Structure du bilan : passif et capitaux propres
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
Diamondback Energy Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- Bilan : actif
- Bilan : passif et capitaux propres
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2012
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2012
- Analyse de l’endettement
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31).
- Évolution des comptes créditeurs
- La part des comptes créditeurs en pourcentage du total du passif et des capitaux propres a considérablement diminué, passant de 1,22 % en 2017 à 0,16 % en 2021. Cette tendance indique une réduction de la dépendance aux fournisseurs ou une gestion plus aggressive des dettes à court terme.
- Évolution des dépenses en immobilisations à payer
- La proportion de dépenses en immobilisations à payer a connu une baisse notable, passant de 2,85 % en 2017 à 1,29 % en 2021, ce qui pourrait refléter une moindre intensité des investissements différés ou une modification dans la stratégie d'investissement.
- Changements concernant la dette à long terme
- Les échéances actuelles de la dette à long terme ont disparu en 2019 et sont apparues à 1,08 % puis 0,2 % en 2020 et 2021. La dette à long terme, hors échéances courantes, a connu une augmentation significative, atteignant près de 29 % en 2021, témoignant d’une hausse de l’endettement à long terme de l'entreprise.
- Responsabilités financières dérivées et instruments dérivés
- Les passifs liés aux dérivés ont été présents à différentes périodes avec une volatilité notable. La responsabilité pour instruments dérivés est restée relativement faible, mais une présence intermittente indique l’utilisation de stratégies de couverture ou de gestion du risque financier.
- Charges liées aux locations et impôts
- Les charges d’exploitation de location ont connu une augmentation, culminant à 0,65 % en 2020, avant de redescendre à 0,38 % en 2021. Les impôts ad valorem exigibles ont augmenté jusqu’en 2019, puis ont maintenu un niveau stable autour de 0,31-0,32 % en 2020-2021, indiquant une stabilité relative dans la charge fiscale à l’égard du total du passif.
- Divers autres passifs
- Les autres charges à payer ont enregistré une croissance constante, en passant de 1,19 % en 2017 à 1,9 % en 2021, témoignant d’une accumulation progressive de passifs divers. Les revenus et redevances payables ont également augmenté de manière significative, atteignant 1,97 % en 2021, traduit d’une hausse potentielle des obligations liées à la production ou aux droits de redevance.
- Risque lié à la dette
- La dette à long terme hors échéances courantes a crû de manière importante, passant de 19,01 % en 2017 à 29,01 % en 2021. La présence d’obligations déployées dans cette période indique une stratégie d’endettement accrue à moyen ou long terme pour financer les investissements ou autres opérations.
- Impôts différés et autres passifs à long terme
- Les impôts différés ont augmenté, passant de 1,39 % en 2017 à 8,26 % en 2018, avant de diminuer et de se stabiliser entre 4,44 % et 5,84 % durant les années suivantes. Les autres passifs à long terme ont montré une légère croissance, reflétant peut-être une diversification ou un accroissement des obligations à long terme.
- Structuration du capital et rentabilité
- Le total des capitaux propres a suivi une tendance décroissante, passant de 67,62 % en 2017 à 52,79 % en 2021, indiquant une augmentation de la part de capitaux externes ou d’endettement. Le capital versé supplémentaire a fluctué, culminant à 71,83 % en 2020, puis diminuant en 2021. Les bénéfices non répartis ont connu une évolution très variable, passant d’un déficit significatif en 2020 à une reprise partielle en 2021, bien qu’avec une valeur négative.
- Conclusion générale
- La structure du passif a évolué vers une augmentation importante de l’endettement à long terme et une réduction relative des capitaux propres, indiquant une stratégie financière davantage axée sur l’emprunt. La baisse des comptes créditeurs et des dépenses différées pourrait signaler une gestion plus rigoureuse des obligations à court terme. La volatilité dans certains passifs et la hausse globale de l’endettement nécessitent une attention particulière quant à la capacité de l'entreprise à maintenir une stabilité financière à long terme.