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Emerson Electric Co. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- Bilan : passif et capitaux propres
- Structure du bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse des ratios de solvabilité
- Rapport valeur/ FCFF d’entreprise (EV/FCFF)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-09-30), 10-K (Date du rapport : 2018-09-30), 10-K (Date du rapport : 2017-09-30), 10-K (Date du rapport : 2016-09-30), 10-K (Date du rapport : 2015-09-30), 10-K (Date du rapport : 2014-09-30).
- Revenus
- La proportion du chiffre d'affaires net demeure constante à 100 % au cours de la période analysée, ce qui indique une stabilité dans la présentation des données financières.
- Coût des ventes
- Le pourcentage du coût des ventes par rapport au chiffre d'affaires varie légèrement, oscillant entre -56.88 % et -59.43 %, avec une tendance à la hausse en 2015 et une légère baisse en 2016, suivie d'une stabilisation autour de -57 % à partir de 2018. Ces fluctuations suggèrent une gestion rigoureuse des coûts ou une variation dans la structure des produits ou services vendus.
- Marge brute
- La marge brute en pourcentage du chiffre d'affaires montre une augmentation progressive, passant de 41.4 % en 2014 à 43.12 % en 2016, puis se stabilisant autour de 42.5 % en 2018 et 2019. Cela indique une amélioration de la rentabilité brute, liée possiblement à une meilleure gestion des coûts ou à une évolution favorable dans la tarification.
- Frais de vente, frais généraux et frais administratifs
- Ce poste représente environ 23.2 % à 24.5 % du chiffre d'affaires, avec une tendance à augmenter légèrement en 2018 et 2019. La stabilité relative de cette dépense relative indique une gestion maîtrisée de ces charges, malgré une légère augmentation en fin de période.
- Gains sur cessions d’entreprises
- Une ligne spécifique apparaît uniquement en 2015, où des gains représentant 4.66 % du chiffre d'affaires sont enregistrés. L’absence de données ultérieures ne permet pas de suivre cette source de revenus, mais sa survenue en 2015 pourrait avoir contribué à une amélioration ponctuelle du résultat.
- Dépréciation de l’écart d’acquisition
- Une déduction constante de 2.07 % en 2014, sans valeur pour les années suivantes, suggère une charge exceptionnelle ou une spécificité comptable qui n’a pas été renouvelée par la suite.
- Amortissement des immobilisations incorporelles
- Ce poste a connu une légère augmentation, passant de 0.92 % en 2014 à 1.3 % en 2019, avec une tendance à l’accroissement. La dégradation pourrait refléter une augmentation des investissements en propriété intellectuelle ou en relations avec la clientèle amortis sur la période.
- Coûts de restructuration
- Les coûts de restructuration oscillent autour de 0.2 % à 1 % du chiffre d'affaires, avec une tendance à la baisse en 2017 mais une nouvelle hausse en 2019. L’évolution indique une activité de restructuration modérée, sans tendance claire à la dégradation ou à l’amélioration significative.
- Autres éléments
- Les autres déductions sont relativement stables, autour de -0.5 % à -2.6 %, avec une légère augmentation en 2015, suivie d’une stabilisation. La ligne "Autre" affiche une fluctuation, notamment une valeur marginale positive en 2019, indiquant une variation dans la nature ou l’ampleur de ces déductions.
- Bénéfice lié aux activités poursuivies avant intérêts et impôts
- Ce bénéfice oscille de 13.64 % en 2014 à un pic de 19.42 % en 2015, puis reflète une baisse puis une stabilisation autour de 15.3 % à 16.5 %. La forte augmentation en 2015 marque un excès de rentabilité opérationnelle cette année-là.
- Revenus et charges d’intérêts
- Les revenus d’intérêts restent faibles mais progressent légèrement jusqu’en 2018, atteignant 0.25 %, avant une baisse en 2019. Les charges d’intérêts suivent une tendance à la baisse, passant de -0.89 % en 2014 à -1.09 % en 2019, traduisant une gestion efficace de la dette ou une réduction de l’endettement.
- Bénéfice avant impôts sur le résultat
- Ce bénéfice témoigne de fluctuations, avec un maximum de 18.66 % en 2015. La tendance générale reste à environ 15.3 %-15.6 %, indiquant une stabilité relative dans la capacité à générer des bénéfices avant impôts.
- Impôts
- Le taux d’imposition s’établit autour de 2.54 % à 6.4 %, avec une tendance à la baisse en 2018 et 2019, ce qui pourrait refléter une optimisation fiscale ou une variation dans la fiscalité effective.
- Bénéfice des activités poursuivies
- Ce bénéfice se maintient globalement autour de 11 % à 13 %, avec un pic en 2015, correspondant probablement à une période de performance exceptionnelle. En 2019, il atteint 12.67 %, confirmant une rentabilité relativement stable dans la continuité des années précédentes.
- Activités abandonnées, nettes d’impôt
- Une valeur négative en 2016 (-0.82 %) indique une perte nette liée à des activités abandonnées, ce qui a eu un impact dilutif sur le résultat global cette année-là. En 2017, cette ligne devient positive à 0.31 %, suggérant une amélioration ou une clôture des activités abandonnées.
- Bénéfice net
- Le bénéfice net, en pourcentage du chiffre d'affaires, reflète une tendance volatile mais globalement stable, oscillant entre 8.75 % en 2014 et 12.78 % en 2019. La période montre une reprise en 2015, puis une stabilisation autour de 12 %, témoignant d’une performance consolidée.
- Participations ne donnant pas le contrôle dans les résultats des filiales
- Ce poste maintient une contribution marginale, oscillant légèrement autour de -0.1 % à -0.2 %, ce qui indique une influence limitée de ces participations sur le résultat global.
- Bénéfice net des actionnaires ordinaires
- Ce dernier indicateur suit une tendance similaire au bénéfice net global, avec une hausse notable en 2015 à 12.15 %, puis une légère baisse à 12.55 % en 2019, preuve d’une gestion stable et d’une rentabilité soutenue pour les actionnaires.