Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- État du résultat global
- Tableau des flux de trésorerie
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31).
- Évolution des passifs et des provisions
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Les rabais accumulés à des tiers ont connu une augmentation progressive, passant de 0,94 % en 2015 à 2,11 % en 2019, indiquant une augmentation de la reconnaissance des remises ou rabais contractuels. Les provisions pour litiges et frais juridiques ont fluctué, avec une baisse notable en 2016 (0,08 %) puis une forte hausse en 2019 (1,32 %), reflet possiblement d’une augmentation des risques ou litiges en cours.
Les autres types d’engagements, tels que les paies accumulées, autres provisions et dépenses de R-D à payer, ont montré une tendance à la hausse relative, en particulier la paie accumulée et avantages sociaux, qui ont augmenté progressivement de 0,3 % en 2015 à 0,88 % en 2019. Les dépenses de R-D à payer ont été relativement stables. La part des charges à payer a connu une croissance significative, de 2,93 % en 2015 à 6,29 % en 2019, indiquant peut-être une accumulation plus importante de coûts à payer ou de charges différées.
- Évolution de la structure du passif à court terme
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Le passif à court terme global a fluctué, atteignant 6,13 % en 2015, puis diminuant à 5,63 % en 2018, avant de repartir à la hausse pour atteindre 11,69 % en 2019, principalement en raison de l’augmentation des charges à payer et des comptes créditeurs. La portion à court terme des obligations à long terme a connu une hausse importante en 2016 (2,17 %) puis une baisse en 2018 (0,85 %) avant de remonter en 2019 (4,79 %).
La part des dettes à long terme hors partie courante a diminué de 29,66 % en 2015 à 19,13 % en 2019, indiquant un désengagement relatif de l’entreprise de ses financements à long terme. La part du passif à court terme détenu en vue de la vente a disparu après 2015, suggérant une liquidation ou une reclassification.
- Évolution des capitaux propres
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Les capitaux propres ont connu une augmentation en pourcentage du total du passif et des capitaux propres, passant de 56,38 % en 2015 à un maximum de 63,99 % en 2018, puis une légère baisse à 61,45 % en 2019. La composante principale est le capital versé supplémentaire, qui a globalement augmenté de 50,43 % en 2015 à 59,11 % en 2019, ce qui indique un renforcement du capital propice à soutenir la croissance ou la restructuration.
Les bénéfices non répartis ont connu une forte progression, en particulier en 2016, passant de 2,69 % en 2015 à 14,22 %, puis une diminution en 2019 à 1,05 %, reflet probable de distributions ou utilisation des bénéfices. La part des autres éléments du résultat étendu est restée relativement stable autour de 1,3 % à 1,6 % sur la période.
- Analyse générale
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La structure financière a montré une augmentation des engagements liés aux contingences et provisions, notamment pour litiges et litiges juridiques, moins stable qu’auparavant. Par ailleurs, la croissance des charges à payer et des comptes créditeurs suggère une augmentation des passifs à payer à court terme, ce qui peut indiquer une dégradation de la liquidité ou une stratégie de gestion des flux à court terme.
La diminution relative de la dette à long terme en pourcentage du total reflète peut-être un désendettement progressif ou un refinancement à court terme accru. La hausse du capital versé supplémentaire et la stabilité ou la baisse des bénéfices non répartis démontrent un renforcement des capitaux propres, assurant une certaine solidité financière pour faire face aux obligations futures.