Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Bilan : passif et capitaux propres
- Structure du compte de résultat
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Analyse des segments à présenter
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31).
- Évolution du passif à court terme
- Le pourcentage du passif à court terme a diminué significativement entre 2010 et 2011, passant de 18,4 % à 11,22 %. Par la suite, il est resté relativement stable autour de 11,5 % à 12,5 %, indiquant une gestion prudente ou une stabilité dans les obligations à court terme.
- Variation de la dette à long terme
- La part de la dette longue terme, hors échéances courantes, a connu une baisse de 18,47 % en 2010 à 16,48 % en 2012, puis une augmentation notable en 2013 à 19,84 %, avant de redescendre à 16,8 % en 2014. Ces fluctuations peuvent refléter des refinancements ou des ajustements dans la structure de financement à long terme.
- Part des capitaux propres
- Les capitaux propres ont affiché une croissance progressive, passant de 57,27 % en 2010 à un maximum de 63,87 % en 2012, puis se stabilisant autour de 62 % en 2013 et 2014. La proportion élevée de capitaux propres indique une solidité financière et une dépendance réduite à l’endettement externe.
- Comportement des dettes à long terme et d’échéances courantes
- La part des dettes à long terme, hors échéances, a tendance à osciller, avec une légère réduction entre 2010 et 2012, suivie d'une hausse en 2013, reflétant des ajustements dans la stratégie de financement. La réduction du passif à court terme confirme une gestion visant à limiter les risques liés aux échéances immédiates.
- Ratios liés aux éléments du passif
- Les postes tels que "Billets à payer" ont vu leur part augmenter de 0,34 % en 2010 à 0,99 % en 2011, avant de diminuer puis de se stabiliser autour de 0,53-0,58 %. "Remises sur les ventes" ont connu une tendance haussière, passant de 2,24 % à 3 % en 2014, indiquant une augmentation des incitations commerciales ou des remises accordées. La "Redevance" a quant à elle décliné de 0,42 % à 0,22 %, suggérant une réduction de certaines charges ou redevances.
- Évolution des charges et provisions
- Les "Autres charges à payer" ont augmenté de 5,26 % en 2010 à 7,29 % en 2014, reflétant potentiellement une augmentation des charges différées ou des provisions. La ligne "Frais de règlement juridique" a disparu après 2012, ce qui pourrait indiquer une stabilisation ou un changement dans la comptabilisation de ces charges.
- Les éléments hors bilan
- "Contrepartie conditionnelle" a connu une hausse notable de 0,5 % en 2010 à 2,51 % en 2014, pouvant indiquer une augmentation des engagements conditionnels ou des garanties. Les "Passifs d’avantages fiscaux non comptabilisés" ont également augmenté régulièrement, témoignant d’éventuels bénéfices fiscaux non reconnus à court terme.
- Capitaux propres et résultats
- "Bénéfices non répartis" ont progressé de 26,79 % en 2010 à 47,48 % en 2014, soulignant une capacité croissante à générer et à retenir des bénéfices. La ligne "Cumul des autres éléments du résultat global" est devenue plus négative, passant de -1,84 % à -3,29 %, ce qui pourrait indiquer des pertes ou des ajustements non réalisés dans certains instruments financiers ou dérivés.
- Variations significatives dans la structure des capitaux propres
- "Capital versé supplémentaire" a enregistré une baisse continue, passant de 33,89 % en 2010 à 27,01 % en 2014, traduisant une diminution des apports supplémentaires ou des primes d’émission. La part des "Actions ordinaires" a été faible mais décroissante, indiquant une stabilité dans la structure actionnariale ou l'absence d’émission récente.
- Conclusion générale
- Dans l’ensemble, la structure financière témoigne d’un renforcement progressif des capitaux propres, avec une réduction relative de la part de la dette à court terme et une gestion prudente du passif à long terme. La croissance continue des bénéfices non répartis indique une rentabilité soutenue. La stabilité dans la composition du passif et la réduction du passif à court terme suggèrent une orientation vers une gestion financière prudente et équilibrée, avec une capacité à faire face aux obligations à moyen et long terme.