Stock Analysis on Net

Royal Caribbean Cruises Ltd. (NYSE:RCL)

22,49 $US

Cette entreprise a été transférée aux archives ! Les données financières n’ont pas été mises à jour depuis le 29 juillet 2022.

Structure du compte de résultat

Espace pour les utilisateurs payants

Les données sont cachées derrière : .

  • Commandez un accès complet à l’ensemble du site Web à partir de 10,42 $US par mois ou

  • Commandez 1 mois d’accès à Royal Caribbean Cruises Ltd. pour 22,49 $US.

Il s’agit d’un paiement unique. Il n’y a pas de renouvellement automatique.


Nous acceptons :

Visa Mastercard American Express Maestro Discover JCB PayPal Google Pay
Visa Secure Mastercard Identity Check American Express SafeKey

Royal Caribbean Cruises Ltd., structure du compte de résultat consolidé

Microsoft Excel
12 mois terminés le 31 déc. 2021 31 déc. 2020 31 déc. 2019 31 déc. 2018 31 déc. 2017
Recettes des billets passagers
Revenus à bord et autres revenus
Revenus
Commissions, transports et autres
À bord et autres
Paie et activités connexes
Nourriture
Combustible
Autres activités d’exploitation
Frais d’exploitation des croisières
Marge brute (perte brute)
Frais de marketing, de vente et d’administration
Dotations aux amortissements
Dépréciation et pertes sur créances
Bénéfice (perte) d’exploitation
Revenus d’intérêts
Charges d’intérêts, déduction faite des intérêts capitalisés
Revenus (pertes) de placements en actions
Autres produits (charges)
Autres produits (charges)
Bénéfice (perte) avant impôts sur les bénéfices
Avantage (dépense) d’impôt sur le revenu
Bénéfice net (perte nette)
Bénéfice net attribuable à la participation ne donnant pas le contrôle
Bénéfice net (perte nette) attribuable à Royal Caribbean Cruises Ltd.

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31).


Recettes des billets passagers
Les recettes des billets passagers ont connu une légère fluctuation entre 2017 et 2019, représentant en moyenne environ 71,8 % du chiffre d’affaires. En 2020, cette part a diminué significativement à 68,12 %, probablement en raison de la baisse due à la pandémie de COVID-19. En 2021, la proportion a poursuivi sa baisse pour atteindre 61,43 %, reflétant une diminution continue des revenus provenant des billets passagers.
Revenus à bord et autres revenus
Les revenus liés à bord et autres ont connu une croissance constante en pourcentage du chiffre d’affaires, passant de 28,08 % en 2017 à 38,57 % en 2021. Cette évolution indique une dépendance accrue aux activités à bord pour générer des revenus, surtout dans un contexte où les recettes de billets ont diminué.
Commissions, transports et autres
La part de ces revenus est restée relativement stable, autour de -15 % du chiffre d’affaires, avec une légère amélioration à -13,55 % en 2021. La tendance montre une stabilité relative dans cette catégorie spécifique.
Revenus à bord et autres activités
Cette catégorie a connu une augmentation notable en pourcentage du chiffre d’affaires, atteignant -7,63 % en 2021 contre environ -5,6 % en 2017. La progression indique une croissance relative des autres revenus à bord, en dépit d’une réduction de la part des recettes de billets passagers.
Frais de personnel et activités connexes, nourriture, combustible
Les coûts liés à la paie et activités connexes ont explosé en pourcentage du chiffre d’affaires, passant de moins de 10 % à plus de 54 % en 2021. La dépense en nourriture et combustible a également augmenté, particulièrement en 2020 et 2021, avec des parts respectives de -10,73 % et -25,15 %, témoignant d’une hausse significative des coûts opérationnels dans ces segments.
Autres activités d’exploitation et frais d’exploitation des croisières
Ces coûts ont connu une forte augmentation, notamment en 2020-2021, atteignant des parts exorbitantes supérieures à 60-170 %, ce qui indique une surcharge des coûts d’exploitation, probablement liée aux effets néfastes de la pandémie sur le secteur.
Marge brute (perte brute)
La marge brute annuelle est stable autour de 44-45 % en 2017-2019, mais devient une perte importante en 2020 (-25,19 %) et 2021 (-73,45 %). La détérioration indique une dégradation majeure de la rentabilité brute, notamment en raison de l’impact des coûts exceptionnels et de baisse de revenus.
Frais de marketing, vente et administration, dotations aux amortissements
Ces frais ont également augmenté en proportion du chiffre d’affaires, avec des pics en 2020 et 2021, dépassant 80-90 %, reflétant probablement des efforts exceptionnels pour faire face à la crise ou des charges accrues liées à la gestion de la restructuration. La dépréciation et pertes sur créances ont fortement augmenté en 2020-2021, atteignant 70,92 % puis 5,35 %, indiquant des provisions importantes sur d’éventuelles pertes d’actifs ou créances.
Résultat d’exploitation
Le résultat d’exploitation a connu une chute dramatique à partir de 2020, passant d’environ 19 % du chiffre d’affaires à une perte de -208,33 % en 2020, puis à -252,61 % en 2021. Cette dégradation reflète une dégradation de la performance opérationnelle, en grande partie imputable à la forte hausse des coûts et à la baisse des revenus.
Revenus et charges financiers
Les revenus d’intérêts ont été relativement stables, autour de 0,25-0,35 %, mais les charges d’intérêts ont explosé, allant jusqu’à -84,31 % en 2021, témoignant d’un endettement accru ou de coûts financiers élevés liés à la crise. Les autres produits et charges y compris de placements en actions ont nettement diminué en 2020-2021, dont certains passant en pertes substantielles durant la même période.
Bénéfice avant impôts, bénéfice net
La part du bénéfice ou de la perte avant impôts a suivi la tendance générale, passant de près de 18-19 % du chiffre d’affaires jusqu’à une perte énorme de -262,14 % en 2020, puis à -346,29 % en 2021. Le bénéfice net attribuable à l’entreprise a suivi le même déclin, passant d’environ 17-19 % à une perte profonde de -261,46 % en 2020 et -343,34 % en 2021. La forte hausse des pertes indique une crise financière majeure, uniquement imputable à l’impact de la pandémie sur la rentabilité.