Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2025-04-30), 10-K (Date du rapport : 2025-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-04-30), 10-K (Date du rapport : 2024-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-30), 10-K (Date du rapport : 2023-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-30), 10-K (Date du rapport : 2022-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-30), 10-K (Date du rapport : 2021-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-04-30), 10-K (Date du rapport : 2020-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-04-30).
- Tendances générales du passif
- Au fil du temps, la proportion du passif total et des capitaux propres constituée par le passif à court terme a connu des fluctuations, passant d'environ 41,95 % au début de la période à un maximum de 57,31 % en juillet 2019, puis diminuant pour atteindre environ 27,53 % en octobre 2024. Cette évolution indique une gestion variable de la maturité des obligations à court terme, avec une tendance vers une réduction de la dépendance au passif à court terme à l’approche de la fin de la période analysée.
- Variation des dettes courantes et non courantes
- La dette courante présente une volatilité notable, atteignant un pic exceptionnel de 20,58 % en juillet 2019, avant de diminuer et de se stabiliser autour de 8,67 % à la fin de la période. Par ailleurs, la dette non courante a montré une tendance variable, avec des pics à 25,66 % en avril 2020, suivis d’une baisse progressive jusqu’à environ 16,62 % en octobre 2024. Ces mouvements suggèrent une gestion de la structure du passif, avec un recours plus modéré à la dette à long terme dans la période récente.
- Comptes créditeurs et charges à payer
- Les comptes créditeurs oscillent entre 0,45 % et 1,14 %, présentant une petite tendance à la stabilité avec de légères fluctuations, indiquant une gestion cohérente des dettes fournisseurs. Les charges à payer et autres passifs à court terme suivent une tendance plutôt stable, oscillant entre 1,54 % et 2,7 %, suggérant une gestion prudente des passifs à court terme liés aux opérations courantes.
- Revenus non gagnés
- Les revenus non gagnés, à la fois courants et non courants, démontrent une certaine stabilité relative, habituellement compris entre 20,99 % et 29,78 %, avec une tendance à la baisse sur l'ensemble de la période. La baisse notable des revenus non gagnés dans la période récente indique une éventuelle reconnaissance accrue des revenus, traduisant une évolution dans la réalisation des prestations ou dans la gestion des revenus différés.
- Ratio de capitaux propres et structure de financement
- Les capitaux propres, en pourcentage du passif et des capitaux propres, ont progressé de 35,11 % à 51,82 % entre 2019 et 2025, signalant une augmentation de l’autofinancement ou de la contribution des actionnaires. La part du capital versé supplémentaire a également connu des fluctuations, mais dans l’ensemble, cette composante reste prédominante dans la structure du financement, avec une présence significative de 63,76 % à 73,73 %. Il est à noter que la part des actions du Trésor était négative, indiquant un rachat d’actions, avec une intensification de cette pratique à partir de 2021, culminant à environ -10,58 % en janvier 2025. Cela reflète une stratégie de réduction du capital en circulation par rachat d’actions pour soutenir la valeur des titres ou pour d’autres motifs financiers.
- Autres éléments du résultat étendu et déficit accumulé
- Les éléments du résultat étendu montrent des fluctuations mineures, principalement positives ou proches de zéro, contribuant marginalement au passif. En revanche, le déficit accumulé a diminué significativement, passant d’environ -38,85 % en avril 2019 à près de -5,06 % en avril 2025. Cette réduction du déficit indique une amélioration progressive de la rentabilité ou une gestion efficace des pertes accumulées, contribuant à renforcer la solvabilité et la stabilité financière de l’entité.
- Structures relatives globales
- La proportion des passifs non courants, bien que variable, représente une part généralement modérée, oscillant entre 8,53 % et 26,29 %, témoignant d’une gestion équilibrée du passif à long terme. La majorité du passif demeure à court terme, mais la tendance vers une réduction de la dépendance à long terme pourrait indiquer une stratégie de réduction du risque de refinancement futur ou une meilleure gestion de la liquidité.
- Conclusion synthétique
- Dans l’ensemble, la structure financière démontre une gestion dynamique avec une tendance à renforcer la solvabilité par une croissance des capitaux propres et une réduction progressive de la dépendance à la dette à long terme au fil du temps. La gestion du passif, notamment en termes de maturité et de composition, semble privilégier une réduction des obligations à court terme en fin de période, ce qui pourrait améliorer la flexibilité financière et réduire les risques liés au refinancement. La réduction du déficit accumulé indique également une amélioration de la situation bénéficiaire ou une gestion efficace des pertes passées, renforçant la stabilité financière globale de l’entité.