Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Tableau des flux de trésorerie
- Analyse des ratios de solvabilité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Ratios d’évaluation des actions ordinaires
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31).
- Analyse des comptes créditeurs
- La proportion des comptes créditeurs par rapport au total des passifs et des capitaux propres a connu une légère augmentation, passant de 42,13 % en 2017 à 40,07 % en 2021. Après une baisse notable en 2019, cette part a remonté en 2021, indiquant une gestion accrue des échéances fournisseurs ou une modification dans la structure du passif à court terme.
- Réserves d’auto-assurance
- Ces réserves sont restées relativement stables sur la période, avec une légère augmentation de 0,74 % en 2019 à 1,10 % en 2021. Cela pourrait refléter une hausse de la provision pour risques ou sinistres liés à l’auto-assurance, ou une gestion prudente renforcée dans cette réserve.
- Masses salariales à payer
- La part de la masse salariale à payer en tant que pourcentage du total a été stable, oscillant autour de 0,77 % à 1,08 %, avec une légère hausse en 2018. Cela suggère une gestion équilibrée des obligations salariales à court terme.
- Prestations accumulées et retenues
- Une tendance à l’augmentation est observable, passant de 0,92 % en 2017 à 2,00 % en 2021. La croissance indique une accumulation accrue de passifs liés aux prestations futures ou retenues, probablement en lien avec des plans de rémunération différée ou des obligations sociales.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Les données disponibles en 2018 et 2021 montrent une stabilité relative, mais une absence d’informations sur d’autres années limite l’analyse de cette ligne. La situation semble majoritairement stable dans ces périodes.
- Portion à court terme du passif lié aux contrats de location-exploitation
- La part de cette composante est restée proche de 2.8 % à 2.95 %, suggérant une gestion cohérente des obligations locatives à court terme, tout en maintenant cette proportion à un niveau modéré par rapport au total des passifs et capitaux propres.
- Autres passifs à court terme
- Une stabilité relative est observée avec une moyenne proche de 3 %, indiquant une gestion constante des autres passifs à court terme, malgré une légère augmentation en 2021.
- Passif à court terme
- Une tendance à la croissance, passant de 48,17 % en 2017 à 50,13 % en 2021, indique une augmentation de la part de passifs court terme dans la structure globale, ce qui peut refléter une gestion plus court-termiste ou une accumulation d’obligations immédiates.
- Dette à long terme
- La proportion de dette à long terme a diminué entre 2018 et 2021, de 42,82 % à 32,66 %, traduisant une réduction de l’endettement à long terme ou une restructuration vers des passifs à court terme.
- Passifs liés aux contrats de location-exploitation, moins la partie à court terme
- Ce poste représente environ 14,5 % à 15,5 % des passifs, indiquant une gestion constante des obligations locatives à long terme.
- Impôts différés
- Une augmentation progressive de cette ligne, passant de 1,13 % en 2017 à 1,5 % en 2021, pourrait indiquer une reconnaissance accrue de différences temporelles dans la comptabilisation des actifs et passifs fiscaux.
- Autres passifs
- Ils ont conservé une part faible mais stable, autour de 1,6 % à 2,74 %, représentant une gestion régulière de passifs divers non classés autrement.
- Passifs non courants
- Une croissance significative est visible, passant de 43,21 % en 2017 à un pic à 54,59 % en 2019, puis une légère baisse à 50,44 % en 2021. Cela reflète une augmentation de la proportion des obligations à long terme, cohérente avec une stratégie de gestion de la dette et des passifs non courants.
- Total du passif
- La part totale des passifs par rapport au total des passifs et capitaux propres a augmenté de 91,38 % en 2017 à plus de 100 %, indiquant peut-être une grande dépendance aux passifs à court terme en 2021 ou une variation dans la comptabilisation des éléments du passif.
- Capital et capitaux propres
- Le capital versé supplémentaire a diminué notablement de 16,71 % en 2017 à 11,14 % en 2021, ce qui peut refléter un amortissement ou une redistribution des fonds propres ou un retour aux actionnaires.
- Le déficit retenu est devenu plus négatif, passant de -8,09 % en 2017 à -11,65 % en 2021, indiquant une accumulation de pertes ou une détérioration de la rentabilité conservée dans la société.
- Le total des capitaux propres, exprimé en pourcentage, a chuté de 8,62 % à -0,57 % sur la période, traduisant une dégradation substantielle de la structure financière en faveur du passif, avec un dépassement du total du passif par les éléments de capitaux propres, en particulier en 2021.