Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Ratio valeur d’entreprise/FCFF (EV/FCFF)
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- Sélection de données financières depuis 2005
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Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-09-28), 10-K (Date du rapport : 2023-09-30), 10-K (Date du rapport : 2022-09-24), 10-K (Date du rapport : 2021-09-25), 10-K (Date du rapport : 2020-09-26), 10-K (Date du rapport : 2019-09-28).
- Comptes créditeurs
- La proportion des comptes créditeurs par rapport au total du passif et des capitaux propres a augmenté progressivement, passant de 13,66 % en 2019 à 18,89 % en 2024. Cela témoigne d'une tendance à une gestion accrue des dettes fournisseurs ou à une augmentation de ces obligations.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Après une absence de données jusqu’en 2020, leur part a connu une forte hausse, atteignant 7,29 % en 2024. Cette évolution indique probablement une augmentation des obligations fiscales à court terme, pouvant refléter une croissance des bénéfices imposables ou des décalages dans le paiement des impôts.
- Partie courante des contrats de location-financement
- Ce poste reste faible, mais montre une légère augmentation, passant de 0,01 % en 2020 à 0,04 % en 2022, puis se stabilise autour de 0,04 %. La tendance indique une gestion maîtrisée des engagements locatifs à court terme.
- Autres passifs à court terme
- La part de ces passifs a augmenté de manière régulière, passant de 11,14 % en 2019 à environ 14,14 % en 2024. La hausse, plus marquée à partir de 2020, pourrait refléter une hausse des autres obligations à court terme non spécifiées ou une diversification du passif à court terme.
- Produits reportés
- Cette composante représente une part stable, oscillant entre 1,63 % et 2,29 %, témoignant d'une gestion équilibrée des revenus différés ou des produits reçus d'avance.
- Billet de trésorerie
- Après une légère baisse en 2020, cette ligne connaît une augmentation significative en 2022, atteignant 2,83 %, avec un léger déclin en 2024 à 2,73 %. La fluctuation souligne l’utilisation occasionnelle des instruments de dette à court terme pour la gestion de la trésorerie.
- Portion à court terme de la dette à terme
- Elle est relativement stable aux alentours de 2,7 % à 3 %, avec une légère augmentation vers 2,99 % en 2024, indiquant une gestion régulière de la dette à court terme contractée à terme.
- Passif à court terme
- Cette catégorie montre une augmentation notable, passant de 31,23 % en 2019 à 48,33 % en 2024. La proportion accrue indique une montée en puissance des obligations à court terme, entraînant une potentielle pression sur la liquidité à court terme.
- Portion non courante de la dette à terme
- Au contraire, cette part diminue, passant de 27,12 % en 2019 à 23,49 % en 2024, suggérant un refinancement ou un remboursement actif des dettes à long terme.
- Impôts à long terme à payer
- La proportion de cet engagement diminue de manière substantielle, de 8,73 % à 2,54 %, témoignant d’un règlement progressif des obligations fiscales à long terme ou d’un ajustement dans la comptabilisation de ces passifs.
- Partie non courante des contrats de location-financement
- Stable à environ 0,2 %, cette ligne indique une faible part de locations-financement à long terme dans la structure globale du passif.
- Autres passifs non courants
- La part de ces passifs affiche une tendance haussière, passant de 6,19 % en 2019 à près de 9,83 % en 2024, ce qui peut refléter une augmentation des obligations à long terme ou d’autres passifs non courants.
- Passifs non courants
- Leur pourcentage global diminue de 42,04 % en 2019 à 36,07 % en 2024, signalant une réduction relative des passifs à long terme dans la structure du passif total.
- Total du passif
- La part du total du passif en pourcentage du passif et des capitaux propres a augmenté, passant de 73,27 % en 2019 à 84,4 % en 2024, témoignant d’un accroissement global de l’endettement ou des obligations hors capitaux propres.
- Actions ordinaires et capital versé additionnel
- Cette composante voit sa part croître significativement, de 13,34 % en 2019 à 22,82 % en 2024, ce qui reflète probablement une augmentation du capital social ou des émissions d’actions pour financer la croissance ou renforcer la structure financière.
- Bénéfices non répartis (déficit accumulé)
- Ce poste connait une évolution remarquable, passant d’un excédent de 13,56 % en 2019 à un déficit de -5,25 % en 2024. La tendance indique une utilisation des bénéfices pour des investissements ou un paiement de dividendes supérieurs aux bénéfices réalisés, aboutissant à une réduction des bénéfices non répartis.
- Cumul des autres éléments du résultat étendu
- Ce poste varie autour de zéro, avec des fluctuations négatives et positives mineures, se maintenant à -1,97 % en 2024, indiquant une stabilité relative des éléments de résultat étendu à long terme.
- Capitaux propres
- Leur proportion dans le passif total diminue de 26,73 % en 2019 à 15,6 % en 2024, ce qui reflète une augmentation relative de la part des passifs par rapport aux fonds propres, confirmant une structure financière plus endettée.
- Total du passif et des capitaux propres
- Ce total est constant en pourcentage (100 %), conformément à la structure comptable, et sert de base à la ventilation des autres ratios et analyses évoquées ci-dessus.