Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
Lam Research Corp., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-06-29), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-12-29), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-29), 10-K (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-12-24), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-24), 10-K (Date du rapport : 2023-06-25), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-26), 10-Q (Date du rapport : 2022-12-25), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-25), 10-K (Date du rapport : 2022-06-26), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-27), 10-Q (Date du rapport : 2021-12-26), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-26), 10-K (Date du rapport : 2021-06-27), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-28), 10-Q (Date du rapport : 2020-12-27), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-27), 10-K (Date du rapport : 2020-06-28), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-29), 10-Q (Date du rapport : 2019-12-29), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-29).
- Tendances des comptes fournisseurs commerciaux
- La proportion des comptes fournisseurs commerciaux par rapport au passif total et aux capitaux propres a augmenté progressivement, passant d'environ 3,37 % à la fin de 2019 à un sommet de 6,12 % au premier trimestre de 2021, puis diminué par la suite pour atteindre 4,00 % à la fin de 2024. Ce mouvement suggère une augmentation initiale de l’utilisation des fournisseurs dans le financement des opérations, suivie d’une réduction ou stabilisation de cette pratique, éventuellement en réponse à une gestion plus prudente ou à des changements dans la politique d’approvisionnement.
- Charges à payer et autres passifs à court terme
- La part de ces passifs a connu des fluctuations, augmentant de 8,02 % en fin 2019 à un maximum de 11,48 % au premier trimestre de 2021. Après cette période, la proportion a tendance à diminuer pour atteindre environ 10,02 % fin 2024. Cela peut indiquer une gestion plus stricte des obligations à court terme à partir de 2021, avec une phase de stabilité ou de légère baisse par la suite.
- Bénéfice différé
- La part du bénéfice différé dans le passif total a connu une hausse notable, passant de 3,29 % en fin 2019 à un pic de 10,42 % au premier trimestre de 2021. Par la suite, le pourcentage a fluctué entre environ 8,6 % et 12,02 %, signalant une intensification de la reconnaissance des bénéfices différés dans la structure du passif, probablement en lien avec des stratégies fiscales ou comptables spécifiques.
- Portion à court terme de la dette à long terme et des obligations liées aux contrats de location-financement
- Cette composante a connu une importante variabilité. Elle était de 5,23 % en fin 2019, puis a chuté presque à zéro lors de plusieurs trimestres en 2020-2021, avant de remonter doucement pour représenter environ 3,78 % fin 2024. La réduction temporaire en 2020-2021 pourrait suggérer un refinancement ou un report de dettes à plus long terme vers des échéances plus lointaines.
- Passif à court terme
- La part du passif à court terme a augmenté globalement, passant de 19,91 % à la fin 2019 à un maximum de 27,35 % au premier trimestre de 2022, puis se stabilisant autour de 23-27 %. Cette tendance indique une proportion croissante des obligations immédiates, pouvant refléter une stratégie de gestion du fonds de roulement ou des besoins accru en liquidités à court terme.
- Dette à long terme et obligations au titre des contrats de location-financement, hors partie courante
- La part de cette dette a diminué régulièrement, passant de 30,69 % en fin 2019 à environ 17,48 % au premier trimestre de 2025. Cette tendance montre une réduction progressive de l’endettement à long terme, probablement par amortissement ou refinancement de cette dette sur une période plus courte.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- La proportion de cette ligne a globalement diminué, allant de 6,94 % fin 2019 à environ 2,83 % en mars 2025, ce qui pourrait refléter une gestion plus efficace des obligations fiscales ou un paiement plus régulier d’impôts, permettant de réduire l’exposition au paiement différé à long terme.
- Autres passifs à long terme
- Après une légère hausse en 2020, cette ligne s’est relativement stabilisée autour de 2,7 %. L’absence de fluctuations importantes indique une gestion conservatrice de ces passifs, sans mouvements significatifs de refinement comptable ou juridique récent.
- Passifs à long terme
- Ce poste a diminué de façon notable, passant d’environ 39,75 % fin 2019 à environ 23,03 % fin 2024. La réduction témoigne d’un désendettement progressif, potentiellement par remboursement ou conversion de dettes à long terme en obligations à plus court terme ou capitaux propres.
- Total du passif
- La proportion totale du passif dans la passif total et capitaux propres est restée relativement stable autour de 59-64 %, avec une légère tendance à la baisse vers 56-57 % à partir de 2021. Cela indique une stabilité relative de la structure financière, malgré la réduction spécifique des dettes à long terme.
- Actions temporaires et billets convertibles
- La part des actions temporaires ou billets convertibles a été très faible, atteignant un maximum de 0,34 % fin 2019. Ces instruments semblent peu représentés dans la structure du passif, avec une absence notable à partir de 2022.
- Actions ordinaires
- La proportion des actions ordinaires est stable et minoritaire, représentant environ 0,01 % ou moins en fin de période, indiquant que la majorité du financement est principalement par dette ou capitaux propres autres que actions ordinaires.
- Capital versé supplémentaire
- Ce poste demeure une composante significative du passif, oscillant entre 39,6 % et 54,8 %, avec une tendance à la consolidation autour de 40-43 % à partir de 2022. La stabilité relative suggère une gestion plutôt conservatrice des fonds propres additionnels.
- Stock de trésorerie
- La variation du stock de trésorerie en valeur absolue montre une tendance à l’accumulation négative, avec une part souvent inférieure à -100 %, traduisant un outflow important de liquidités ou une utilisation significative de la trésorerie. Cette tendance pourrait signaler une stratégie d’investissement ou de rachat d’actifs, ou encore une gestion fondamentale de la liquidité.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- Ce poste affiche une constante contribution négative de l’ordre de -0,29 % à -0,87 %, indiquant une influence marginale et stable des autres éléments du résultat global sur la structure financière globalement en majorité positive en bénéfice non réparti.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste domine la structure tertiaire avec une croissance régulière, passant de 82,9 % fin 2019 à environ 138 % en mars 2025, témoignant d’une exploitation bénéficiaire continue et d’une politique de distribution ou de rétention des bénéfices favorable à la consolidation du résultat net. Cette progression indique un renforcement significatif des réserves de bénéfices non distribués.
- Capitaux propres
- La part des capitaux propres dans le passif total a augmenté, représentant environ 40 %-47 % à partir de 2022, passant de 39,99 % en 2019 à 46,2 % en mars 2025. La croissance de cette composante indique une augmentation des fonds propres relatifs, notamment via l’accroissement des bénéfices non répartis, renforçant la solvabilité de l’entreprise.
- Total du passif et des capitaux propres
- La somme des passifs et des capitaux propres a toujours égalé 100 %, conformément à la structure entière, attestant de la cohérence de la répartition et de la structure financière globale: