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- Bilan : actif
- Bilan : passif et capitaux propres
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2012
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2012
- Analyse de l’endettement
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D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31).
- Tendances des revenus et de la répartition des ventes
- Les données indiquent que la majorité des revenus provient principalement des ventes d’huile, représentant entre environ 76,67% et 94,7% de la part de marché dans différentes périodes, avec une tendance à la baisse progressive sur la période couverte. La part des ventes de gaz naturel présente une certaine volatilité, fluctuant de 4,27% à 12,25%, avec des pics lors des derniers trimestres en 2021 et 2022. Les ventes de liquides de gaz naturel affichent une croissance relative, passant d'environ 6,67% à plus de 12% en fin de période, ce qui peut indiquer une diversification ou une intensification des ventes dans ce segment. Les autres produits d’exploitation restent minoritaires, avec des pourcentages fluctuants mais relativement faibles, contribuant dans l'ensemble à une stabilité marginale des origines du chiffre d’affaires.
- Analyse des marges opérationnelles et des charges
- Le pourcentage du chiffre d’affaires consacré aux charges d’exploitation des contrats avec les clients reste constamment élevé, oscillant autour de 51% à 103%, avec une tendance à l’augmentation notable durant la période. La part des coûts, notamment liée à l’amortissement, à l’épuisement, ainsi qu’à la dépréciation, augmente également, atteignant des pics extrêmes en 2020, notamment à -83,5%, ce qui témoigne de dépréciations massives ou d’érosions d’actifs dans cette période. Par ailleurs, les charges d’exploitation de location et les taxes apparaissent relativement stables, bien qu’avec une légère tendance à la stabilité ou à la baisse. La croissance significative des amortissements de -46,32% à -83,5% en 2020 indique une importante dépréciation des actifs, notamment de propriétés pétrolières et gazières. Les frais généraux et administratifs restent modérément stables, fluctuant autour de 1,4% à 4%, sans tendance claire.
- Évolution des résultats opérationnels et nets
- Le bénéfice d’exploitation est globalement élevé, dépassant souvent 50% du chiffre d’affaires, avec une croissance forte remarquable en 2021 et 2022, atteignant près de 70% en fin de période. Cependant, cette tendance positive est fortement perturbée en 2020, où un déficit sévère est enregistré (-35,26%), principalement dû à la fois à des amortissements massifs et à une dépréciation extrême des actifs, affectant significativement la rentabilité. La principale dégradation intervient en 2020, où les résultats d’exploitation se détériorent radicalement, avant de rebondir dans la période suivante, résultant d’une réduction des charges exceptionnelles ou dépréciatives et d’un regain de performance. La rentabilité nette, quant à elle, suit une tendance similaire : en 2020, un résultat négatif extrêmement marqué, ce qui reflète l’impact des charges exceptionnelles et dépréciatives associées à la dépréciation des propriétés. La reprise en 2021 et 2022 est confirmée par la remontée du bénéfice net, dépassant souvent 50% du chiffre d’affaires, excepté la période 2020 où la perte nette est significative.
- Impacts des éléments exceptionnels et financiers
- Les gains et pertes liés aux instruments dérivés montrent une grande volatilité, avec des gains importants en 2017, 2019 et 2021, mais également des pertes accentuées en 2018 et 2020. Les autres produits et charges exceptionnels, notamment la perte à l’extinction de la dette et les produits de placement, contribuent de manière significative à la variabilité des résultats, particulièrement en 2020 où une dépréciation importante de -616,26% du chiffre d’affaires est observée, soulignant des dévaluations massives ou des pertes exceptionnelles. La contribution des autres produits non liés à l’activité principale est volatile, favorisant à certains moments des gains substantiels, tandis qu’à d’autres, elle accentue les pertes globales. La forte variation de ces éléments explique la volatilité notable des bénéfices nets dans la période.
- Situation de la fiscalité et résultat net
- Les provisions pour impôts ou bénéfices d’impôt montrent une signification très variable. En période de pertes importantes (notamment en 2020), une baisse ou un excédent d’impôts semble avoir été enregistré, alors que lors des périodes de profits, un impact positif est visible. La perte nette attribuable aux participations hors contrôle reste généralement faible ou négative, mais quelques années, notamment en 2020, elles contribuent à la dégradation du résultat global. La tendance générale, dans l’ensemble de la période, indique que la société a connu des cycles de profits et pertes importants, avec une forte instabilité marquée par des dépréciations massives en 2020, suivie d’une amélioration dans la période suivante.
- Résumé global
- Les données révèlent une entreprise fortement exposée à la variabilité de l’activité pétrolière et gazière, avec une dépendance majoritaire aux ventes d’huile. La période est caractérisée par une forte instabilité financière, notamment en 2020, avec une dépréciation extrême des actifs et des résultats d’exploitation dégradés. La rentabilité a connu des fluctuations importantes, passant de profits substantiels à des pertes sévères, avant de rebondir dans les dernières périodes avec une croissance soutenue. La structure des charges montre une augmentation notable des amortissements et dépréciations lors des épisodes de crise, tandis que la capacité macroéconomique de l’entreprise à générer des profits s’est améliorée dans la période récente, reflet de la reprise des activités ou d’une gestion plus efficace. Enfin, la volatilité des gains et pertes exceptionnels souligne le profil risqué de l’activité et la sensibilité aux fluctuations du marché des matières premières.