Stock Analysis on Net

Marathon Oil Corp. (NYSE:MRO)

22,49 $US

Cette entreprise a été transférée aux archives ! Les données financières n’ont pas été mises à jour depuis le 4 août 2022.

Sélection de données financières
depuis 2005

Microsoft Excel

Espace pour les utilisateurs payants

Les données sont cachées derrière : .

  • Commandez un accès complet à l’ensemble du site Web à partir de 10,42 $US par mois ou

  • Commandez 1 mois d’accès à Marathon Oil Corp. pour 22,49 $US.

Il s’agit d’un paiement unique. Il n’y a pas de renouvellement automatique.


Nous acceptons :

Visa Mastercard American Express Maestro Discover JCB PayPal Google Pay
Visa Secure Mastercard Identity Check American Express SafeKey

État des résultats

Marathon Oil Corp., certains éléments du compte de résultat, tendances à long terme

en millions de dollars américains

Microsoft Excel

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-K (Date du rapport : 2009-12-31), 10-K (Date du rapport : 2008-12-31), 10-K (Date du rapport : 2007-12-31), 10-K (Date du rapport : 2006-12-31), 10-K (Date du rapport : 2005-12-31).


Analyse des tendances observées sur les revenus et les résultats opérationnels et nets sur la période 2005–2021, exprimés en millions de dollars américains.

Observations sur les données
Aucune donnée manquante n’est présente dans les séries; les périodes allant de 2005 à 2021 sont couvertes pour les trois indicateurs. L’unité est uniforme tout au long des séries: millions de dollars américains.
Tendances générales
Les revenus présentent une volatilité marquée, avec un pic en 2008 à 77 193 et une chute importante en 2011 à 14 663, suivie d’un rebond temporaire en 2010 puis d’un niveau plus bas jusqu’en 2020 et d’une reprise en 2021 à 5 601. Les résultats opérationnels et le bénéfice net suivent, dans l’ensemble, une dynamique similaire mais avec des amplitudes plus importantes après 2010: un niveau élevé jusqu’en 2010, puis une détérioration successive et des périodes de pertes nettes à partir de 2015 (résultat opérationnel négatif en 2015 et 2016; bénéfice net négatif de 2015 à 2017), avant un retour à des valeurs positives à partir de 2018 et une légère amélioration en 2021. Cette forte volatilité reflète des cycles marqués et des variations structurelles sur la période.
Évolution des revenus (en millions USD)
2005: 63311; 2006: 64896; 2007: 64552; 2008: 77193; 2009: 53470; 2010: 72321; 2011: 14663; 2012: 15688; 2013: 14501; 2014: 10846; 2015: 5522; 2016: 4031; 2017: 4373; 2018: 5902; 2019: 5063; 2020: 3097; 2021: 5601. La transition entre 2010 et 2011 représente une bascule majeure, passant d’un niveau élevé à une régression rapide; ensuite la série demeure à des niveaux bien plus faibles jusqu’à 2020, avant une reprise partielle en 2021.
Évolution du résultat opérationnel (Bénéfice (perte d’exploitation))
2005: 5302; 2006: 8967; 2007: 6640; 2008: 7023; 2009: 3590; 2010: 5317; 2011: 4813; 2012: 6332; 2013: 5204; 2014: 1599; 2015: -2691; 2016: -900; 2017: -133; 2018: 1667; 2019: 636; 2020: -1180; 2021: 1308. Après un pic en 2006–2008 et 2010, la tendance évolue vers une détérioration à partir de 2014 avec des pertes opérationnelles importantes entre 2015 et 2017, puis un rebond en 2018 et 2021.
Évolution du bénéfice net
2005: 3032; 2006: 5234; 2007: 3956; 2008: 3528; 2009: 1463; 2010: 2568; 2011: 2946; 2012: 1582; 2013: 1753; 2014: 3046; 2015: -2204; 2016: -2140; 2017: -5723; 2018: 1096; 2019: 480; 2020: -1451; 2021: 946. Le bénéfice net suit globalement la dynamique du résultat opérationnel mais présente des creux plus marqués à partir de 2015 et un rebond notable en 2018 et 2021 après des années de pertes lourdes.

