Structure du bilan : actif
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-09-30), 10-K (Date du rapport : 2018-09-30), 10-K (Date du rapport : 2017-09-30), 10-K (Date du rapport : 2016-09-30), 10-K (Date du rapport : 2015-09-30), 10-K (Date du rapport : 2014-09-30).
- Trésorerie et équivalents
- La part de la trésorerie et des équivalents dans l'actif total a augmenté de manière progressive entre 2014 et 2017, passant d'environ 13,02 % à 15,63 %, puis a connu une baisse notable en 2018 à 5,36 %. Cependant, cette dernière a été suivie d'une reprise en 2019, atteignant 7,29 %, ce qui indique une certaine volatilité dans la gestion des liquidités disponibles.
- Créances, moins les provisions
- La proportion de ces créances dans l'actif total a diminué de 20,76 % en 2014 à 12,42 % en 2016, avant de remonter à 15,68 % en 2017, puis s’est stabilisée autour de 14,5 % en 2019, suggérant une réduction de l’exposition aux créances clients ou des améliorations dans leur gestion ou leur recouvrement.
- Inventaires
- La part des inventaires dans l’actif total a légèrement augmenté en 2019 (9,17 %) par rapport à 8,51 % en 2014, après avoir fluctué entre 8,36 % et 8,89 %, indiquant une stabilité relative mais aussi une possible augmentation des stocks en fin de période.
- Créances non facturées (actifs contractuels)
- Les créances non facturées apparaissent en 2019 avec une part de 2,22 %, ce qui pourrait refléter l’accroissement des contrats en cours ou des marges de manœuvre dans la gestion des actifs contractuels, absent de données pour les années précédentes.
- Autre et autres actifs circulants
- Ces deux catégories ont connu des variations significatives: «Autre» a atteint un pic en 2016 à 13,20 %, puis est retombée à environ 1,58 % en 2019, montrant une réduction de certaines catégories d’actifs circulants. «Autres actifs circulants» ont aussi fluctué, culminant en 2016 puis en repassant à une proportion plus stable autour de 3,81 % en 2019.
- Actif circulant
- La proportion de l’actif circulant dans l’actif total a diminué de 44,95 % en 2014 à 32,46 % en 2018, avant de remonter à 34,83 % en 2019, indiquant une tendance à réduire la part d’actifs à court terme, puis une légère augmentation en fin de période.
- Immobilisations corporelles et survaleur
- Les immobilisations corporelles ont vu leur part dans l’actif total progresser modestement, passant de 15,73 % en 2014 à 17,77 % en 2019. La survaleur a connu des fluctuations, avec une forte croissance en 2016 (17,98 % à 27,14 %) puis une stabilisation autour de 31,89 % en 2019, reflétant des investissements ou des valorisations accrues dans ces actifs non courants.
- Autres immobilisations incorporelles
- Cette catégorie a augmenté de 6,99 % en 2014 à une valeur proche en 2019 (12,76 %), avec une hausse notable en 2017 et 2018, témoignant d’investissements ou d’acquisitions dans des actifs incorporels, tels que brevets ou licences.
- Avoirs de prévoyance, créances liées à l’amiante et impôts différés
- Ces éléments apparaissent ou augmentent à partir de 2016, représentant des parts modérées de l’actif total (en moyenne inférieure à 3 %). La présence et la croissance des avoirs de prévoyance indiquent des provisions pour risques ou obligations futures, tandis que les créances liées à l’amiante et les impôts différés traduisent des ajustements fiscaux ou de passifs potentiels.
- Autres actifs non courants et autres actifs
- Les autres actifs non courants ont connu une croissance notable jusqu’en 2016 (18,59 % en 2016), puis ont fluctué à la baisse, représentant 2,76 % en 2019. La part des autres actifs a, quant à elle, augmenté significativement pour atteindre 50,07 % en 2018, puis a diminué à 47,4 % en 2019, ce qui indique une redistribution dans la composition des actifs non courants et une diversification accrue des actifs hors immobilisations traditionnelles.
- Actifs non courants
- La part des actifs non courants dans l’actif total a évolué de manière inverse aux actifs circulants, passant de 55,05 % en 2014 à un pic de 67,54 % en 2018, avant de se réduire légèrement à 65,17 % en 2019. Cette tendance souligne une orientation stratégique vers des investissements à long terme ou une valorisation accrue de ces actifs.