Structure du bilan : actif
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2023-11-18), 10-K (Date du rapport : 2023-08-26), 10-Q (Date du rapport : 2023-05-06), 10-Q (Date du rapport : 2023-02-11), 10-Q (Date du rapport : 2022-11-19), 10-K (Date du rapport : 2022-08-27), 10-Q (Date du rapport : 2022-05-07), 10-Q (Date du rapport : 2022-02-12), 10-Q (Date du rapport : 2021-11-20), 10-K (Date du rapport : 2021-08-28), 10-Q (Date du rapport : 2021-05-08), 10-Q (Date du rapport : 2021-02-13), 10-Q (Date du rapport : 2020-11-21), 10-K (Date du rapport : 2020-08-29), 10-Q (Date du rapport : 2020-05-09), 10-Q (Date du rapport : 2020-02-15), 10-Q (Date du rapport : 2019-11-23), 10-K (Date du rapport : 2019-08-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-05-04), 10-Q (Date du rapport : 2019-02-09), 10-Q (Date du rapport : 2018-11-17), 10-K (Date du rapport : 2018-08-25), 10-Q (Date du rapport : 2018-05-05), 10-Q (Date du rapport : 2018-02-10), 10-Q (Date du rapport : 2017-11-18).
- Tendances générales de la trésorerie et des équivalents de trésorerie
- La proportion de la trésorerie et équivalents de trésorerie par rapport à l’actif total a montré une stabilité relative jusqu’à la fin de 2018, oscillant autour de 2,5 %, puis a connu une hausse significative à partir de 2019, atteignant jusqu’à 12,14 % en février 2020. Par la suite, cette proportion a fluctué, culminant à différents points, notamment à 8,07 % en août 2021, avant de revenir à environ 1,7-1,8 % en 2023. La forte augmentation en début 2020 peut être liée à des mesures de gestion de liquidités ou à des effets liés à la crise sanitaire, suivie d’un retrait progressif vers des niveaux plus traditionnels.
- Évolution des comptes débiteurs
- Les comptes débiteurs, en pourcentage de l’actif total, ont généralement évolué entre 2,5 % et 3,3 %. On observe une légère tendance à la hausse à partir de 2019, culminant à environ 3,31 % en février 2022, indiquant une augmentation progressive des créances clients ou une croissance des ventes à crédit. Cependant, la stabilité relative constate une gestion constante des créances avec une variation limitée dans le temps.
- Variations des inventaires de marchandises
- Les inventaires ont représenté une part importante de l’actif, oscillant entre 31 % et 44 %, avec un pic de 44,26 % en mai 2019. Après cette période, une tendance à la baisse est visible, atteignant 31,01 % en février 2021, puis fluctuant légèrement autour de 36 %. La baisse en 2020 pourrait refléter une gestion améliorée, une diminution des stocks ou des ajustements en réponse aux conditions du marché ou à la demande.
- Actifs circulants
- La part des actifs circulants dans l’actif total est relativement stable, oscillant généralement autour de 50 %. Une baisse notable a été observée en novembre 2020, passant à 40,6 %, mais une reprise a eu lieu par la suite, redevenant autour de 43 % en 2022. La stabilité générale indique une gestion équilibrée de la liquidité à court terme.
- Immobilisations corporelles
- Les immobilisations corporelles ont constitué une part prépondérante de l’actif, représentant environ 73 % à 77 %, avec une tendance légèrement à la hausse vers 2023, atteignant plus de 64 %. La proportion élevée et l’augmentation progressive traduisent un fort engagement dans les actifs fixes, probablement liés à l’expansion ou à la modernisation des infrastructures.
- Dépréciation et amortissements cumulés
- Les amortissements cumulés ont représenté environ -26,7 % à -33,5 % de l’actif total, avec une tendance à l’augmentation en valeur absolue, ce qui indique une dépréciation continue des immobilisations corporelles. La relation entre la valeur brute des immobilisations et leur amortissement montre une gestion de l’amortissement cohérente mais souligne également une dépréciation périodique des actifs.
- Actifs nets après amortissement
- La part des immobilisations corporelles nettes après amortissements a oscillé entre 31 % et 45 %, avec une légère tendance à l’augmentation en 2023, indiquant une détérioration progressive de la valeur comptable des actifs à long terme, mais restant majoritaire dans la composition de l’actif.
- Actifs au titre du droit d’utilisation (contrats de location)
- Ces actifs représentaient une part modérée, variant autour de 17 à 20 %, indiquant une utilisation significative de contrats de location pour la gestion immobilière ou opérationnelle. La stabilité de cette composante montre une politique constante en matière de contrats de location.
- Survaleur et autres actifs à long terme
- La survaleur représentait environ 2 % à 4 % de l’actif total, avec une légère diminution au fil du temps, ce qui peut indiquer une dépréciation ou une amortisation de ces éléments. Les autres actifs à long terme ont également maintenu une part minoritaire, oscillant autour de 1 à 2 %, témoignant d’une diversification limitée dans ces catégories.
- Impôts différés et autres actifs à long terme
- Les impôts différés ont représenté une part minime de l’actif, généralement inférieure à 1 %, avec une légère augmentation vers 2023, ce qui pourrait refléter des changements dans la gestion fiscale ou la reconnaissance de passifs différés. Les autres actifs à long terme ont montré une stabilité relative, contribuant à une structure d’actifs diversifiée mais peu volumineuse.
- Répartition globale de l’actif
- La majorité de l’actif a toujours été concentrée dans les immobilisations corporelles (environ 74 % à 77 %), tandis que la proportion de l’actif circulant a fluctué mais reste majoritaire autour de 43 %. La stabilité de la composition de l’actif témoigne d’une gestion cohérente dans le maintien d’un portefeuille d’actifs à long terme prédominant, avec une gestion prudente des liquidités et des créances.