marge brute, quant à elle, a diminué, passant d’environ 82 % à 83 % en début de période à environ 58 % à la fin, traduisant une dégradation de la rentabilité brute au fil du temps.
- Charges d'amortissement et investissements
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Les amortissements, épuisements et amortissements ont affiché une tendance à l’augmentation en pourcentage, particulièrement à partir de 2014, où ils se sont fortement accentués, atteignant plus de 624 % en 2015, ce qui indique une dépréciation accrue ou une augmentation des investissements amortis.
Les immobilisations corporelles et gazières ont connu une croissance très marquée en pourcentage, culminant à plus de 500 % en 2015, soulignant une expansion des actifs immobilisés ou une revalorisation significative de ces actifs dans la période récente.
- Résultat d’exploitation et autres éléments financiers
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Le bénéfice (perte) d’exploitation a fortement diminué au cours de la période, passant de taux positifs proches de 50 % à des pertes importantes atteignant jusqu’à -708 % en 2016. Cela reflète une dégradation marquée de la performance opérationnelle, en partie sous l’impact d’une forte augmentation des charges d’amortissement et des coûts
Les gains ou pertes sur instruments dérivés ont été variables, avec des moments de gains, notamment en 2012 et 2013, suivis par des pertes substantielles à partir de 2014.
Les autres éléments comportent une volatilité importante, avec des fluctuations qui indiquent des effets exceptionnels ou des ajustements comptables dans certaines périodes.
- Résultat net et fluctuations de la rentabilité
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Le bénéfice net (attribuable aux actionnaires) a connu une baisse drastique à partir de 2014, passant de plus de 25 % à des pertes très élevées, jusqu’à environ -359 %, puis pire en 2016, avec -644 %. Cela indique une dégradation profonde de la rentabilité nette sur la période.
Les profits nets incluant toutes les activités, y compris celles abandonnées, suivent une trajectoire similaire, avec une forte diminution et des pertes importantes en 2015 et 2016. La perte attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle et aux actionnaires est également en forte augmentation négative dans la dernière période, soulignant des difficultés financières accrues.
- Impôts et autres éléments
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Les provisions pour impôts ont varié significativement, passant de valeurs négatives (crédit d'impôt) à des valeurs positives importantes en 2014-2015, puis en 2016, illustrant une instabilité fiscale.
Les dépenses de recherche ou d'exploration ont été exprimées à partir de 2014 avec un pourcentage négatif en 2015, indiquant des coûts exceptionnels ou des ajustements de charge liés à ce secteur.
- Conclusion générale
- Les données traduisent une période de dégradation significative de la rentabilité et des performances financières. Une forte augmentation des charges d'amortissement, une baisse du chiffre d'affaires relatif, et une dégradation des résultats nets sont observées à partir de 2014, culminant en pertes lourdes en 2015 et 2016. Ces éléments indiquent une période de restructuration potentielle ou de difficultés opérationnelles majeures, ainsi qu'une baisse de la rentabilité globale de l'entreprise sur la période analysée.