Structure du bilan : actif
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-03-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2011-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-03-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2010-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2010-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2010-03-31).
- Analyse de la trésorerie et des équivalents
- La proportion de trésorerie et d'équivalents par rapport à l'actif total a connu une tendance à la hausse sur la période analysée. Elle a augmenté de 26,08 % au premier trimestre 2010 à un pic de 39,56 % au troisième trimestre 2014, indiquant une accumulation significative de liquidités ou d'équivalents de trésorerie. Cette progression peut refléter une stratégie de maintien d'une forte liquidité ou une gestion prudente des flux de trésorerie.
- Analyse des placements à court terme
- Les placements à court terme ont présenté une évolution fluctuante. Leur part dans l'actif total est restée faible mais a montré une tendance à l'accroissement occasionnel, culminant à 7,48 % au troisième trimestre 2014. La faiblesse immédiate de ces placements, en comparaison avec la croissance de la trésorerie, peut suggérer une priorité accordée à la liquidité immédiate plutôt qu'à des investissements à court terme.
- Créances clients
- Les créances clients ont représenté une part relativement stable de l’actif, oscillant autour de 7,3 % à 10,01 %. La tendance générale indique une légère augmentation en fin de période, ce qui pourrait signaler une stabilité dans la gestion des comptes clients ou une augmentation des ventes à crédit. La variation annuelle reste modérée, sans déviation majeure, témoignant d’une gestion de crédit relativement constante.
- Inventaires
- Les inventaires ont constitué une part mineure de l’actif, avec une évolution confortable autour de 2,38 % à 3,08 %. La tendance est globale à la stabilité, avec une légère baisse en fin de période, ce qui pourrait indiquer une gestion efficace des stocks ou une réduction des niveaux d'inventaire, limitant ainsi l'immobilisation de capital dans les stocks.
- Autres actifs circulants
- Les autres actifs circulants ont présenté une légère croissance, oscillant entre 3,91 % et 5,71 %, la valeur étant en tendance stabilisée vers la fin de la période. La stabilité relative de cette composante peut témoigner d'une gestion équilibrée des autres actifs à court terme.
- Actifs des activités abandonnées
- La proportion de ces actifs a diminué considérablement à partir de 1,67 % en fin 2012 pour tomber quasiment à zéro en fin 2013, ce qui indique une cession ou une liquidation progressive de ces éléments, conformément à une stratégie de désinvestissement dans des activités non prioritaires ou abandonnées.
- Actif circulant
- La part de l’actif circulant dans l’ensemble de l’actif total a accru, passant de 41,22 % début 2010 à plus de 55,34 % en fin 2014. Cette tendance indique une orientation vers la liquidité ou une augmentation des actifs à court terme, déplacée probablement pour renforcer la flexibilité financière ou répondre aux besoins de financement à court terme.
- Placements et autres actifs
- La part de ces actifs a connu une baisse progressive, passant de 3,52 % en début 2010 à environ 2,19 % à la fin de la période, signifiant une désaccroissement relatif ou une dévaluation dans cette catégorie, probablement en lien avec la stratégie de liquidité accrue.
- Actifs d’impôts différés
- La proportion de ces actifs a connu une fluctuation, atteignant un pic à 2,90 % en juin 2011, avant de décroître à des niveaux plus faibles autour de 0,51 % en fin 2014. Cette tendance pourrait refléter des changements dans la reconnaissance ou la réalisation des crédits d'impôt différés, ou une réduction de leurs avantages fiscaux potentiels.
- Immobilisations corporelles
- Les immobilisations corporelles ont constitué une part stable et modérée de l’actif, fluctuant autour de 8,11 % à 10,43 %. Leur part a tendance à la baisse progressive, indiquant un amortissement ou une désinvestissement dans ce type d'actifs, ce qui pourrait s’inscrire dans une stratégie de simplification ou de désinvestissement d’immobilisations physiques.
- Survaleur
- La survaleur, ou goodwill, a représenté en moyenne une part sensible de l’actif, avec une légère tendance à la baisse, passant de 26,33 % en 2010 à environ 19,27 % à la fin 2014. La diminution de cette composante pourrait indiquer des ajustements après des acquisitions ou des amortissements liés à cette valeur immatérielle.
- Immobilisations incorporelles
- Les immobilisations incorporelles ont varié entre 12,05 % et 18,87 %, avec une tendance générale à la stabilité mais en légère fluctuation. Leur part est importante dans la structure d'actif, suggérant une importance stratégique de ces actifs immatériels, notamment en recherche, développement ou propriété intellectuelle. La part relative tend à diminuer légèrement vers la fin de la période.
- Actifs non courants
- Les actifs non courants ont constitué environ la moitié ou plus de l’actif, fluctuant principalement entre 44,66 % et 58,78 %, avec une tendance à la baisse graduelle en fin de période. Cela indique une déslumbrant progressive des actifs durables au profit d’une augmentation de la part d’actifs circulants dans le financement global.