Conclusion: sur la période, les séries montrent une volatilité marquée avec un pic historique autour de 2008, une chute notable à partir de 2011, puis une longue phase de niveaux réduits jusqu’en 2020 et une reprise en 2021. Le bénéfice net et le résultat opérationnel présentent des périodes de pertes importantes entre 2015 et 2017, avant une récupération partielle par la suite, tandis que les revenus restent globalement plus résilients mais également soumis à des fluctuations importantes.


Bilan : actif

Marathon Oil Corp., éléments sélectionnés à partir d’actifs, tendances à long terme

en millions de dollars américains

Microsoft Excel

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-K (Date du rapport : 2009-12-31), 10-K (Date du rapport : 2008-12-31), 10-K (Date du rapport : 2007-12-31), 10-K (Date du rapport : 2006-12-31), 10-K (Date du rapport : 2005-12-31).


Actif circulant
Les valeurs en millions de dollars américains montrent une volatilité notable sur la période 2005–2021, avec deux pics marqués et une tendance générale à la baisse après 2011. De 2005 à 2007, l’actif circulant progresse de 9 383 à 10 587; en 2008 il recule à 8 403; puis se redresse en 2009 à 10 637 et atteint un sommet en 2010 à 13 829. À partir de 2011, le poste décline fortement, passant à 3 224, et conserve des niveaux plus faibles, oscillant autour de 2 500–4 000 jusqu’en 2014 (4 593), puis repart à la baisse: 2 590 (2015), 3 665 (2016), 2 566 (2017), 2 921 (2018), 2 135 (2019), 1 612 (2020) et 1 821 (2021). En comparaison avec l’actif total, l’actif circulant représente une part décroissante: environ 33% en 2005 (9 383 sur 28 498) et environ 11% en 2021 (1 821 sur 16 994).
Total de l’actif
Total de l’actif: la dynamique est marquée par une forte croissance jusqu’en 2010, puis une volatilité et une décroissance progressive. De 2005 à 2010, le total des actifs passe de 28 498 à 50 014, soit une hausse d’environ 75%. En 2011, il chute à 31 371 et se stabilise ensuite autour de 35 000–36 000 jusqu’en 2014. À partir de 2015, il entame une tendance déclinante soutenue: 32 311 (2015), 31 094 (2016), 22 012 (2017), 21 321 (2018), 20 245 (2019), 17 956 (2020) et 16 994 (2021). Au total, le niveau d’actifs en 2021 est nettement inférieur à celui de 2005, et la baisse depuis le pic de 2010 représente environ 66%.

Bilan : passif et capitaux propres

Marathon Oil Corp., certains éléments du passif et des capitaux propres, tendances à long terme

en millions de dollars américains

Microsoft Excel

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-K (Date du rapport : 2009-12-31), 10-K (Date du rapport : 2008-12-31), 10-K (Date du rapport : 2007-12-31), 10-K (Date du rapport : 2006-12-31), 10-K (Date du rapport : 2005-12-31).


Passif à court terme
La série montre une volatilité marquée autour d’un niveau moyen historiquement élevé en 2010 (11113 millions USD) après des années 2005–2007 fluctuantes entre environ 8 et 11 milliards. Suite à ce pic, le niveau diminue fortement en 2011 à 4394 et continue d’évoluer dans une plage plus restreinte (environ 1,2 à 5,1 milliards) jusqu’en 2021, avec des creux significatifs en 2015 (1729) et une stabilisation relative autour de valeurs proches de 1,5 à 2,5 milliards entre 2016 et 2021. Cette dynamique traduit un repositionnement structurel des passifs à court terme après le pic de 2010, conduisant à une impression générale de décompression du rythme de financement à court terme sur la période.
Total du passif
Le total des passifs présente une phase initiale d’augmentation jusqu’en 2010, atteignant un sommet autour de 26 243 millions USD. À partir de 2011, on observe une chute importante jusqu’à environ 14 212 millions, suivie d’une période de repli relatif et de fluctuations jusqu’en 2014 (dans une fourchette proche de 14 991 à 17 023 millions). À partir de 2015, la tendance est fortement baissière, le total passant de 13 758 à 6 308 millions USD en 2021, soit une réduction de près de 76 % par rapport au pic de 2010. Cette décompression soutenue reflète une réduction notable de l’endettement et des engagements globaux au fil du temps, malgré des fluctuations intermédiaires.
Papier commercial et dette à long terme, y compris la partie courante
Cette composante varie sensiblement au cours de la période, passant de 4 013 millions USD en 2005 à 3 532 en 2006, puis à un pic autour de 7 215–7 185 en 2007–2008 et 8 532 en 2009. En 2010, elle se replit à 7 896, puis chute en 2011 à 4 815. Une reprise est observée en 2012–2016 avec des niveaux autour de 6 896 à 7 277, puis une stabilisation autour de 5 400–7 500 jusqu’en 2020. En 2021, cette valeur recule à 4 014. Dans l’ensemble, cette catégorie illustre des cycles d’endettement plus prononcés lors des années postérieures à 2007, suivis d’un rééquilibrage et d’une diminution relative après 2016, avec une nouvelle contraction en 2021.
Capitaux propres
Les capitaux propres affichent une croissance soutenue jusqu’en 2010, atteignant un maximum d’environ 23 771 millions USD. À partir de 2011, une forte diminution est observée, avec une valeur autour de 17 152 puis une reprise lente jusqu’en 2014 (environ 21 020). Ensuite, une nouvelle phase de baisse se manifeste en 2015–2016 (à environ 17 541) et culmine en 2017 à 11 708, suivie d’un rebond modeste en 2018–2019 (environ 12 100 à 12 150). La période 2020–2021 montre une légère progression par rapport à 2017–2016 mais demeure nettement inférieure au niveau de 2010 et antérieur. Dans son ensemble, les capitaux propres présentent une fenêtre de croissance importante avant 2011 puis une réduction marquée et partiellement compensée par des hausses limitées les années suivantes.

