Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2025-02-28), 10-Q (Date du rapport : 2024-11-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-08-31), 10-K (Date du rapport : 2024-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-02-29), 10-Q (Date du rapport : 2023-11-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-08-31), 10-K (Date du rapport : 2023-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-02-28), 10-Q (Date du rapport : 2022-11-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-08-31), 10-K (Date du rapport : 2022-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-02-28), 10-Q (Date du rapport : 2021-11-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-08-31), 10-K (Date du rapport : 2021-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-02-28), 10-Q (Date du rapport : 2020-11-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-08-31), 10-K (Date du rapport : 2020-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-02-29), 10-Q (Date du rapport : 2019-11-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-08-31).
- Effets à payer et autres emprunts, courants
- Les effets à payer et autres emprunts courants ont connu une évolution variable, avec une tendance globale à la hausse du pourcentage du passif total et des capitaux propres, en particulier une augmentation significative autour de fin 2020 et début 2021. Leur part a atteint un pic en novembre 2020 à 12.35 %, avant de fluctuer autour de 3 à 4 % dans les périodes suivantes. Cette hausse pourrait indiquer une augmentation de la dette à court terme, mais la diminution ultérieure suggère une gestion plus prudente ou un remplacement par d'autres formes d'endettement à plus long terme.
- Comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs ont connu une tendance à la croissance au fil du temps, passant d’environ 0.46 % à 0.54 %, puis atteignant un maximum en février 2025 à 3.04 %. Cette augmentation reflète probablement une augmentation des échéances fournisseurs ou des délais de paiement, contribuant à une augmentation de la composante passif à court terme. Cependant, la variation reste modérée par rapport à d’autres passifs.
- Rémunération accumulée et avantages connexes
- Ce poste est resté relativement stable dans sa part du passif, oscillant autour de 1.19 % à 1.54 %. La stabilité indique une gestion constante des obligations liées à la rémunération des employés, sans changement significatif dans la structure de la rémunération différée ou avantage accru.
- Revenus reportés
- Les revenus reportés ont montré une légère variabilité, oscillant entre 5.58 % et 9.5 %. Une tendance à la baisse initiale a été observée, suivi d’une stabilité autour de 6 à 8 %. Cela pourrait indiquer une régularisation ou une réduction de la proportion des revenus différés dans la structure passive, influençant la reconnaissance des revenus futurs.
- Autres passifs à court terme
- Ce poste a connu une augmentation progressive, passant de 3.1 % à 5.22 %, atteignant un pic en novembre 2021. La croissance indique une accumulation d’obligations ou autres passifs à court terme, susceptibles d’accroître la pression sur la liquidité à court terme si cette tendance se poursuit.
- Passif à court terme
- La part du passif à court terme dans le passif total a fluctué notablement, avec un pic en novembre 2021 à 22.38 %, illustrant une période d’intensification du passif à court terme. La tendance au fil du temps reste à une moyenne d’environ 17-19 %, suggérant une gestion équilibrée ou une phase de transition dans la structure de passif à court terme.
- Billets à payer et autres emprunts non courants
- Ce poste est le composant majeur du passif, représentant généralement entre 47 % et 68 % du passif total. On note une tendance à la stabilité autour de 50-60 %, avec une légère baisse en 2024 à 50.66 %. La variabilité pourrait refléter des refinancements ou une gestion active de la dette à plus long terme.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Ce passif représente une part modérée, généralement entre 6 et 13 %, avec une tendance à la baisse depuis 2019. La réduction progressive reflète peut-être un avantage fiscal ou une meilleure gestion fiscale, et une tendance à la réduction de la dette fiscale différée ou à l'encaissement rapide des impôts.
- Passifs d’impôts différés
- Ce poste est absent dans les premiers bilans mais apparaît au fil du temps avec une tendance à la diminution, passant d’environs 6-6.7 % à moins de 2 %. La réduction indique une réduction progressive des passifs fiscaux différés ou une utilisation de crédits fiscaux, impactant la structure fiscale à long terme.
- Autres passifs non courants
- Ce poste a connu une croissance constante, allant de 3.9 % à près de 10.43 %, signalant une accumulation progressive d’obligations longues échéances ou autres passifs non courants, ce qui pourrait augmenter la complexité de la structure du passif à long terme.
- Passifs non courants
- Ce composant constitue la majorité du passif, oscillant généralement entre 64 % et 91 %. La tendance à la hausse importante en 2021 suggère une stratégie de financement à long terme avec un poids accru des dettes non courantes, qui semble se stabiliser autour de 70 % à partir de 2024.
- Total du passif
- La part du passif dans la structure totale de la société a globalement augmenté, atteignant en novembre 2021 plus de 109 %, ce qui pourrait indiquer un endettement accru ou une restructuration passif significative. Par la suite, une tendance à la baisse est observée, se rapprochant d’un ratio proche de 87.55 % en mai 2025, reflet d’une gestion visant à réduire la dépendance à l’endettement à long terme.
- Actions ordinaires et capital versé supplémentaire
- Ce poste représente autour de 20 à 27 %, avec une tendance à la stabilité, légèrement inférieure durant la période, oscillant autour de 22-24 %. La stabilité indique une politique de financement via émission d’actions équilibrée ou relativement stable dans le temps.
- Déficit accumulé
- Le déficit accumulé a montré une tendance à la diminution, passant de -6.07 % à -9.32 % en 2019, pour atteindre un minimum autour de -31.88 % en novembre 2021, puis se stabiliser autour de -10 % à partir de 2024. La réduction du déficit indique une amélioration continue de la rentabilité ou une restructuration financière visant à réduire les pertes reportées.
- Total des capitaux propres (déficit)
- Ce poste a connu une trajectoire d’amélioration notable, passant d’un déficit significatif à une situation de surplus potentiel, avec une augmentation régulière à partir de 2022, culminant à 12.15 % en mai 2025. Cela traduit une amélioration substantielle de la situation financière propre de la société.