Structure du bilan : passif et capitaux propres
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Marathon Petroleum Corp., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31).
- Tendance des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs en pourcentage du passif total présentent une augmentation progressive depuis 2019, atteignant un pic en fin 2021 à environ 16,05 %, avant de revenir à une valeur plus modérée autour de 15,99 % à la fin 2024. Cette évolution indique une intensification de la composante créditeurs dans la structure du passif, suivie d'une certaine stabilisation ou diminution relative.
- Évolution de la paie et avantages sociaux à payer
- Ce poste reste relativement stable au cours de la période, oscillant entre environ 0,58 % et 1,38 %, sans tendance claire à la hausse ou à la baisse marquée. La stabilité relative suggère une gestion constante des obligations sociales à court terme.
- Impôts courus
- Ce poste montre une fluctuation notable, avec un pic en septembre 2021 à 5,53 %, puis une diminution à environ 1,63 % en septembre 2024. La hausse ponctuelle pourrait refléter des ajustements fiscaux ou des différés fiscaux exceptionnels, tandis que la baisse récente indique un ajustement vers une proportion plus standard du passif.
- Dette exigible dans un délai d’un an
- Initialement faible en 2019, cette part augmente significativement en 2022 et 2023, dépassant 5 %, avec une forte progression pour atteindre 5,75 % en septembre 2024. Cela suggère une augmentation des dettes à court terme exigibles, probablement liée à des refinancements ou à des nouvelles obligations financières à court terme.
- Passifs courants liés aux contrats de location-exploitation
- Ce poste demeure relativement stable autour de 0,4 % à 0,6 %, avec une légère augmentation vers la fin 2024, indiquant une stabilité dans les obligations contractuelles à court terme liées à la location.
- Autres passifs à court terme
- Ce poste connaît une croissance notable, passant d’environ 0,84 % en 2019 à un maximum de 2,59 % en septembre 2023, avant de diminuer légèrement en fin 2024. La tendance à la hausse reflète une augmentation des autres passifs courants non spécifiés, pouvant inclure des obligations diverses ou des éléments non différenciés.
- Passifs détenus en vue de la vente
- Ce poste apparaît en 2020 à une valeur de 2,04 % pour puis disparaître ou devenir négligeable par la suite, suggérant des ajustements dans la classification des actifs destinés à la vente ou une réduction de ces actifs.
- Évolution du passif à court terme
- Ce pourcentage varie considérablement, passant de 15,71 % en 2019 à un pic de 29,4 % en mars 2022, puis redescendant à environ 26,39 % en septembre 2024. La tendance reflète une augmentation temporaire de la composante à court terme, probablement liée à l’accumulation de passifs imminents ou à des restructurations de dettes.
- Dette à long terme exigible après un an
- Une tendance stable, oscillant autour de 28 à 35 %, est observée, avec une légère baisse en 2022-2023 et un retour vers 30 % en septembre 2024. La stabilité relative indique une gestion maîtrisée de la dette à long terme avec peu de variations substantielles.
- Impôts différés
- Ce poste maintient une proportion constante d’environ 6,2 % à 6,8 %, témoignant d’un niveau stable d’obligations fiscales différées, sans tendance marquée dans le temps.
- Obligations au titre des régimes de retraite à prestations déterminées
- Les obligations relatives à ces régimes varient légèrement, fluctuant entre environ 1,1 % et 2,5 %, avec une tendance à la stabilisation vers 1,4 %, ce qui indique une gestion constante des engagements post-employeur.
- Passifs à long terme liés aux contrats de location-exploitation
- Ce poste affiche une tendance à la baisse progressive, passant de environ 2,23 % en 2019 à une valeur stabilisée autour de 0,8 % en 2024, ce qui pourrait indiquer l’amortissement ou la réduction des obligations locatives long terme.
- Crédits reportés et autres passifs
- Ils connaissent une légère croissance, passant de 1,17 % en 2019 à 1,69 % en septembre 2024, possiblement traduisant une augmentation des passifs différés ou autres obligations non immédiates.
- Passifs non courants
- Ce poste reste globalement stable, oscillant autour de 38 % à 42 %, avec une tendance à la légère baisse puis à la stabilité, illustrant une structure solide de passifs à long terme.
- Total du passif
- Son pourcentage par rapport au passif total montre une croissance progressive, passant d’environ 54,52 % en 2019 à environ 67,79 % en septembre 2024, indiquant une augmentation de la proportion de passifs).
- Participation ne donnant pas le contrôle
- Cette composante demeure relativement stable, autour de 9,24 % en 2019, puis fluctue légèrement mais reste proche de 7 à 8 % sur l’ensemble de la période, témoignant d’un niveau constant de participation minoritaire dans des filiales ou partenaires extérieurs.
- Actions privilégiées et actions ordinaires détenues en trésorerie
- Les actions ordinaires en trésorerie connaissent une tendance à l’aggravation, avec une augmentation significative de -14,58 % en 2019 à environ -64,28 % en septembre 2024. Cette évolution indique une politique de rachat d’actions ou une gestion accrue des actions en circulation.
- Capital versé supplémentaire
- Ce poste affiche une tendance à la croissance, passant d’environ 35 % en 2019 à plus de 42 % en septembre 2024, reflétant une augmentation du capital supplémentaire apporté par les actionnaires ou via des opérations de financement.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste connaît une croissance régulière, passant d’environ 14,92 % en 2019 à plus de 46 % en septembre 2024. La progression constante suggère une accumulation importante de résultats non distribués, renforçant la capacité de réinvestissement ou la stabilité financière.
- Cumul des autres éléments du résultat étendu
- Ce poste présente une tendance à la légère dégradation, avec une valeur négative stable proche de -0,2 %, sans évolution significative. Cela indique une stabilité dans les éléments de résultat étendu hors résultats courants.
- Total des capitaux propres
- Le ratio de capitaux propres par rapport au passif total diminue de 44,44 % en 2019 à environ 23,72 % en septembre 2024, principalement en raison de l’augmentation relative des passifs et de la croissance des actions en trésorerie négatives et du résultat accumulé.
- Participations ne donnant pas le contrôle
- Ce poste reste stable autour de 9 %, avec une légère hausse vers 8 à 8,24 % vers 2024, indiquant une gestion constante des intérêts minoritaires dans des filiales ou autres entités contrôlées.