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- Structure du bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Ratio valeur d’entreprise/FCFF (EV/FCFF)
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2005
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2005
- Ratio prix/chiffre d’affaires (P/S) depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-04-27), 10-K (Date du rapport : 2025-01-26), 10-Q (Date du rapport : 2024-10-27), 10-Q (Date du rapport : 2024-07-28), 10-Q (Date du rapport : 2024-04-28), 10-K (Date du rapport : 2024-01-28), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-29), 10-Q (Date du rapport : 2023-07-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-30), 10-K (Date du rapport : 2023-01-29), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-05-01), 10-K (Date du rapport : 2022-01-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-08-01), 10-Q (Date du rapport : 2021-05-02), 10-K (Date du rapport : 2021-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-10-25), 10-Q (Date du rapport : 2020-07-26), 10-Q (Date du rapport : 2020-04-26), 10-K (Date du rapport : 2020-01-26), 10-Q (Date du rapport : 2019-10-27), 10-Q (Date du rapport : 2019-07-28), 10-Q (Date du rapport : 2019-04-28).
- Tendance générale du chiffre d'affaires
- La structure des données indique que, pour toutes les périodes analysées, le chiffre d'affaires en pourcentage reste constant à 100 %, ce qui signifie que les autres ratios sont exprimés en proportion de ce chiffre d'affaires. Aucun changement notoire dans cette base de référence n'est observé.
- Coût des revenus
- Le pourcentage du chiffre d'affaires consacré au coût des revenus a varié au fil du temps, passant d'environ -41,62 % en 2019 à un maximum de -56,52 % en mai 2022. Cette augmentation indique une croissance relative des coûts par rapport au chiffre d'affaires, ce qui pourrait affecter la marge brute. Depuis cette période, une tendance à la baisse est observable, atteignant environ -24 % en avril 2023, avant une nouvelle augmentation vers -39,48 % en janvier 2025.
- Marge brute
- La marge brute a connu une amélioration constante, passant d'environ 58,38 % en 2019 à un pic autour de 78,35 % en octobre 2021. Ensuite, une légère diminution est constatée, s’établissant à environ 60,52 % en janvier 2025. Cette évolution reflète une efficacité croissante dans la gestion des coûts directs, malgré des fluctuations occasionnelles.
- Recherche et développement
- Les dépenses de recherche et développement en pourcentage du chiffre d'affaires ont augmenté globalement, passant d'environ -30,36 % en 2019 à un maximum de -32,79 % en juillet 2022. Depuis cette date, une tendance à la stabilisation ou à la légère diminution est visible, avec des pourcentages autour de -9,05 % en avril 2025. La progression de ces investissements indique une orientation soutenue vers l'innovation technologique.
- Ventes, générales et administratives
- Les charges en pourcentage du chiffre d'affaires ont présenté une certaine volatilité. Après une baisse continue jusqu'à environ -2,36 % fin 2024, une légère augmentation est observée au dernier trimestre, atteignant -2,48 % en avril 2025. La tendance générale suggère une gestion efficiente de ces charges, avec une réduction relative au fil du temps, sauf pour la dernière période où une hausse marginale apparaît.
- Charges d’exploitation
- Ce poste a fluctué substantiellement, avec une augmentation notable en 2022, où le pourcentage atteint jusqu’à -56,52 %, la valeur la plus élevée. Par la suite, une baisse progressive se manifeste, atteignant environ -11,42 % en avril 2025. La tendance indique une gestion plus rigoureuse des charges d’exploitation après une période de dépenses accrues.
- Résultat d’exploitation
- Ce indicateur a démontré une forte croissance, passant d'environ 16,13 % en 2019 à un sommet de 64,92 % en juillet 2024. La contraction observée en octobre 2024 (-62,06 %) est peu significative dans le contexte global. La tendance reflète une amélioration de la rentabilité opérationnelle sur la période, grâce notamment à l’optimisation des coûts et à une augmentation des revenus opérationnels.
- Revenus d’intérêts et charges d’intérêts
- Les revenus d’intérêts, en pourcentage du chiffre d'affaires, ont progressé progressivement après une période de stabilité, atteignant environ 1,17 % en 2024. Les charges d’intérêt ont, quant à elles, diminué en pourcentage, passant de -0,59 % en 2019 à environ -0,14 % en 2025. La combinaison de ces évolutions indique une réduction progressive du coût de la dette ou de l’intérêt lié à l’endettement.
- Autres produits et charges
- Ce poste a présenté une variabilité significative, avec des valeurs fluctuantes tout au long de la période. Certaines périodes ont enregistré des contributions positives ou négatives, mais sans tendance claire à la hausse ou à la baisse persistante. La moyenne globale apparaît relativement stable avec des pics et des creux ponctuels.
- Bénéfice avant impôt sur le revenu
- Ce paramètre a connu une nette croissance, en passant d’environ 17,52 % en 2019 à un maximum de 66,35 % en octobre 2024. La tendance générale démontre une amélioration significative de la rentabilité avant impôt, indiquant une gestion performante de la rentabilité opérationnelle et financière de l’entreprise.
- Avantage (dépense) d’impôt sur le revenu
- Les écarts liés aux impôts ont été variables, allant de valeurs négatives proches de -8 % à des pics positifs de +2,7 % en 2022. Après cette période, une tendance à l’accroissement des charges fiscales négatives est visible, notamment une augmentation en magnitude vers -9 % en 2024. Cela pourrait refléter des avantages fiscaux ou des pertes fiscales reportées.
- Revenu net
- Ce dernier indicateur a illustré une progression importante, passant de 17,75 % en 2019 à un sommet de 57,14 % en juillet 2024. La croissance régulière renforce l’impression d’une forte amélioration de la rentabilité nette, conséquence d’une gestion efficiente des coûts, d’une croissance des revenus et d’une optimisation fiscale.