Structure du bilan : actif
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-14), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-22), 10-K (Date du rapport : 2024-12-28), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-07), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-15), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-23), 10-K (Date du rapport : 2023-12-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-09), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-17), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-25), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-03), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-11), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-19), 10-K (Date du rapport : 2021-12-25), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-04), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-12), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-20), 10-K (Date du rapport : 2020-12-26), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-05), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-13), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-21).
- Évolution de la trésorerie et équivalents de trésorerie
- La proportion de la trésorerie et équivalents de trésorerie par rapport à l'actif total a présenté une tendance à la baisse entre mars 2020 et décembre 2021, passant d'environ 13% à environ 6%. À partir de début 2022, cette proportion a connu une hausse significative, culminant à plus de 10% au premier trimestre 2023, puis a fluctué autour de 7-8% jusqu'en juin 2025. Ces fluctuations indiquent une gestion variable de la liquidité en réponse aux besoins opérationnels ou stratégiques.
- Placements à court terme
- Les placements à court terme ont connu une augmentation initiale en 2020, atteignant près de 1.47% en décembre, puis ont diminué pour se stabiliser autour de 0.3% à partir de 2022. Cette évolution peut témoigner d’un recentrage sur la liquidité immédiate ou d’un désengagement partiel de placements à court terme.
- Comptes et effets à recevoir, moins la provision
- La part de ces postes dans l’actif total a augmenté régulièrement, passant d’environ 10% en mars 2020 à plus de 12% en juin 2024. Cette croissance pourrait indiquer une augmentation des créances clients ou autres effets à recevoir, ce qui peut influencer la liquidité et la gestion du fonds de roulement.
- Matières premières et emballages
- La part de cette position a augmenté au fil du temps, atteignant près de 2.79% à la fin de la période. Cela reflète une croissance régulière de l’inventaire de matières premières, possiblement liée à une stratégie d’approvisionnement ou à l’accroissement de la production.
- Travaux en cours
- Les travaux en cours ont présenté une tendance à la baisse, représentant environ 0.12% depuis 2020, ceci pouvant suggérer une réduction des projets en cours ou un recentrage sur la finalisation des investissements existants.
- Produits finis
- Leur part dans l’actif total a augmenté, atteignant environ 3.24% en mars 2024, ce qui indique une croissance de l’inventaire de produits finis, potentiellement en réponse à des stratégies d’approvisionnement ou à une augmentation des volumes de vente prévues.
- Inventaires
- La proportion d’inventaires dans l’actif total a augmenté, passant de 4.23% à plus de 6%, avec une croissance notable entre juillet 2021 et septembre 2022. Cela peut indiquer une accumulation d’inventaire ou une anticipation de ventes accrues, mais aussi un risque potentiel de surstockage si la demande ne suit pas.
- Charges payées d’avance et autres actifs circulants
- Ce poste a connu une légère diminution en proportion, passant d’environ 1.11% à 0.87%, témoignant d’une gestion plus efficace ou d’un renouvellement des actifs circulants.
- Actifs détenus en vue de la vente
- Selon les données, cette catégorie est présente à partir de juin 2021 avec une valeur d’environ 2%, ce qui indique une cession ou une intention de céder certains actifs, signalant une stratégie de désinvestissement ou de recentrage stratégique.
- Actif circulant
- Sa part dans l’actif total a fluctuée entre environ 24% et près de 29%, avec une tendance à la hausse en 2022, ce qui peut refléter une gestion de liquidités ou d’inventaire en réponse à la conjoncture opérationnelle.
- Immobilisations corporelles
- La part des immobilisations corporelles dans l’actif total a augmenté, passant d’environ 50% en 2020 à plus de 55% dans la période récente, traduisant un investissement soutenu dans le patrimoine immobilier et les équipements, avec un léger fléchissement potentiel à la fin de la période.
- Amortissement cumulé
- Le montant d’amortissement cumulé a augmenté proportionnellement aux immobilisations corporelles, évoluant autour de -27% de l’actif total, indiquant une dépréciation progressive des actifs corporels au fil du temps.
- Immobilisations corporelles nettes
- La part nette de ces immobilisations a augmenté progressivement, atteignant environ 27-28% en 2024, reflétant un renouvellement ou un maintien de l’investissement dans le patrimoine physique de l’entreprise.
- Immobilisations incorporelles amortissables
- Cette catégorie a représenté une proportion stable, autour de 1.2% à 2%, en légère baisse, suggérant une gestion régulière de la valeur incorporelle et une amortissement contrôlé.
- Survaleur
- La survaleur a oscillé entre 17.6% et 20%, avec une tendance à la baisse progressive, ce qui pourrait indiquer une dépréciation ou une réduction de la valeur excessive lors d’acquisitions antérieures.
- Autres immobilisations incorporelles à durée de vie indéterminée
- Ce poste a connu une baisse continue en partage relatif, passant d’environ 17% à moins de 14%, traduisant une diminution de la valeur des actifs incorporels à durée de vie indéterminée ou une évolution de la composition des actifs incorporels.
- Incorporelles
- La part des actifs incorporels dans l’actif total a globalement diminué, indiquant une possible réduction des investissements dans la propriété intellectuelle ou autres actifs immatériels à durée indéterminée.
- Investissements dans des sociétés affiliées non contrôlées
- Ce poste a légèrement diminué, passant d’environ 3.2% à moins de 2%, ce qui peut indiquer une désinvestissement progressif ou une moindre importance stratégique de ces participations.
- Impôts différés
- Les impôts différés ont maintenu une proportion stable, autour de 4.1% à 5.1%, reflétant une gestion fiscale régulière et une stabilité dans les positions fiscales différées.
- Autres actifs
- Ce poste a subi une augmentation, passant d’environ 3.87% à un maximum de 7.56%, indiquant une croissance dans les actifs diversifiés ou non spécifiés, susceptibles de couvrir diverses stratégies ou besoins opérationnels.
- Actifs non courants
- La part des actifs non courants a augmenté, dépassant parfois 76%, ce qui traduit une orientation vers un patrimoine d’actifs à long terme, notamment avec une forte proportion d’immobilisations corporelles.
- Total de l’actif
- Le total de l’actif a été maintenu à 100% comme base de référence, avec des variations dans la composition en pourcentage, mais sans altération de la mesure même.