Bilan : actif
Données trimestrielles
Le bilan fournit aux créanciers, aux investisseurs et aux analystes des informations sur les ressources (actifs) de l’entreprise et ses sources de capitaux (ses capitaux propres et ses passifs). Il fournit normalement également des informations sur la capacité bénéficiaire future des actifs d’une entreprise ainsi qu’une indication des flux de trésorerie qui peuvent provenir des créances et des stocks.
Les actifs sont des ressources contrôlées par la société à la suite d’événements passés et dont l’entité devrait tirer des avantages économiques futurs.
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- État du résultat global
- Tableau des flux de trésorerie
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
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D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31).
- Analyse des tendances de la trésorerie et des équivalents de trésorerie
- Au cours de la période étudiée, la trésorerie et ses équivalents ont présenté des fluctuations significatives. Après une baisse notable à la fin du premier trimestre 2015, la trésorerie a connu une reprise importante au dernier trimestre 2016, atteignant un sommet à 7 554 700 dollars. Entre cette année et la fin de la période examinée, la tendance générale indique une augmentation progressive, culminant à 2 537 500 dollars au troisième trimestre 2019. Cependant, une déclin a été observée dans le dernier trimestre de 2019, avec une trésorerie de 999 500 dollars. Ces fluctuations peuvent refléter des variations dans les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, d'investissement ou de financement, ou encore à des choix stratégiques tels que des investissements ou des remboursements de dettes.
- Analyse des négociables
- Les négociables ont connu une évolution variable avec plusieurs pics, notamment en septembre 2016, où la valeur a fortement augmenté à 18 376 000 dollars, marquant probablement une gestion stratégique des liquidités à court terme. Après ce pic, une baisse intervient, suivie d'une nouvelle augmentation au deuxième semestre 2019, où ils atteignent plus de 3 millions de dollars. La tendance globale montre une gestion active des placements à court terme, avec une amplitude importante lors de certains trimestres, illustrant une stratégie potentielle de liquidités pour répondre aux besoins opérationnels ou d'investissement.
- Analyse des débiors
- Les débiors ont affiché une croissance constante tout au long de la période. Au départ, leur montant fluctue autour de 3,99 à 4,42 milliards de dollars, avant d'atteindre environ 3,28 milliards au premier trimestre 2019. Leur évolution montre une tendance à la hausse, culminant à plus de 3 milliards de dollars en 2020, ce qui peut indiquer une augmentation des ventes à crédit ou une croissance des activités commerciales à crédit. La stabilité relative de ces éléments suggère une gestion prudente du crédit client, malgré une croissance modérée.
- Analyse des inventaires
- Les inventaires ont connu une baisse significative entre 2015 et 2016, passant d'environ 3,1 milliards à environ 700 millions de dollars, ce qui pourrait refléter une réduction des stocks ou une réorganisation de la gestion des inventaires. Après cette baisse, ils ont augmenté progressivement pour atteindre environ 1,2 milliard de dollars à la fin de 2018, puis poursuivent une tendance à la hausse jusqu'à environ 1,2 million de dollars en septembre 2019. Ces variations indiquent une gestion dynamique des stocks, peut-être en réponse à la demande du marché ou à des stratégies de production.
- Actifs circulants détenus en vue de la vente
- Ces actifs ont connu une évolution marquée, avec un pic à plus de 3 milliards de dollars au troisième trimestre 2015. Par la suite, leur montant a considérablement diminué et est devenu insignifiant ou non documenté dans les trimestres suivants. La présence de ces actifs à certains moments pourrait refléter la cession ou la planification de la vente d'actifs non stratégiques, ou des ajustements comptables liés à ces opérations. Leur disparition progressive peut indiquer la finalisation de ces cessions.
- Charges payées d’avance et autres actifs circulants
- Ce poste show une tendance à la hausse entre 2015 et 2019, culminant à plus de 2,5 millions de dollars à la fin de 2018, avant de connaître une légère baisse en 2019. La croissance dans ce domaine peut indiquer une augmentation des dépenses prépayées ou des avances pour des services ou biens futurs, potentiellement en lien avec la croissance des activités ou des investissements. La réduction en 2019 peut témoigner d’un ajustement ou de l’achèvement de certains contrats ou dépenses préalablement engagées.
