Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
Apache Corp. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2005
- Ratio de liquidité actuel depuis 2005
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-03-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2011-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-03-31).
- Tendance des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs en pourcentage du total du passif et des capitaux propres présentent une fluctuation modérée : une augmentation notable en mars 2016 atteignant 3,28 %, contre une moyenne inférieure à 2 % sur la période précédente. Cette hausse peut indiquer un rallongement des délais de paiement ou une intensification des achats à crédit à cette date. Cependant, dans la majorité de la période, cette composante reste assez stable, oscillant autour de 2 %, suggérant une gestion prudente du poste créditeurs.
- Évolution des charges d’exploitation à payer
- Les charges d’exploitation à payer, en tant que pourcentage du total du passif et des capitaux propres, sont présentes seulement sur la première moitié de la période, avec des valeurs faibles (0,33 % à 0,43 %). Leur disparition au-delà du 30 juin 2012, sans valeur ultérieure, implique une meilleure gestion ou une intégration de ces charges dans d’autres postes, ou simplement l’absence de données récentes. La stabilité initiale témoigne d’une gestion régulière de ces charges à payer à court terme.
- Travaux d’exploration et de mise en valeur accumulés
- Ce poste, exprimé en pourcentage du passif et des capitaux propres, diminue de 3,12 % en mars 2011 à environ 2,8 % à la fin de 2011, puis n’est pas renseigné par la suite, ce qui pourrait refléter une accélération de la consommation ou de la réalisation des explorations, ou une réduction de cette provision. La tendance initiale à la baisse indique une utilisation ou une comptabilisation plus efficace de ces travaux.
- Rémunération et avantages sociaux accumulés
- Ce poste reste relativement stable, autour de 0,29 %, sur l’ensemble de la période, soulignant une gestion constante des charges sociales et des rémunérations différées, sans variations significatives, ce qui indique une politique salariale régulière sans fluctuations notables sur la période.
- Impôts sur les comptes de régularisation
- Présents uniquement à partir de 2011, ces impôts varient peu, avec environ 0,56 % à 0,57 % puis une augmentation à 0,56 % lors du troisième trimestre 2011. Leur absence après cette date ne permet pas d’observer une tendance claire, mais leur niveau modeste témoigne d’une gestion fiscale stable ou d’une comptabilisation ponctuelle différente.
- Dette actuelle
- La dette à court terme connaît une évolution plus significative : en mars 2011, elle est faible (~0,07 %), puis augmente rapidement pour atteindre 1,64 % en septembre 2012, puis fluctue jusqu’en mars 2013, où elle disparaît, puis réapparaît en juin 2016 à 5,34 %. La tendance générale indique une variabilité accrue avec une forte hausse en fin de période, ce qui peut signaler des refinancements ou une gestion active des flux de liquidités à court terme. La présence intermittente et ses pics importants indiquent une augmentation récente des obligations à court terme, potentiellement liée à des opérations ponctuelles ou à une stratégie de financement à court terme accrue.
- Instruments dérivés
- Ce poste dépeint une réduction progressive, passant de 1,09 % en mars 2011 à une valeur très faible à partir de 2012, puis augmentant à nouveau vers 0,49 % en juin 2016. La volatilité et la baisse significative après 2011 indiquent une gestion et une réduction de l’exposition aux instruments dérivés, ou une moindre utilisation de ces outils pour couvrir les risques financiers.
- Autres passifs à court terme
- Ce poste augmente de façon notable à partir de 2012, passant de faibles pourcentages (moins de 2 %) à un pic de 6,49 % en juin 2016. Cette hausse suggère une augmentation des autres engagements à court terme, possiblement liés à des provisions, des dettes commerciales ou autres obligations non classiques. La tendance à la hausse reflète une augmentation des passifs à court terme hors dettes traditionnelles.
- Passif à court terme
- Ce passif est stable dans l’ensemble, oscillant entre 6,33 % et 11,29 %. La valeur la plus élevée en septembre 2012 indique un pic ponctuel pouvant être lié à un accroissement des obligations immédiates. Globalement, cette stabilité relative montre que la gestion des échéances à court terme reste maîtrisée.
- Dette à long terme (hors échéances courantes)
- Ce poste affiche une tendance à la hausse significative : en mars 2011, elle représente 18,12 %, puis s’accroît régulièrement pour atteindre environ 46,58 % en décembre 2015. La croissance soutenue de cette composante révèle une augmentation de l’endettement à long terme, souvent associée à des investissements ou à des refinancements stratégiques. Après 2015, la proportion reste élevée, soulignant une dépendance croissante à l’endettement à long terme pour financer les activités ou le développement.
- Impôts
- Les impôts sur le passif évoluent de façon variable, passant de 9,51 % en mars 2011 à un pic de 16,98 % en décembre 2014, puis diminuant pour revenir à 7,18 % en juin 2016. La tendance montre une gestion fiscale fluctuant selon la période, avec des moments de charge fiscale accrue en fin d’année 2014. La baisse ultérieure pourrait indiquer une optimisation fiscale ou une réduction de la charge fiscale immédiate.
- Obligation de mise hors service d’actifs
- Ce poste affiche une augmentation notable, surtout entre 2014 et 2016, passant de 4,99 % à 13,6 % en décembre 2015, puis à 10,46 % en juin 2016. L’accroissement de cette obligation indique une mise hors service d’actifs en fin de cycle ou une dépréciation significative d’une partie des actifs. Cela peut refléter la rationalisation ou un ajustement stratégique concernant la dégradation ou la limitation d’utilisation d’actifs spécifiques.
- Capitaux propres et composition
- Les capitaux propres totaux connaissent une baisse notable de 58,77 % en mars 2011 à environ 35 % en septembre 2015, puis repartent à la hausse pour atteindre plus de 50 % en juin 2016. La part des bénéfices non répartis diminue de façon continue, passant d’environ 36,62 % en mars 2011 à 0,22 % en mars 2015, puis négative en juin 2015 (-37,96 %), indiquant une perte accumulée. La réduction des bénéfices non répartis coupled à une augmentation du capital versé, surtout en 2014 et 2015, suggère une tentative de stabilisation et de renforcement des capitaux propres. La part des actions ordinaires en pourcentage du passif augmente aussi, montrant une hausse du capital social en proportion.
- Total du passif et capitaux propres
- Le total reste équilibré à 100 %, avec une certaine stabilité relative, bien que la composition interne des postes de capitaux propres et passifs ait connu des fluctuations importantes. Notamment, l’accroissement du passif à long terme et des obligations de mise hors service souligne une stratégie d’endettement à long terme accrue et une gestion de plus en plus orientée vers des passifs non courants.