Tableau des flux de trésorerie

Marathon Oil Corp., certains éléments de l’état des flux de trésorerie, tendances à long terme

en millions de dollars américains

Microsoft Excel

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-K (Date du rapport : 2009-12-31), 10-K (Date du rapport : 2008-12-31), 10-K (Date du rapport : 2007-12-31), 10-K (Date du rapport : 2006-12-31), 10-K (Date du rapport : 2005-12-31).


Flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation
Entre 2005 et 2008, le flux opérationnel croît de 4 738 M$ à 6 782 M$, atteignant son sommet en 2008. Il recule ensuite pendant la période de la crise et les années qui suivent: 5 210 M$ en 2009, 5 873 M$ en 2010, puis 5 434 M$ en 2011 et 4 017 M$ en 2012. Une dynamique ascendante s’amorce ensuite avec 5 091 M$ en 2013 et 4 736 M$ en 2014, avant une chute marquée à 1 565 M$ en 2015 et 1 073 M$ en 2016. Le rebond se produit ensuite avec 1 988 M$ en 2017 et 3 234 M$ en 2018, suivi d’un repli à 2 749 M$ en 2019 et 1 473 M$ en 2020, puis une reprise à 3 239 M$ en 2021.
Flux nets liés aux activités d’investissement
Les flux nets d’investissement restent négatifs sur l’ensemble de la période, avec des pics de dépense en 2007 (-8 102 M$) et 2011 (-7 667 M$). D’autres années présentent des niveaux importants mais moindres en intensité (-3 127 M$ en 2005, -5 439 M$ en 2012, -2 718 M$ en 2019). À partir de 2013, la magnitude des sorties d’investissement se réduit, affichant -4 521 M$ en 2013, -1 746 M$ en 2014 et des valeurs plus modestes dans la seconde moitié de la période, par exemple -874 M$ en 2016, -1 470 M$ en 2018, -1 303 M$ en 2020 et -1 010 M$ en 2021.
Flux nets provenant des activités de financement (utilisés dans)
Les flux de financement présentent une forte variabilité. Des années en apport net figurent: 184 M$ en 2007, 1 600 M$ en 2012 et 462 M$ en 2015, 1 074 M$ en 2016. Des années d’utilisation nette marquent la période: -2 295 M$ en 2011, -1 162 M$ en 2013, -1 593 M$ en 2014, -2 003 M$ en 2017 et -2 391 M$ en 2021. En 2009 et 2005, des flux positifs modérés apparaissent (724 M$ et 184 M$ respectivement), mais la tendance générale est une prédominance des sorties nettes, notamment lors des années 2011, 2017 et 2021.
Évolution du flux de trésorerie disponible (trésorerie libre)
Le flux de trésorerie disponible résultant de l’écart entre flux opérationnels et investissements montre une grande volatilité. Il est positif en 2005 (1 611 M$), 2006 (2 463 M$), puis bascule négatif en 2007 (-1 581 M$). Il rebondit en 2008 à 1 347 M$, devient négatif en 2009 (-28 M$), puis atteint un pic en 2010 à 3 252 M$. Les années 2011 et 2012 affichent des soldes négatifs importants (-2 233 M$ et -1 422 M$). Un retour relatif à des niveaux positifs survient en 2013 (570 M$) et 2014 (2 990 M$), puis la dynamique s’assèche avec -1 637 M$ en 2015 et -69 M$ en 2019. Les années 2016, 2020 et 2021 présentent des valeurs modestes positives ou positives marquées (199 M$, 170 M$, et 2 229 M$ respectivement).