- Actifs d’impôts différés
- Les actifs d'impôts différés présentent une croissance globale, passant de 600 800 dollars en mars 2015 à un pic de plus de 1 million de dollars dans la plupart des trimestres, avec une tendance à augmenter vers la fin de la période. Leur variation traduit probablement des différences dans la reconnaissance des créances d'impôt ou des avantages fiscaux différés liés à des pertes ou crédits reportés, témoignant d'une gestion fiscale proactive.
- Actifs circulants
- Les actifs circulants ont connu des fluctuations importantes, notamment une baisse marquée en 2015, suivie d'une reprise structurée jusqu'en 2016 puis une croissance significative à partir de 2017 avec des pics atteignant plus de 17 milliards de dollars. La progression au fil des années indique une augmentation générale de la liquidité de l'entreprise, facilitée peut-être par l’accroissement des liquidités, des créances ou autres actifs mobilisables à court terme. Ce profil pourrait également refléter une restructuration ou une expansion stratégique des opérations à court terme.
- Immobilisations corporelles, montant net
- Les immobilisations corporelles ont montré une tendance à la croissance progressive, passant d'environ 2,8 millions de dollars en 2015 à plus de 1,9 million en 2019. La constance de cette augmentation témoigne d’investissements réguliers dans les actifs physiques, suggérant une stratégie d’expansion ou de maintenance des capacités productives. La stabilité relative indique une gestion prudente de ce poste d’actif, avec des investissements soutenus mais contrôlés.
- Droit d’utilisation de l’actif, contrats de location-exploitation
- Ce poste, présent à partir de 2016, a enregistré une progression régulière, atteignant environ 490 millions de dollars en 2018. La croissance reflète probablement la mise en œuvre de nouveaux contrats de location-financement ou de location opérationnelle, conformément à la nouvelle norme comptable relative à la reconnaissance des contrats de location (IFRS 16 ou normes analogues).
- Placements et autres actifs
- Les placements ont été relativement stables jusque vers 2017, après quoi ils ont connu une croissance notable, atteignant 430 700 dollars en septembre 2019. Les augmentations successives indiquent une stratégie d’investissement ou le placement de liquidités excédentaires dans d’autres actifs financiers ou hors activités principales, avec une tendance à la diversification accrue des investissements.
- Actifs non courants détenus en vue de la vente
- Ce poste a connu une forte augmentation à partir de 2015, culminant à plus de 10 millions en 2016. Sa présence indique une stratégie de cession d’actifs non stratégiques ou en liquidation. La variation de ce poste montre une activité importante dans la gestion d’actifs non essentiels, avec des liquidations ou des intentions de vente selon le contexte stratégique.
- Actifs d’impôts différés
- Les actifs d'impôts différés ont continué leur progression, atteignant près de 600 000 dollars à la fin de 2019. La croissance constante témoigne d’une planification fiscale efficace ou de pertes reportées permettant de déduire davantage d'impôts futurs.
- Actifs incorporels et droits de propriété
- Les actifs incorporels tels que les droits sur les produits et autres, ainsi que la survaleur, ont connu une baisse graduelle sur la période, reflétant peut-être un effort d’amortissement ou de rationalisation de ces actifs. La réduction de ces postes peut également signaler des dépréciations ou des cessions d’actifs incorporels dans une stratégie d’allègement du bilan.
- Actifs non courants
- Ce poste a suivi une tendance globale à la baisse, passant de 128,4 milliards de dollars en 2015 à environ 81 milliards en 2019. La réduction peut signaler une dépréciation, une cession d’actifs ou une restructuration de l'entreprise en diminuant la valeur des actifs non courants.
- Total de l’actif
- Le total de l’actif a connu une fluctuation importante, culminant à environ 142,8 milliards de dollars en 2015 puis en baisse constante pour atteindre environ 88,4 milliards en septembre 2019. La tendance générale reflète une contraction du bilan, en partie due à la dépréciation ou cession d’actifs non courants, ainsi qu’à la gestion stratégique de la structure de l’actif de l'entreprise.