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- Bilan : actif
- Structure du bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse des segments à présenter
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Rapport valeur/ FCFF d’entreprise (EV/FCFF)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2005
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2022-09-30), 10-K (Date du rapport : 2021-09-30), 10-K (Date du rapport : 2020-09-30), 10-K (Date du rapport : 2019-09-30), 10-K (Date du rapport : 2018-09-30), 10-K (Date du rapport : 2017-09-30).
- Tendances générales du chiffre d'affaires
- Le pourcentage du chiffre d'affaires représente une unité constante à 100 %, ce qui indique que les pourcentages mentionnés sont relatifs. L'analyse ne révèle pas de variations significatives du chiffre d'affaires en tant que tel au cours de la période, mais se concentre plutôt sur la structure des coûts, marges et résultats financiers en proportion de ce chiffre d'affaires.
- Évolution du coût des marchandises vendues
- Le coût des marchandises vendues en pourcentage du chiffre d'affaires a oscillé modestement, passant d'environ -97,03 % en 2017 à -96,52 % en 2022. La tendance indique une légère amélioration, avec une diminution du pourcentage, ce qui suggère une gestion efficace des coûts ou une optimisation des marges brutes.
- Marge brute
- La marge brute relative a connu une progression continue, passant de 2,97 % en 2017 à 3,48 % en 2022. Cette tendance indique une augmentation progressive de la rentabilité brute, renforçant la capacité à couvrir les autres coûts et à dégager un bénéfice opérationnel plus confortable.
- Frais liés à la distribution, à la vente et à l'administration
- Ces coûts ont montré une tendance haussière en pourcentage du chiffre d'affaires, augmentant de -1,39 % en 2017 à -2,03 % en 2022. Cette croissance relative pourrait refléter des investissements accrus dans la commercialisation ou l'administration, ou une augmentation des coûts liés à ces activités.
- Charges de dépréciation, amortissement et autres charges d'exploitation
- Les charges d'amortissement et de dépréciation ont généralement fluctué autour de faibles pourcentages, avec une augmentation notable des dépréciations d'actifs en 2019 (-0,32 %) puis une baisse marquée. Les charges d'exploitation ont connu une hausse significative en 2020 (-5,44 %), correspondant à une période de difficultés, mais ont par la suite retrouvé une stabilité relative.
- Événements exceptionnels liés aux litiges et aux opioïdes
- En 2020, la charge relative aux litiges et dépenses liés aux opioïdes a fortement augmenté, atteignant -3,54 % du chiffre d'affaires, une valeur nettement supérieure aux années précédentes, ce qui témoigne d’un impact exceptionnel ou accru de ces litiges cette année-là. La tendance s’est ensuite atténuée les années suivantes, revenant à des niveaux inférieurs à -0,2 %, indiquant une réalisation partielle des provisions ou une résolution partielle des litiges.
- Résultat opérationnel
- Le bénéfice d’exploitation a connu une évolution significative, passant de 0,69 % en 2017 à 0,86 % en 2018, puis décroissant à 0,62 % en 2019. En 2020, une perte d’environ -2,7 % a été enregistrée, correspondant à une année de crise ou de charges exceptionnelles. Par la suite, le résultat opérationnel est redevenu positif, atteignant 1,1 % en 2021 et 0,99 % en 2022, après une période difficile.
- Résultats nets et efficacité fiscale
- Le bénéfice net a présenté une forte croissance jusqu’en 2018 (0,96 %) avant de diminuer fortement en 2020 avec une perte nette de -1,79 %. La reprise en 2021 et 2022 a permis de retrouver un bénéfice net proche de 0,7 %, indiquant une résilience et une gestion efficace face aux défis. La charge liée à l’impôt a varié, en particulier en 2020 où une dépense fiscale de 1 % du chiffre d'affaires a été constatée, contre des ajustements plus modestes dans les autres années.
- Impact des participations et autres éléments exceptionnels
- Les pertes sur la consolidation de participations et sur le remboursement anticipé de la dette ont été ponctuelles et peu marquées. La perte attribuable aux participations sans contrôle est insignifiante ou nulle dans plusieurs années, tandis que la perte nette attribuable à la société elle-même a suivi la tendance globale de résultat, avec une baisse puis une hausse en fin de période.