Tableau des flux de trésorerie
Données trimestrielles
Le tableau des flux de trésorerie fournit des informations sur les entrées de trésorerie et les paiements en espèces d’une entreprise au cours d’une période comptable, montrant comment ces flux de trésorerie relient le solde de trésorerie de fin de caisse au solde de début figurant au bilan de l’entreprise.
Le tableau des flux de trésorerie se compose de trois parties : les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, les flux de trésorerie provenant des activités d’investissement et les flux de trésorerie provenant des activités de financement.
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YUM! Brands Inc., tableau des flux de trésorerie consolidés (données trimestrielles)
en millions de dollars américains
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2016-09-03), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-11), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-19), 10-K (Date du rapport : 2015-12-26), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-05), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-13), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-21), 10-K (Date du rapport : 2014-12-27), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-06), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-14), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-22), 10-K (Date du rapport : 2013-12-28), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-07), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-15), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-23), 10-K (Date du rapport : 2012-12-29), 10-Q (Date du rapport : 2012-09-08), 10-Q (Date du rapport : 2012-06-16), 10-Q (Date du rapport : 2012-03-24), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2011-09-03), 10-Q (Date du rapport : 2011-06-11), 10-Q (Date du rapport : 2011-03-19).
- Tendances générales du bénéfice net
- Le bénéfice net a présenté une évolution variable au cours de la période analysée. Après une hausse significative jusqu'à 461 millions de dollars en mars 2012, une tendance à la baisse se manifeste à partir de 2013, avec des épisodes de pertes notamment en septembre 2014 (-119 millions) et à d'autres moments notamment dans la seconde moitié de 2014 et en 2015. La fin de la période montre une reprise importante, culminant à 632 millions de dollars en septembre 2016, ce qui indique une amélioration notable de la rentabilité.
- Dotations aux amortissements
- Les dotations aux amortissements ont connu une tendance à l'augmentation sur la période, passant de 123 à 478 millions de dollars. Cette hausse reflète probablement une augmentation des actifs amortissables ou une intensification des investissements en immobilisations incorporelles et corporelles, avec des pics en fin d'année 2012 et en 2016.
- Fermetures et charges de dépréciation
- Les charges liées aux fermetures et dépréciations ont été très volatiles, notamment avec un pic à 505 millions en septembre 2012 et un autre à 505 millions en septembre 2014. Ces variations indiquent une période d'importantes restructurations ou dépréciations d'actifs, pouvant ponctuer des phases de restructuration stratégique ou de rationalisation du portefeuille immobilier.
- Gains ou pertes de refranchisage
- Les gains et pertes liés au refranchisage ont connu plusieurs fluctuations. Notamment, un gain significatif de 177 millions en décembre 2012, puis une perte de 50 millions en septembre 2015, signalant un repositionnement stratégique dans le parc de restaurants franchisés.
- Engagements liés aux régimes de retraite
- Les cotisations aux régimes de retraite à prestations déterminées ont été faibles ou négatives, avec une tendance à l'augmentation des charges négatives, en particulier une obligation accrue en septembre 2012 (-73 millions) et en juin 2015 (-15 millions), enrichissant l’analyse de l’impact des évolutions démographiques ou réglementaires sur ces engagements.
- Impôts différés
- Les impôts différés ont montré une grande volatilité, passant de près de 36 millions à une perte nette de 172 millions en septembre 2016. Ces fluctuations traduisent probablement des ajustements en lien avec les stratégies fiscales ou la réévaluation des actifs et passifs fiscaux.
- Flux de trésorerie des activités d’exploitation
- Les flux de trésorerie liés à l’exploitation ont été globalement positifs, avec une amélioration notable en mars 2012 à 780 millions de dollars, puis une tendance relativement stable avec des valeurs oscillant autour de 400 à 600 millions. Cela indique une génération de trésorerie suffisante pour soutenir les opérations courantes, malgré certaines fluctuations significatives.
- Activités d’investissement
- Les dépenses d’investissement ont été généralement élevées, notamment durant la période avec des valeurs atteignant jusqu’à -446 millions de dollars, témoignant d’un effort soutenu dans l’acquisition, la rénovation ou la construction de nouvelles unités. Les produits provenant des refranchisages ont permis de compenser partiellement ces dépenses, avec des pics importants en mars 2013 et 2016.
- Activités de financement
- Les flux de trésorerie liés aux activités de financement ont été majoritairement négatifs, en particulier en 2012 et 2014, avec des remboursements importants de dettes à long terme, de l’ordre de plusieurs centaines de millions de dollars. Les rachats d’actions ont également été significatifs, notamment avec des rachats massifs en 2015 et 2016, ce qui reflète une politique de réduction du capital ou de partage de la valeur avec les actionnaires.
- Variations de la trésorerie
- La variation nette de la trésorerie a connu des fluctuations majeures, avec une augmentation de 2 090 millions de dollars en juin 2016, cette dernière valorisation étant une exception remarquable après une période de fluctuations négatives. Ces variations traduisent la combinaison des flux d’exploitation, d’investissement et de financement, avec une capacité ponctuelle à générer une hausse substantielle de la trésorerie à la fin de la période.
- Facteurs spécifiques et autres observations
- Les autres éléments, tels que les variations des comptes à recevoir, les stocks, ou les passifs courts, ont montré des fluctuations significatives, témoignant d’évolutions dans la gestion opérationnelle ou la mobilisation d’actifs. La complexité de la structure financière ressort également avec l’émission de dettes à long terme atteignant des records en 2013 et 2016, accompagnée de remboursements proportionnels, ainsi que des facilités de crédit renouvelables qui ont connu des variations importantes, notamment en mars 2014 et en juin 2016.