Structure du bilan : passif et capitaux propres
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-07-27), 10-K (Date du rapport : 2023-07-29), 10-K (Date du rapport : 2022-07-30), 10-K (Date du rapport : 2021-07-31), 10-K (Date du rapport : 2020-07-25), 10-K (Date du rapport : 2019-07-27).
- Dette à court terme
- La proportion de la dette à court terme en pourcentage du total du passif et des capitaux propres a fortement diminué entre 2019 et 2022, passant de 10,42 % à 1,17 %. Cependant, elle a augmenté en 2023 à 1,7 % puis de manière significative en 2024 à 9,12 %, indiquant une reprise ou une augmentation des obligations à court terme cette année-là.
- Comptes créditeurs
- La part des comptes créditeurs est restée relativement stable, avec une légère augmentation jusqu'en 2022 (2,43 %), puis une baisse en 2024 à 1,85 %. La stabilité relative de cette composante suggère une gestion constante des dettes commerciales ou des fournisseurs.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- La proportion d'impôts à payer a connu une baisse progressive de 1,17 % en 2019 à 0,82 % en 2021, avant de connaître une hausse significative en 2023 à 4,16 %. En 2024, cette part revient à 1,16 %, témoignant de fluctuations dans les obligations fiscales à court terme.
- Rémunération accumulée
- Ce passif a connu une croissance régulière, passant de 3,29 % en 2019 à un pic de 3,92 % en 2021, diminuant légèrement en 2022, puis retrouvant un niveau élevé en 2023 (3,91 %). La baisse en 2024 à 2,9 % montre une réduction de cette dette accumulée ou une gestion différente de cette composante.
- Produits reportés
- Cette ligne a connu une tendance à la hausse, progressant de 10,91 % en 2019 à 13,66 % en 2023, avant de diminuer légèrement à 13,06 % en 2024. La croissance soutenue indique une accumulation de produits différés ou reportés au fil des ans.
- Autres passifs à court terme
- Après une augmentation entre 2019 et 2022, passant de 4,52 % à 5,53 %, cette composante a légèrement diminué en 2024 à 4,54 %, témoignant d’une gestion stable de ces passifs à court terme.
- Passif à court terme
- La part globale de l’ensemble du passif à court terme a connu une réduction notable en 2020 et 2021, atteignant 26,93 %, puis une augmentation en 2023 à 30,74 %. En 2024, cette proportion dépasse de nouveau la barre des 32 %, à 32,62 %, signalant une augmentation relative de cette catégorie de passifs.
- Dette à long terme, excluant la partie courante
- Une tendance à la baisse est observée de 2019 à 2022, passant de 14,8 % à 8,95 %, puis une augmentation en 2024 à 15,77 %, indiquant une restructuration ou une variation dans le financement à long terme.
- Impôts sur les bénéfices à payer (long terme)
- Ce composant a connu une baisse constante, atteignant 5,65 % en 2023, puis une nouvelle baisse à 3,2 % en 2024, reflétant probablement un paiement ou une réduction des obligations fiscales différées à long terme.
- Produits reportés (long terme)
- Les produits différés à long terme ont augmenté de 7,98 % en 2019 à 11,43 % en 2023, puis diminué à 9,83 % en 2024, témoignant d’un report continu de certains revenus ou gains.
- Autres passifs à long terme
- Une stabilité relative est observée, situant cette composante entre 1,34 % et 2,45 %, avec une légère augmentation jusqu’en 2021, suivie d’une stabilisation à environ 2 %.
- Passifs à long terme
- Juste avant la baisse en 2022 à 30,41 %, cette catégorie a connu une forte fluctuation, atteignant un minimum à 25,71 % en 2023, puis une remontée à 30,84 % en 2024, suggérant une restructuration ou un refinancement substantiel.
- Total du passif
- En pourcentage du total du passif et des capitaux propres, la part du passif total a fluctué, passant de 65,67 % en 2019 à un minimum de 56,45 % en 2023, puis revenant à 63,46 % en 2024, reflétant une gestion dynamique de la structure du passif.
- Actions ordinaires et capital versé additionnel
- La proportion de cette catégorie a augmenté régulièrement de 2019 à 2022, culminant à 45,44 %, avant de diminuer en 2023 et 2024 à 43,48 % puis 36,81 %, indiquant une éventuelle réduction des capitaux propres par émission ou rachat d’actions.
- Bénéfices non répartis (déficit accumulé)
- Ce poste, initialement négatif, s’est progressivement amélioré, passant de -6,04 % en 2019 à un léger excédent de 0,87 % en 2024, ce qui témoigne d’une amélioration substantielle de la rentabilité ou de la gestion des résultats non distribués.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- La tendance est à la baisse, passant de -0,81 % en 2019 à -1,15 % en 2024, évoquant une accumulation négative de résultats globalisés hors du résultat net.
- Équité
- L’équité a connu une croissance régulière, passant de 34,33 % en 2019 à un maximum de 43,55 % en 2023, puis diminuant à 36,54 % en 2024. Cela indique une augmentation de la part des capitaux propres dans la structure financière, suivie d’une légère contraction.