Structure du bilan : actif
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-04-30), 10-K (Date du rapport : 2025-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-04-30), 10-K (Date du rapport : 2024-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-30), 10-K (Date du rapport : 2023-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-30), 10-K (Date du rapport : 2022-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-30), 10-K (Date du rapport : 2021-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-04-30), 10-K (Date du rapport : 2020-01-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-04-30).
- Tendances générales de la trésorerie et équivalents de trésorerie
- La proportion de trésorerie et équivalents de trésorerie par rapport à l’actif total a fluctué au fil du temps, avec une tendance à la hausse depuis la fin de 2022, passant d’environ 8,6 % à près de 11,08 % en avril 2025. Cette progression indique une augmentation de la liquidité à court terme de l’entreprise, suggérant une gestion prudente ou une accumulation de liquidités pour d’éventuelles opérations stratégiques ou de gestion de risques.
- Evolution des négociables
- Les investissements en instruments négociables ont connu une variabilité, oscillant entre environ 3,78 % et 9,99 % de l’actif total. La tendance générale n’est pas strictement croissante ou décroissante mais montre des pics en 2020 à près de 10 %, avec un recul en 2021 et une légère reprise en 2022, laissant penser à une gestion flexible des placements à court terme.
- Comportement des débiteurs
- La proportion de débiteurs, en pourcentage de l’actif total, a été très variable, notamment avec un pic à 11,74 % en janvier 2021 et juillet 2021, puis un retour à environ 4,4 à 5,85 % dans la période suivante. Après une phase de volatilité, le taux semble se stabiliser aux alentours de 4,4 % à 5,2 %, indiquant une gestion maîtrisée des créances clientes.
- Charges capitalisées pour l’obtention de contrats de revenus
- La part de ces coûts dans l’actif total a été relativement stable, oscillant autour de 1,3 % à 2 %, avec une légère tendance à la hausse vers la fin de la période observée. La stabilité relative de cette ligne indique une stratégie cohérente dans la capitalisation des coûts liés aux contrats.
- Actif circulant
- La proportion d’actifs courants a montré une certaine volatilité, allant d’environ 18 % à 33 %, avec une tendance à augmenter en fin de période, notamment en 2023. Cette évolution pourrait refléter une gestion d’actifs circulants adaptée à certaines stratégies opérationnelles ou de financement à court terme.
- Immobilisations corporelles et actifs liés aux droits d’utilisation
- Les immobilisations corporelles ont représenté environ 3 à 7 % de l’actif total, avec une légère croissance vers 4 % dans la période récente. Les actifs liés aux droits d’utilisation au titre des contrats de location-exploitation ont diminué de façon régulière, passant d’environ 8,6 % en 2019 à moins de 3 % en 2024, ce qui pourrait indiquer une réduction ou une amortisation progressive des droits de location.
- Actifs non courants
- La part des actifs non courants dans l’actif total a oscillé entre environ 66 % et 82 %, avec une tendance à se stabiliser vers 73-77 % dans la période récente. La forte proportion d’actifs non courants souligne la nature principalement immobilisée des ressources de l’entreprise, avec une part significative de certains actifs spécifiques comme les survaleurs et les immobilisations incorporelles.
- Survaleur
- La survaleur a été majoritairement présente, représentant environ 39 à 54 % de l’actif total, avec une tendance à rester élevée dans la majorité des périodes. Son évolution indique une importance constante de cette composante dans la valorisation de l’ensemble des actifs, souvent en augmentation lors de la période 2021-2022, suggérant potentiellement des acquisitions ou des ajustements de valorisation.
- Immobilisations incorporelles issus de regroupements d’entreprises
- Ces immobilisations ont fluctué en proportion, avec une tendance à diminuer du sommet de près de 11 % en 2019 à environ 4,3 % en 2024. La réduction progressive pourrait refléter une dépréciation ou une reprise de valeur liée à des regroupements d’entreprises, ou la fin de certains programmes d’acquisition.
- Actifs d’impôts différés et autres actifs
- La proportion de ces actifs a augmenté légèrement, passant de 2 % à environ 4,96 % en fin de période. La hausse pourrait indiquer une reconnaissance accrue des actifs fiscaux différés, liés à des pertes reportées ou à des différés fiscaux, offrant un supplément de capacité de réduction fiscale dans le futur.