Structure du bilan : passif et capitaux propres
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Ross Stores Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2022-10-29), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-30), 10-K (Date du rapport : 2022-01-29), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-05-01), 10-K (Date du rapport : 2021-01-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-08-01), 10-Q (Date du rapport : 2020-05-02), 10-K (Date du rapport : 2020-02-01), 10-Q (Date du rapport : 2019-11-02), 10-Q (Date du rapport : 2019-08-03), 10-Q (Date du rapport : 2019-05-04), 10-K (Date du rapport : 2019-02-02), 10-Q (Date du rapport : 2018-11-03), 10-Q (Date du rapport : 2018-08-04), 10-Q (Date du rapport : 2018-05-05), 10-K (Date du rapport : 2018-02-03), 10-Q (Date du rapport : 2017-10-28), 10-Q (Date du rapport : 2017-07-29), 10-Q (Date du rapport : 2017-04-29), 10-K (Date du rapport : 2017-01-28), 10-Q (Date du rapport : 2016-10-29), 10-Q (Date du rapport : 2016-07-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-04-30).
- Tendances générales des passifs
- La proportion de total du passif représentée par les passifs totaux et capitaux propres oscille autour de 50 %, avec des fluctuations modérées d’un trimestre à l’autre. Une tendance à la baisse notable est observable à partir du trimestre de février 2020, où cette proportion atteint son creux à environ 45,57 %, avant de remonter à plus de 50 % dans les trimestres suivants.
- Comptes créditeurs
- La part des comptes créditeurs dans le total du passif fluctue entre environ 14,72 % en novembre 2019 et 22,36 % en octobre 2017, avec une tendance moyenne légèrement descendante vers la fin de la période observée. La réduction de cette composante à partir de 2019 pourrait refléter un changement dans la gestion des dettes fournisseurs ou autres engagements à court terme.
- Charges à payer et autres charges
- Cette composante présente une stabilité relative, oscillant autour de 4,36 % à 8,22 %, avec une tendance à la baisse en fin de période, notamment en 2020, où elle se stabilise vers 4,4 %. La baisse en 2020 pourrait indiquer une amélioration dans la gestion des charges différées ou autres obligations à payer.
- Passifs liés aux contrats de location-exploitation
- Ces passifs, présents en nombre à partir du quatrième trimestre 2017, varient entre environ 4,46 % et 6,04 %, sans tendance claire. La stabilité relative de cette ligne indique une gestion constante des obligations locatives.
- Masse salariale et avantages sociaux accumulés
- La part de cette catégorie dans le passif total montre des fluctuations importantes, atteignant un pic en octobre 2017 à près de 6,11 %, puis diminuant progressivement à un peu plus de 2 % dans la période 2019-2020, avant de se stabiliser autour de 2,28 %. Cette évolution peut refléter des changements dans la gestion des obligations liées à la masse salariale ou à certains avantages sociaux.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- La part de cette ligne est très volatile, apparaissant sporadiquement. Elle a connu une augmentation en mai 2017, puis une baisse importante en 2018, avec des valeurs faibles ou nulles par la suite. La variabilité suggère que cette composante pourrait dépendre de la situation fiscale spécifique à chaque période.
- Dettes à court terme
- La proportion de dette à court terme est très faible, autour de 7,5 % en 2017, puis de manière sporadique observée dans certaines périodes ultérieures. La tendance générale indique une gestion prudente de la part à court terme, même si cette composante demeure marginale.
- Partie à court terme de la dette à long terme
- Sa proportion se maintient généralement autour de 0,5 % à 1,5 %, avec une légère baisse observée entre 2017 et 2018, puis une stabilité jusqu’en 2022, indiquant une gestion prudente de la dette à long terme avec principalement sa composante à court terme.
- Dettes à long terme (hors partie courante)
- Cette catégorie représente une part importante du passif, allant de près de 7 % en 2016 à plus de 41 % en 2022. La tendance générale montre une augmentation progressive, suggérant une dépendance accrue à l’endettement de long terme pour financer ses activités ou ses investissements.
- Passifs non courants liés aux contrats de location-exploitation
- La part de ces passifs diminue de façon continue, passant d’environ 27,79 % en 2017 à environ 18 % en 2022. Cette réduction pourrait résulter de changements dans la comptabilisation ou la gestion des contrats de location.
- Autres passifs à long terme et impôts différés
- Les autres passifs à long terme oscillent peu, autour de 1,7 à 6 %. Les impôts différés montrent une tendance à la baisse, passant d’environ 2,75 % en 2016 à environ 1 % en 2022, reflétant peut-être une réduction des passifs fiscaux différés liés à des bénéfices reportés ou des décalages temporaires.
- Capitaux propres
- La part des capitaux propres dans le passif total varie entre environ 24 % et 54 %, avec une tendance à la hausse progressive. En 2016-2017, cette part oscille autour de 50 %, puis augmente significativement en 2018, culminant à plus de 31 % en 2022. Cela indique une amélioration de la solvabilité et une augmentation des fonds propres relatifs à la structure du passif.
- Bénéfices non répartis
- La composante traduit une tendance à la hausse, passant de 20,36 % en 2022 à environ 22,38 % en 2020, avec des fluctuations intermédiaires. La croissance observée pourrait refléter une accumulation de résultats non distribués, renforçant la solvabilité et la capacité d’autofinancement de l’entreprise.
- Actions ordinaires et actions du Trésor
- La valeur des actions ordinaires représente une faible part du passif, autour de 0,03 %, indiquant qu’elles constituent une petite fraction du capital social. La position des actions du Trésor est négative, oscillant autour de -5 %, ce qui reflète la politique de rachat d’actions ou de détention d’actions propres.