Structure du bilan : actif
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-10-31), 10-K (Date du rapport : 2024-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-31), 10-K (Date du rapport : 2023-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-31), 10-K (Date du rapport : 2022-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-31), 10-K (Date du rapport : 2021-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-10-31), 10-K (Date du rapport : 2020-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-10-31), 10-K (Date du rapport : 2019-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-10-31).
- Tendances de la trésorerie et équivalents de trésorerie
- Une fluctuation notable est observée dans la proportion de trésorerie par rapport à l’actif total, avec une augmentation significative à plusieurs reprises, notamment vers la fin de la période, atteignant près de 14,87% en octobre 2024. Cette tendance indique une gestion accrue des liquidités ou une accumulation de trésorerie sur la période. Par ailleurs, la part de trésorerie semble diminuer à certains moments, notamment au début de 2021, ce qui pourrait refléter des investissements ou un déploiement des liquidités.
- Évolution des investissements
- Les investissements en pourcentage de l’actif total restent globalement faibles, avec une tendance à la baisse en fin de période, passant d'environ 5% à moins de 1% en 2025. La stabilité relative de cette composante indique une limitation des placements à long terme ou une stratégie d’investissement prudente, avec toutefois quelques fluctuations temporaires affectant leur part dans l’actif total.
- Débiteurs, montants nets
- Les débiteurs représentent une petite proportion de l’actif, oscillant entre 1,02% et 10,38%. Une augmentation significative est observée en début 2019, puis une baisse durable à partir de 2020. La fluctuation pourrait indiquer des variations dans la gestion du crédit client ou dans la politique de recouvrement, mais la tendance à la baisse depuis 2019 suggère une gestion plus restrictive ou une diminution des crédits accordés.
- Effets à recevoir détenus à des fins de placement et en vue de la vente
- Les effets à recevoir réalisés à des fins de placement montrent une tendance à la stabilisation, oscillant autour de 2-4% du total de l’actif. Leur part semble plus sensible aux fluctuations et contribue à une gestion dynamique des actifs financiers. La part en vue de la vente demeure marginale et stable, indiquant peu d’opérations orientées vers la vente d’effets.
- Impôts sur les bénéfices à recevoir
- La part d’impôts à recevoir affiche des variations significatives, atteignant des pics de plus de 2% à certains moments et chutant à près de 0.01%. Ces fluctuations traduisent probablement des changements dans la reconnaissance des impôts différés ou à payer, influencés par les résultats fiscaux et la planification fiscale de l’entreprise.
- Charges payées d’avance et autres actifs circulants
- En majorité, cette composante diminue en proportion dans l’actif total au fil du temps, passant d’environ 5.46% en 2018 à environ 1.4% en 2025, ce qui indique une réduction des actifs prépayés ou des autres actifs à court terme, peut-être en lien avec une gestion plus efficace du fonds de roulement.
- Actifs à court terme
- La proportion d’actifs à court terme fluctue de manière méthodique, atteignant un pic notable en 2019 (près de 73%) avant de régresser à un niveau plus stabilisé autour de 15-20% dans les années suivantes. Cette évolution pourrait refléter une augmentation temporaire des actifs circulants, puis une rationalisation ultérieure de la composition de ces actifs à court terme.
- Fonds à recevoir et montants pour la clientèle
- Dans l’ensemble, cette composante diminue en pourcentage de l’actif total, passant de près de 9% en 2018 à environ 1.38% en 2023, sauf en certaines périodes où une reprise est observée. Cette tendance suggère une gestion plus efficace ou un déclin de l’activité liée à ces fonds dans le portefeuille de l’entreprise.
- Actif circulant global
- La part de l’actif circulant est très variable, avec des pics importants en 2019 et 2020, atteignant jusqu’à 73%, avant de revenir à des niveaux plus modérés autour de 20-30% dans la dernière période. La tendance indique une fluctuation dans la liquidité à court terme, potentiellement pour financer des investissements ou gérer la liquidité en fonction des besoins.
- Actifs à long terme
- Une tendance globale à la baisse dans la part des actifs à long terme est manifeste, passant d'environ 54.71% en 2018 à environ 61.84% en 2025. La réduction de cette part indique une détérioration relative des investissements à long terme ou une conversion éventuelle en actifs à court terme.
- Immobilisations corporelles
- Les immobilisations corporelles diminuent significativement en proportion, passant d’environ 16.34% en 2018 à environ 2.66% en 2025, témoignant peut-être de cessions d’actifs ou d’une dépréciation majeure de ces immobilisations au fil du temps.
- Actifs liés au droit d’utilisation et survaleur
- Les actifs au titre du droit d’utilisation, apparus à partir de 2019, représentent une faible part de l’actif total mais maintiennent une présence régulière, indiquant une utilisation de contrats de location. La survaleur, en revanche, montre une tendance à la baisse, passant autour de 50% en 2019 puis fluctuant entre 37% et 50%, ce qui pourrait refléter des ajustements dans la valorisation des actifs incorporels et une diminution de la survaleur perçue.
- Immobilisations incorporelles, autres actifs et impôts différés
- Les immobilisations incorporelles conservent une faible proportion, autour de 17-28%, avec une légère tendance décroissante. Les actifs d’impôt différé, quant à eux, apparaissent à partir de 2020, et leur part croît progressivement, atteignant environ 2.9% en 2024. La présence de ces actifs indique une planification fiscale et une gestion des différences temporaires d’imposition.
- Résumé général
- Au fil du temps, la composition des actifs montre une tendance à la réduction de la part des actifs à long terme et des immobilisations corporelles, tandis que la trésorerie tend à augmenter, témoignant d'une gestion de liquidités efficace ou stratégique. La fluctuation des actifs circulants, notamment en période de croissance économique ou de réorganisation, illustre une flexibilité dans la gestion du fonds de roulement. La croissance relative des actifs d’impôt différé et la stabilité des actifs incorporels indiquent également une gestion fiscale et stratégique prudente dans un contexte de transformation ou d'optimisation du portefeuille d’actifs.