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Time Warner Inc., structure du compte de résultat consolidé (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31).
- Tendance globale des revenus
- Les revenus, exprimés en pourcentage du chiffre d'affaires, maintiennent une stabilité relative tout au long de la période, restant à 100 %. Aucune variation significative n'est observée dans cette mesure, indiquant une constance dans la proportion des revenus par rapport à l'ensemble de l'activité.
- Évolution des coûts des recettes
- Les coûts des recettes présentent une certaine volatilité, oscillant entre environ -50 % et -60 % du chiffre d'affaires. Une tendance notable est une augmentation du pourcentage de coûts vers la fin de la période, notamment à -61,48 % au dernier trimestre de 2015, suivie d'une baisse puis d'une fluctuation. Ces variations indiquent des fluctuations dans la structure des coûts ou dans l'efficience opérationnelle.
- Marge brute
- La marge brute oscille, avec un pic à 49,2 % au troisième trimestre 2013, puis une tendance à se stabiliser autour de 43-45 %, en général. Certaines baisses significatives, comme à 38,52 % au premier trimestre 2016, suggèrent des pressions sur la profitabilité brute lors de cette période. La marge reste globalement comparable, avec des fluctuations liées probablement à la structure des coûts et des prix de vente.
- Charges opérationnelles
- Les charges liées à la vente, général et administratif suivent une tendance globale à la baisse dans leur ratio, passant par une réduction notable à -15,77 % au dernier trimestre 2017. Cependant, des pics négatifs temporaires signalent des refinancements ou des efforts de réduction des coûts dans certains trimestres précis.
- Amortissement des immobilisations incorporelles
- Ce poste reste relativement stable, avec un léger déclin du ratio, atteignant environ -0,54 % au dernier trimestre 2017, témoignant d'une gestion prudente des amortissements liés aux actifs incorporels.
- Coûts de restructuration et indemnités de départ
- Les coûts de restructuration montrent une tendance à la faible intensité, avec une fluctuation mais sans tendance claire à la hausse ou à la baisse à long terme. Notablement, un pic à -4,85 % au troisième trimestre 2014 indique des périodes exceptionnelles de restructuration.
- Dépréciations d’actifs
- Les dépréciations varient, avec quelques périodes où elles atteignent -1,23 %, notamment au troisième trimestre 2013, puis une baisse à des niveaux proches de -0,03 %, illustrant une gestion prudente ou une moindre reconduction des dépréciations avec le temps.
- Gain ou perte sur les actifs d’exploitation
- Ce poste est caractérisé par une grande variabilité. Des gains importants, jusqu'à 6,67 %, et des pertes, notamment à -12,58 %, apparaissent, indiquant une certaine volatilité des résultats exceptionnels liés à la cession ou à l'évaluation des actifs. Ces fluctuations influencent ponctuellement la rentabilité globale.
- Résultat d’exploitation
- Ce ratio présente une croissance progressive jusqu'à atteindre environ 28 % au deuxième trimestre 2017, avant une légère baisse. La tendance générale indique une amélioration de la profitabilité opérationnelle, liée à une gestion efficace des coûts et à une augmentation du résultat d’exploitation.
- Charges d’intérêts nettes
- Les charges d’intérêts, en pourcentage du chiffre d’affaires, sont relativement constantes, avec une légère tendance à la baisse, passant de -4,18 % à environ -2,59 %, reflétant une gestion de la dette peut-être plus favorable ou des coûts d’emprunt plus faibles au fil du temps.
- Autres produits (pertes) nets
- Ce poste présente une forte volatilité, notamment une variation exceptionnelle à -12,58 % au dernier trimestre 2017, indiquant une fluctuation importante des résultats non opérationnels, parfois liés à des pertes ou des gains exceptionnels significatifs.
- Bénéfice avant impôts sur les bénéfices
- Le ratio montre une tendance globale à l’amélioration, atteignant un maximum à 26,9 % au troisième trimestre 2013 puis fluctuant. La période 2016-2017 reflète une augmentation du résultat avant impôts, soutenue par une meilleure gestion des coûts et des produits exceptionnels.
- Impact fiscal
- Le ratio d’impôt sur le revenu fluctue considérablement, avec des périodes où il devient négatif, notamment au dernier trimestre 2017 avec 8,95 %, ce qui indique une charge fiscale effective souvent inférieure ou un avantage temporaire. La variation reflète probablement des ajustements fiscaux ou des crédits d'impôt.
- Résultat net
- Le bénéfice net, en proportion du chiffre d’affaires, montre une amélioration jusqu’en 2017 où il atteint 20,54 %, avant de repartir à la baisse au dernier trimestre. La tendance indique une progression de la rentabilité globale, malgré des épisodes ponctuels de baisse de performance, notamment ceux liés à la volatilité des éléments exceptionnels et fiscaux.
- Activités abandonnées et bénéfice associé
- Ce poste demeure peu présent ou absent dans la majorité des trimestres, mais présente quelques valeurs négatives ou positives faibles, indiquant qu’il s’agit d’une composante marginale dans la période considérée.
- Bénéfice attribuable aux actionnaires
- Ce ratio reflète une profitabilité pour les actionnaires cohérente avec le bénéfice net. La croissance jusqu'à un pic à 20,55 % en 2017 montre une amélioration de la rentabilité pour les actionnaires, mais une baisse lors de certains trimestres indique une certaine volatilité dans la distribution des profits.