Structure du compte de résultat
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31).
- Tendances du chiffre d’affaires et des autres produits d’exploitation
- La valeur du chiffre d’affaires est restée stable à 100% tout au long de la période, indiquant que les chiffres relatifs à cette métrique ne varient pas en proportion directe, mais plutôt en valeur absolue, ce qui nécessite une analyse complémentaire pour évaluer la croissance réelle.
- Évolution du coût des revenus
- Le coût des revenus en pourcentage du chiffre d’affaires a connu une tendance fluctuante, avec une hausse notable à partir de 2020, culminant à environ -95.79%, avant de se réduire légèrement vers la fin de la période observée. La variation indique une augmentation relative des coûts par rapport aux revenus, particulièrement durant l’année 2020, suggérant une pression sur la marge brute.
- Marge brute
- Après une période où la marge brute s’est creusée à un sommet de 17.82% en décembre 2020, elle a ensuite diminué pour s’établir entre 8 et 15% jusqu’à fin 2023. La baisse significative après 2020 reflète une diminution de la rentabilité brute, probablement liée à la hausse des coûts ou à une baisse des prix de vente, mais une amélioration relative apparaît en 2022 et 2023, bien que sans retrouver le pic de 2020.
- Revenus liés à la mise en équivalence et autres revenus
- Le revenu selon la méthode de la mise en équivalence est resté relativement stable, oscillant autour de 0.3 à 0.5% jusqu’à 2024. Les autres revenus montrent une croissance notable, en particulier en 2021 et 2022, avec des pourcentages atteignant jusqu’à 0.86%, indiquant une diversification ou une augmentation des activités complémentaires ou exceptionnelles.
- Évolution de la valorisation des stocks et de la dépréciation
- L’ajustement de la valeur des stocks LCM apparaît à partir de 2019, avec des valeurs négatives en 2020 puis positives durant 2020, indiquant des ajustements comptables liés à la baisse des valeurs. La charge de dépréciation a connu une augmentation en 2019, atteignant -35.23%, avant de décroître ensuite, reflétant des provisions pour dépréciation d’actifs qui se sont stabilisées ou réduites par la suite.
- Charges opérationnelles
- Les dotations aux amortissements ont augmenté progressivement, passant de environ -1.52% en 2020 à environ -2.53% en 2024, témoignant d’une allocation croissante pour l’usure des actifs immobilisés. Les frais de vente, généraux et administratifs ont également connu une augmentation relative, dépassant parfois -2.3%, indiquant une charge accrue liée à la gestion opérationnelle de l’entreprise.
- Performances opérationnelles
- Les bénéfices d’exploitation ont connu des fluctuations importantes, notamment une chute profonde à -54.74% en mars 2020, correspondant probablement à l’impact de la pandémie, avant de rebondir vers des valeurs positives jusqu’à 15.48% en mars 2022. La rentabilité opérationnelle semble avoir été fortement affectée en 2020, mais une récupération s’observe en 2021 et 2022. Cependant, un léger recul est constaté en 2023.
- Résultat net d’impôt et résultat net global
- Le bénéfice net d’impôt a également connu une fluctuation sévère, notamment une perte substantielle en mars 2020, suivie d’une reprise progressive. Le résultat global, en tenant compte des activités poursuivies et abandonnées, montre une tendance à la hausse à partir de 2021, atteignant jusqu’à 11.56% en mars 2022, puis une légère diminution en 2023, mais restant positif globalement. La période 2020-2021 semble avoir été fortement marquée par la pandémie, avec un redressement notable par la suite.
- Attributions aux participations et à l’actionnaire controlant
- Les pertes ou bénéfices attribuables à des participations hors contrôle oscillent autour de valeurs négatives et positives faibles, tandis que ceux attribuables à la société mère montrent une tendance à la stabilisation après des pertes importantes en 2020. La part de résultat attribuable à l’actionnaire MPC a montré une capacité de récupération, se maintenant dans une fourchette positive après une chute en 2020, indiquant une meilleure performance pour les actionnaires depuis cette période.