Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-10-31), 10-K (Date du rapport : 2024-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-31), 10-K (Date du rapport : 2023-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-31), 10-K (Date du rapport : 2022-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-31), 10-K (Date du rapport : 2021-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-10-31), 10-K (Date du rapport : 2020-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-10-31), 10-K (Date du rapport : 2019-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-10-31).
- Tendance des besoins en dette à court terme
- La proportion de dettes à court terme par rapport au passif total et aux capitaux propres a connu une variabilité importante au cours de la période analysée. Elle a commencé à un niveau relativement faible d'environ 1 % fin 2018, avant de présenter une hausse significative en 2020, atteignant un pic à 12,24 % au troisième trimestre 2020. Par la suite, cette proportion a diminué, se stabilisant autour de 1,5 % à la fin de la période, indiquant une réduction relative de l'endettement à court terme ou une gestion plus efficiente de ces dettes.
- Évolution des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs ont fluctué dans une fourchette comprise entre 2,21 % et 7,5 %, avec un pic en début de période. Une tendance à la baisse s’est dessinée après 2019, avec une diminution notable en 2022, atteignant environ 2,24 %, avant un léger rebond en 2024. Ces variations peuvent refléter des changements dans la politique de paiement ou de gestion fournisseur.
- Charges à payer et passifs connexes
- Les charges à payer, qui représentaient initialement environ 3,5 %, ont connu des fluctuations plus marquées, culminant à 6,13 % en juillet 2019, puis diminuant pour atteindre un niveau plus stable autour de 1,2 % à la fin de la période. Cette dynamique indique une gestion proactive de ces passifs ou un changement dans la reconnaissance des charges encourues.
- Produits reportés
- Les produits reportés ont globalement évolué dans une tendance décroissante, passant d’environ 10,4 % en octobre 2018 à environ 2,6 % en juillet 2022, avant de retrouver un léger rebond vers 3,24 % à la fin 2024. Cette évolution pourrait indiquer un décalage dans la reconnaissance des revenus ou un ajustement de la politique comptable.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Les impôts à payer ont été très variables, avec des valeurs manquantes sur une grande partie de la période, mais présentant une augmentation significative en début de 2024, culminant à 1,68 %, ce qui pourrait signaler une charge fiscale accrue ou une échéance imminente de paiement.
- Passif à court terme en pourcentage
- La part du passif à court terme a affiché une tendance à la baisse jusqu’en 2021, atteignant un minimum autour de 11,28 %, puis a connu une hausse en 2022 pour revenir à des niveaux proches de 26,38 %, témoignant de fluctuations dans la composition du passif à court terme.
- Fonds à payer et dettes clientèle
- Le ratio a connu des variations substantielles, passant d’un minimum à 1,43 % en 2022 à un maximum de 16,89 % en 2024. Cette augmentation récente indique une croissance significative des fonds à payer ou des dettes clients, pouvant refléter des changements dans la stratégie commerciale ou dans la gestion des flux de trésorerie liés à ces obligations.
- Part du passif à long terme
- Cette composante a augmenté progressivement, passant de 11.36 % fin 2018 à environ 20 % en 2022, puis stabilisée autour de 18-20 % en 2024. La tendance indique une préférence croissante pour le financement à long terme pour soutenir les activités ou les investissements de l’entreprise.
- Dettes à long terme
- Les dettes à long terme ont montré une certaine stabilité relative, oscillant entre 5,75 % et 7,61 % jusqu’en 2020, puis progressant pour atteindre environ 20 % à partir de 2021, avant de se stabiliser autour de 16-18 % en 2024. Ce mouvement indique une modification dans la structure du passif, avec une augmentation de l’utilisation de dettes à long terme pour le financement de l’entreprise.
- Proportion de capitaux propres
- Les capitaux propres, en pourcentage du passif total, ont montré une tendance à la stabilisation autour de 55-65 %, avec un pic à 65,45 % en 2021. Cela reflète une solidité financière relative et une capacité à couvrir ses dettes avec des fonds propres, malgré la volatilité des autres passifs.
- Variation du stock de trésorerie
- Le stock de trésorerie, exprimé en pourcentage à prix coûtant, a été fortement négatif, atteignant environ -226 % fin 2018, avec une tendance à l'aggravation jusqu'en 2019, avant de s’améliorer partiellement au fil du temps, mais restant significativement négatif. Cette forte valeur négative indique une intensité élevée de sujets liés probablement à la comptabilisation des stocks ou à une gestion de trésorerie spécifique.
- Évolution du résultat global et des bénéfices non répartis
- Le cumul du résultat global a connu une tendance à la stabilisation autour de -0,2 %, tandis que les bénéfices non répartis ont montré une croissance continue, passant d’environ 171 % à près de 54 %, ce qui indique une accumulation importante de bénéfices, même si la part relative par rapport au passif a varié, en reflétant la distribution et la rétention des résultats.