Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2025-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-10-31), 10-K (Date du rapport : 2024-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-31), 10-K (Date du rapport : 2023-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-31), 10-K (Date du rapport : 2022-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-31), 10-K (Date du rapport : 2021-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-10-31), 10-K (Date du rapport : 2020-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-10-31).
- Évolution de la dette à court terme
- La proportion de la dette à court terme par rapport au passif total et aux capitaux propres a montré une fluctuation significative au cours de la période analysée. Elle était très basse en octobre 2019 (0,81 %) mais a connu une hausse importante au premier trimestre 2020 (4,51 % en avril 2020), probablement en raison de la crise sanitaire ou d'une modification dans la gestion de la liquidité. Ensuite, cette proportion a diminué pour atteindre un point bas en juin 2021 (environ 1,84 %) avant d'augmenter à nouveau, atteignant une valeur d'environ 1,58 % en janvier 2024. La tendance indique une gestion fluctuante mais généralement maîtrisée de la dette à court terme, avec une hausse notable en 2020 attribuable à des événements exceptionnels.
- Comportement des comptes créditeurs et charges à payer
- Les comptes créditeurs ont montré une tendance variable, oscillant entre 2,47 % (avril 2021) et environ 6,79 % (janvier 2020). La proportion a diminué après le pic initial, mais reste relativement stable autour de 2,2 % en 2024. Les charges à payer et passifs connexes ont, quant à eux, connu une baisse initiale en 2020, mais ont tendance à remonter en 2024, atteignant environ 2,32 %. Ces mouvements suggèrent une gestion professionnelle des dettes fournisseurs et autres passifs à court terme, avec une certaine volatilité durant la période.
- Évolution des produits reportés et autres passifs à court terme
- Les produits reportés ont affiché une baisse significative entre octobre 2019 (8,96 %) et octobre 2021 (4,03 %), suivie d'une stabilisation puis d'une légère fluctuation, restant autour de 2,7 % en 2024. Les autres passifs à court terme ont connu une augmentation notable en avril 2020 (7,86 %) puis une tendance à la baisse, mais avec quelques rebonds, restant à environ 1,69 % en avril 2024. Cela pourrait indiquer une gestion prudente des obligations différées et autres passifs à court terme.
- Proportion du passif à court terme
- Le pourcentage de passif à court terme par rapport au passif total et aux capitaux propres a varié, atteignant un maximum vers 34,94 % en avril 2020—peut-être en lien avec les mesures d’urgence face à la crise sanitaire—puis a diminué progressivement pour atteindre environ 8,91 % en avril 2024. La tendance reflète une réduction de la dépendance au passif à court terme dans la période récente, ce qui peut indiquer un renforcement de la solidité financière à court terme.
- Évolution de la dette à long terme
- La part de la dette à long terme a augmenté au début de la période, passant d’environ 6,03 % en octobre 2019 à un maximum de 25,59 % en avril 2022, puis a connu une baisse pour s’établir aux environs de 16,14 % en juillet 2025. La fluctuation indique une gestion dynamique de l'endettement à long terme, potentiellement en réponse à des besoins d’investissement ou de refinancement. La tendance générale demeure toutefois une part significative du passif total, témoignant d’un recours modéré à l’endettement à long terme dans la stratégie financière globale.
- Structures du passif total
- La proportion du total du passif par rapport aux capitaux propres a varié entre 38,95 % en octobre 2019 et un pic de 53,29 % en juillet 2020. La tendance générale montre une augmentation de la dépendance du passif par rapport aux fonds propres, parallèlement à une stratégie pouvant impliquer un endettement accru durant certaines périodes. Cependant, la proportion a ensuite oscillé, retrouvant une stabilité autour de 40 % depuis 2022, ce qui indique un équilibre relatif dans la structure du passif à long terme et à court terme.
- Capitaux propres et bénéfices non répartis
- Les capitaux propres ont constitué une part majoritaire du passif total, allant de 55,62 % en janvier 2020 à un maximum de 65,45 % en octobre 2021, puis une légère baisse à environ 53,33 % en avril 2024. Les bénéfices non répartis ont suivi une tendance à la hausse sur la période, reflétant la croissance des résultats nets ou une stratégie de conservation des bénéfices. En octobre 2023, ils représentaient environ 53,52 %, ce qui souligne une politique de rétention des profits afin de renforcer les fonds propres.
- Analyse du stock de trésorerie
- Le stock de trésorerie, exprimé en pourcentage du passif total et des capitaux propres, a présenté une évolution très négative, passant de -190,04 % en octobre 2019 à environ -58,29 % en avril 2024. La tendance indique une dégradation progressive de cette composante, possiblement due à une augmentation des liquidités hors de portée immédiate ou à une gestion conservatrice des liquidités disponibles. La fluctuation autour de certaines valeurs proches de -60 % suggère une gestion prudente ou des investissements financiers spécifiques.
- Conclusion sur l’état général du passif et des capitaux propres
- Dans l’ensemble, la structure financière montre une transition progressive vers un profil plus équilibré, avec une réduction notable de la dépendance à l’endettement à court terme, tandis que la part de la dette à long terme a fluctué mais reste significative. La proportion de capitaux propres demeure majoritaire, ce qui renforce la stabilité financière. La gestion des obligations à court terme a été assez dynamique, avec des variations importantes lors des phases critiques telles que 2020, conséquence probable d’un ajustement face à la crise mondiale. La baisse constante du stock de trésorerie pourrait signaler une utilisation stratégique des liquidités ou une transformation dans la composition des actifs financiers.