Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- État du résultat global
- Structure du compte de résultat
- Analyse des ratios de solvabilité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Analyse des segments à présenter
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
- Ratio prix/chiffre d’affaires (P/S) depuis 2005
- Analyse de l’endettement
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31).
- Comptes créditeurs
- La proportion des comptes créditeurs par rapport au passif total et aux capitaux propres est restée relativement stable, oscillant légèrement entre 5,13 % en 2016 et 6,6 % en 2018, avant de se situer à 6,54 % en 2019. Cela indique une gestion cohérente des dettes fournisseurs sur cette période.
- Impôts à payer
- La part des impôts à payer a montré une tendance à la hausse, passant de 0,4 % en 2016 à 0,69 % en 2019. Cette augmentation pourrait refléter une croissance des obligations fiscales ou une accumulation progressive des impôts différés ou en suspens.
- Dividendes payables
- Les dividendes payables ont également augmenté en pourcentage, passant de 0,33 % en 2016 à 0,45 % en 2019, ce qui pourrait indiquer une augmentation de la distribution de dividendes ou une accrualisation de ces montants à court terme.
- Passifs liés aux activités de gestion du risque de prix
- Ces passifs ont été présents uniquement en 2016 (0,21 %) et 2017 (0,17 %), avec une notable diminution en 2019 à 0,05 %, témoignant d’une réduction ou d’une gestion plus efficace de ces risques au fil du temps.
- Portion à court terme de la dette à long terme
- La part à court terme de la dette à long terme a connu une croissance significative, passant de 0,02 % en 2015 et 2016 à 2,73 % en 2019. Elle reflète une augmentation probable des échéances à court terme ou un refinancement accru à faire dans un avenir proche.
- Portion à court terme du passif lié aux contrats de location-exploitation
- Ce poste est apparu exclusivement en 2019 avec une valeur de 0,99 %, indiquant une adoption plus récente ou une reconcordance comptable avec les normes IFRS 16 relative à la reconnaissance des contrats de location sous cette forme.
- Autre
- La proportion d’autres passifs a diminué de 0,58 % en 2015 à 0,63 % en 2019, après un pic à 0,79 % en 2016, témoignant d’une relative stabilité ou d’une gestion renforcée des autres obligations financières hors catégorie principale.
- Passif à court terme
- La part du passif à court terme a augmenté de 6,74 % en 2015 à 12,09 % en 2019, indiquant une consolidation de la composition des passifs à échéance rapprochée, possiblement en lien avec une croissance des dettes à court terme ou un ajustement de la politique de gestion de leur échéance.
- Dette à long terme, hors partie courante
- La dette à long terme a fortement diminué, représentant 24,67 % en 2015, puis 11,21 % en 2019. Cette tendance suggère une réduction importante de l’endettement à long terme, peut-être par remboursements ou restructurations financières.
- Autres passifs
- Les autres passifs ont fluctué légèrement, passant de 3,6 % en 2015 à 4,82 % en 2019, témoignant d’une gestion peu volatile de ces éléments hors catégories principales.
- Impôts différés
- La part des impôts différés a augmenté dans le temps, passant de 17,01 % en 2015 à 13,59 % en 2019, avec une fluctuation, reflétant des changements dans la reconnaissance ou la réduction des différences temporaires fiscales.
- Passifs non courants
- Les passifs non courants ont diminué de 45,27 % en 2015 à 29,62 % en 2019, indiquant une baisse de la part des engagements à long terme hors dettes traditionnelles, ou une gestion visant à réduire cette catégorie spécifique de passifs.
- Total du passif
- Le total du passif exprimé en pourcentage par rapport au passif total et aux capitaux propres est passé de 52,02 % en 2015 à 41,71 % en 2019, ce qui indique une réduction de la structure de passifs par rapport aux capitaux propres au cours de la période.
- Actions ordinaires, 0,01 $ au pair
- La part des actions ordinaires a diminué de 0,76 % en 2015 à 0,55 % en 2019, laissant entendre une moindre émission ou un rachat d’actions durant cette période.
- Supplément versé en capital
- Ce poste a connu une croissance importante entre 2015 (10,84 %) et 2016 (18,4 %), puis un léger recul, pour s’établir à 15,67 % en 2019. La tendance peut traduire une augmentation des apports en capital ou des émissions d’actions avec prime d’émission.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- Ce poste est resté stable à une valeur marginale proche de zéro, avec peu d’évolution, indiquant une influence limitée ou nulle de cet élément dans la composition des capitaux propres.
- Bénéfices non répartis
- Les bénéfices non répartis ont connu une croissance notable, passant de 36,59 % en 2015 à 42,15 % en 2019, ce qui suggère une politique de conservation accrue des bénéfices ou une rentabilité soutenue sur la période.
- Actions ordinaires détenues en trésorerie
- Ce poste reste négligeable avec une tendance à la baisse, de -0,09 % en 2015 à -0,07 % en 2019, indiquant une politique limitée de rachat d’actions ou de gestion de trésorerie associée.
- Capitaux propres
- La proportion des capitaux propres dans la structure de passifs et capitaux propres a progressé, passant de 47,98 % en 2015 à 58,29 % en 2019, traduisant une augmentation de la solvabilité de l’entreprise et une réduction de l’endettement relatif.
- Total du passif et des capitaux propres
- Ce total est resté exprimé à 100 %, conformément à la norme comptable, indiquant que l’analyse porte sur la composition relative de la structure financière.