Structure du bilan : passif et capitaux propres
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-07-26), 10-K (Date du rapport : 2024-07-27), 10-K (Date du rapport : 2023-07-29), 10-K (Date du rapport : 2022-07-30), 10-K (Date du rapport : 2021-07-31), 10-K (Date du rapport : 2020-07-25).
- Dette à court terme
- La proportion de la dette à court terme par rapport au total du passif et des capitaux propres a connu une réduction significative entre juillet 2020 et juillet 2022, passant de 3,17% à 1,17%. Cependant, une augmentation notable s’est produite en juillet 2024, atteignant 9,12%, avant de diminuer à 4,28% en juillet 2025. Cette fluctuation indique une variation dans la recours à la dette à court terme, peut-être liée à des changements dans la stratégie de gestion de la liquidité ou à des besoins temporaires en financement à court terme.
- Comptes créditeurs
- La part des comptes créditeurs est restée relativement stable, se situant autour de 2,3% à 2,4% tout au long de la période, avec une légère baisse en 2024 à 1,85%. Cette stabilité indique un maintien des conditions de paiement fournisseurs sans variation majeure.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- La proportion des impôts sur les bénéfices à payer a été relativement stable, fluctuant entre 0,82% et 1,02% jusqu’en 2022, avant d’augmenter en 2023 à 4,16%. Par la suite, cette part est revenue à un niveau plus faible, entre 1,16% et 1,52%, semblant refléter des variations dans la stratégie fiscale ou dans le calendrier des paiements des obligations fiscales.
- Rémunération accumulée
- La rémunération accumulée, en tant que passif à court terme, a globalement augmenté de 3,29% en 2020 à 3,92% en 2021, puis réduit à 3,53% en 2022. Ensuite, elle a suivi une tendance stable en 2023, avant de diminuer en 2024 à 2,9%, et de se stabiliser proche de 2,95% en 2025. Ceci pourrait témoigner d’une gestion prudente des obligations salariales ou de changements dans la politique de rémunération différée.
- Produits reportés
- Les produits reportés ont représenté une part stable, oscillant entre 12,02% et 13,66% du total du passif et des capitaux propres. La légère augmentation en 2022 et 2023 indique une tendance à différer la reconnaissance des revenus, tandis que leur stabilité en pourcentage traduit une gestion constante de ces passifs.
- Autres passifs à court terme
- Ce poste a diminué de 5% en 2020 à 4,43% en 2025, avec des fluctuations mineures. La tendance à la légère baisse pourrait suggérer une gestion plus efficace ou une réduction des autres obligations à court terme.
- Passif à court terme
- Sa part a connu une hausse importante, passant de 26,71% en 2020 à 30,74% en 2023, avant de culminer à 32,62% en 2024. En 2025, il revient à 28,67%. Ces variations indiquent une augmentation relative du passif à court terme au cours de la cycle, reflétant peut-être une politique de financement plus orientée vers des obligations à court terme ou des besoins temporaires accrus.
- Dette à long terme, excluant la partie courante
- Cette dette a connu une décroissance jusqu’en 2023, passant de 12,21% à 6,54%, avant d’augmenter fortement en 2024 à 15,77% puis à 18,69% en 2025. La tendance indique une réduction de la dette à long terme, suivie d’un recentrage ou d’un recours accru à ce type de financement dans la dernière période, peut-être pour soutenir des investissements ou refinancer la dette à court terme.
- Impôts sur les bénéfices à payer (long terme)
- Leur part a diminué de 9,32% en 2020 à 1,77% en 2025, signalant une amélioration ou une gestion plus efficace des obligations fiscales différées à long terme.
- Produits reportés (long terme)
- Ils ont augmenté légèrement, de 9,53% en 2020 à 10,11% en 2025, reflétant une stabilité dans la reconnaissance différée des revenus à long terme.
- Autres passifs à long terme
- Ce poste est resté relativement constant, autour de 2% à 2,45%, indiquant une gestion stable de ces passifs spécifiques.
- Passifs à long terme
- Après une baisse de 33,32% en 2020 à 30,41% en 2022, leur part a diminué à 25,71% en 2023 avant de remonter à 30,84% en 2024 et 33,02% en 2025. La fluctuation reflète une gestion dynamique de la structure du passif à long terme, avec une tendance à la diversification ou au recentrage vers des obligations plus importantes dans la dernière année.
- Total du passif
- Sa part relative est restée constante à 60-61.7% sur l’ensemble de la période, indiquant une stabilité dans la composition du passif total par rapport aux capitaux propres.
- Actions ordinaires et capital versé additionnel
- Cette part a augmenté de 43,44% en 2020 à 45,44% en 2022, puis a diminué à 36,81% en 2024 avant de remonter à 39,04% en 2025. Les fluctuations montrent une gestion changeante du capital social ou des émissions/actions propres.
- Bénéfices non répartis (déficit accumulé)
- Ce poste, négatif en 2020 (-2,91%), s’est amélioré en passant proche de zéro en 2023 (1,61%) puis est revenu à un léger excédent en 2024 (0,87%) avant de se stabiliser à 0,04% en 2025. Cela reflète une tendance vers une réduction du déficit ou une accumulation de bénéfices non distribués.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- Ce poste a été négatif tout au long de la période, avec une tendance à l’aggravation en 2022, atteignant -1,73%, puis une stabilisation autour de -1,5%. La stabilité relative indique peu de variation dans d’autres éléments de résultat global non réalisés.
- Équité
- La part de l’équité dans le total du passif et des capitaux propres est passée de 39,98% en 2020 à 42,33% en 2021, puis à 42,31% en 2022. Elle a augmenté à 43,55% en 2023 avant de diminuer à 36,54% en 2024 et de remonter légèrement à 38,3% en 2025. La tendance montre une certaine fluctuation dans la structure du financement propre, avec des périodes d’accroissement puis de contraction.