Structure du bilan : passif et capitaux propres
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
Raytheon Co. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État du résultat global
- Bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Analyse des zones géographiques
- Valeur d’entreprise (EV)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de liquidité actuel depuis 2005
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2005
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31).
- Tendances du passif à court terme
- La part du passif à court terme dans le total des passifs a connu une augmentation progressive, passant d'environ 20.92 % en 2015 à environ 28.33 % en 2019. Cette hausse indique une augmentation relative des obligations à échéance courte au sein de la structure du passif, pouvant refléter une gestion visant à privilégier le financement à court terme ou une évolution dans la nature des dettes à court terme.
- Évolution du passif à long terme
- La part du passif à long terme a diminué, passant d'environ 42.59 % en 2015 à 36.22 % en 2019. La réduction de cette composante, notamment la baisse significative de la dette à long terme de 18.2 % en 2015 à 9.43 % en 2019, pourrait indiquer un désendettement ou un remboursement anticipé des dettes à long terme, ou une restructuration de la dette à long terme en dettes à court terme.
- Comportement des passifs contractuels
- Les passifs contractuels ont vu leur part augmenter de 7.49 % en 2015 à 9.45 % en 2019, avec une tendance à la hausse dans l’ensemble, témoignant peut-être d’une augmentation des obligations contractuelles ou d’acquisitions d’engagements contractuels dans cette période.
- Variation dans la structure des comptes créditeurs et autres passifs à court terme
- Les comptes créditeurs ont progressé de 4.79 % en 2015 à 5.2 % en 2019, alors que les autres passifs à court terme ont fluctué, atteignant 4.7 % en 2015, puis diminuant à 4.1 % en 2019. La croissance relative des comptes créditeurs pourrait indiquer une augmentation des achats à crédit ou un allongement des délais de paiement fournisseurs.
- Comportement des prestations de retraite accumulées et autres passifs à long terme
- La part de ces passifs a fluctué, culminant à 26.85 % en 2017 avant de diminuer à 24.74 % en 2019. La variation pourrait refléter des modifications dans la comptabilisation ou la gestion des obligations de retraite et autres engagements à long terme.
- Evolution des dettes à long terme
- Les dettes à long terme ont significativement diminé, de 18.2 % en 2015 à 9.43 % en 2019, ce qui suggère une réduction des emprunts à long terme ou une stratégie de désendettement sur cette période.
- Capitaux propres et éléments connexes
- Les capitaux propres totaux ont augmenté en part relative, passant de 34.59 % en 2015 à 36 % en 2018, avant de se stabiliser autour de 35.36 % en 2019. La composante bénéfices non répartis a significativement augmenté, passant de 57.73 % à 62.14 %, illustrant une accumulation de bénéfices non distribués. En revanche, la somme du cumul des autres éléments du résultat global reste négative, autour de -26.79 % en 2019, ce qui indique une accumulation de pertes ou une dépréciation des éléments de l'avoir global.
- Variation dans les participations ne donnant pas le contrôle
- La part des participations ne donnant pas le contrôle dans le total du passif a considérablement diminué, passant de 1.21 % en 2015 à 0.09 % en 2019, signalant une réduction significative de ces participations ou une cession de certains intérêts minoritaires.
- Conclusion générale
- Globalement, la structure du passif de l’entreprise a évolué vers une réduction de la dette à long terme et une augmentation relative des obligations à court terme, ce qui pourrait refléter une stratégie de gestion du profil de financement. La croissance des capitaux propres, notamment via l’accroissement des bénéfices non répartis, indique une amélioration de la situation financière. La baisse des participations non contrôlées et la diminution de la dette à long terme témoignent d’un effort de renforcement de la stabilité financière sur la période analysée.