Données par action

Marathon Oil Corp., données sélectionnées par partage, tendances à long terme

US$

Microsoft Excel

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-K (Date du rapport : 2010-12-31), 10-K (Date du rapport : 2009-12-31), 10-K (Date du rapport : 2008-12-31), 10-K (Date du rapport : 2007-12-31), 10-K (Date du rapport : 2006-12-31), 10-K (Date du rapport : 2005-12-31).

1, 2, 3 Données ajustées pour tenir compte des fractionnements et des dividendes en actions.


Bénéfice de base par action
Les valeurs du bénéfice de base par action affichent une volatilité marquée sur l’ensemble de la période 2005-2021. Entre 2005 et 2006, le niveau augmente fortement, passant de 4,26 USD à 7,31 USD, puis se replie en 2007 à 5,73 USD et décline davantage jusqu’en 2009 (2,06 USD). Une reprise se produit ensuite en 2010 (3,62 USD) et 2011 (4,15 USD), avant une nouvelle baisse en 2012 (2,24 USD) et 2013 (2,49 USD. En 2014, le bénéfice atteint un niveau relativement élevé pour la période (4,48 USD). À partir de 2015, une chute nette s’installe avec -3,26 USD, suivie de -2,61 USD en 2016 et -6,73 USD en 2017. Le passage en territoire positif intervient à nouveau en 2018 (1,30 USD), puis 2019 (0,59 USD), avant un repli en 2020 (-1,83 USD) et une reprise légère en 2021 (1,20 USD). Globalement, les années 2005-2014 présentent des niveaux supérieurs à 2 USD, tandis que 2015-2017 marquent une phase de pertes importantes et que les années ultérieures restent nettement moins profitables que le pic observé autour de 2006 et 2014. Les séries de bénéfice de base et de bénéfice dilué suivent des trajectoires très voisines, avec des écarts marginaux d’une année à l’autre; en pratique, le bénéfice dilué est légèrement inférieur au bénéfice de base dans la plupart des années, mais les différences restent minimes.
Bénéfice dilué par action
La trajectoire du bénéfice dilué par action suit globalement celle du bénéfice de base, avec des écarts faibles à travers les périodes. Par exemple, 2006 affiche 7,25 USD contre 7,31 USD pour le base, 2010 montre 3,61 USD contre 3,62 USD, et 2014 présente 4,46 USD contre 4,48 USD. Dans l’ensemble, les deux séries évoluent quasi en parallèle, les pertes des années 2015 à 2017 apparaissant également dans la mesure diluée (-3,26 USD en 2015 et -6,73 USD en 2017), et les années de reprise (2018 à 2019) affichant des valeurs positives modestes (1,30 USD et 0,59 USD respectivement). Les écarts entre les deux mesures demeurent faibles tout au long de la période, ce qui suggère une faible incidence des ajustements dilutifs sur la dynamique globale des résultats par action.
Dividende par action
Le dividende par action évolue en trois phases distinctes. Il passe de 0,60 USD en 2005 à 0,99 USD en 2010, soit une progression régulière sur cette période. À partir de 2011, il décline à 0,68 USD, puis se stabilise autour de 0,68-0,72 USD en 2012-2013, avec une légère hausse à 0,80 USD en 2014. En 2015, le dividende retombe à 0,68 USD et connaît une forte compression à 0,20 USD de 2016 à 2019 (0,20 USD en 2016, 2017, 2018 et 2019). En 2020, il se rétracte encore à 0,08 USD et rebondit modestement à 0,18 USD en 2021. Dans l’ensemble, la tendance des dividendes montre une hausse initiale jusqu’en 2010, suivie d’une réduction soutenue à partir de 2011 et d’un niveau de paiement très bas sur la période 2016-2020, avec une légère amélioration en 2021.