Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Bilan : actif
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse des ratios de solvabilité
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Analyse des zones géographiques
- Valeur d’entreprise (EV)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2005
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31).
- Comptes créditeurs
- La proportion des comptes créditeurs en pourcentage du passif total et des capitaux propres a connu une baisse globale, passant de 3,16 % en 2020 à 2,83 % en 2024. Après une augmentation en 2021, cette tendance à la diminution indique une gestion plus prudente ou une réduction des obligations à court terme liées aux fournisseurs.
- Rémunération accumulée et avantages connexes
- Cette composante a augmenté de 3,79 % en 2020 à 4,29 % en 2022, avant de chuter à 1,77 % en 2024. La fluctuation suggère une réduction progressive des coûts liés à la rémunération différée ou avantages acquis, indiquant une possible amélioration dans la gestion des passifs liés aux rémunérations différées.
- Dividendes et équivalents de dividendes
- La part relative de cette ligne est relativement stable, oscillant autour de 2 % à 2,37 %, avec une baisse notable en 2024 à 1,68 %. Cela peut refléter une politique de distribution de dividendes plus modérée ou une réduction des dividendes versés en proportion du passif.
- Rotation des stocks et retours de vente
- La proportion liée à la rotation des stocks a augmenté de 0,5 % en 2020 à 0,77 % en 2023, puis a diminué à 0,58 % en 2024. L'évolution suggère une gestion plus efficace ou plus lente des stocks en 2023, suivie d’un léger ralentissement en 2024.
- Autre "% du passif total et des capitaux propres"
- Cette ligne est restée relativement stable, autour de 2,53 % à 2,75 %, puis a diminué à 1,29 % en 2024. La baisse indique une réduction des autres éléments de passif non spécifiés en proportion de la structure financière globale.
- Autres charges à payer
- Une tendance à la stabilité, avec une légère diminution de 5,21 % en 2020 à 3,54 % en 2024, reflète une gestion peut-être plus contrôlée de ces charges à payer sur la période.
- Passif à court terme
- Connaissant une hausse jusqu'à 14,31 % en 2021, puis une diminution progressive jusqu'à 8,14 % en 2024, cette évolution indique une réduction de la part des obligations à court terme dans la structure passive, ce qui pourrait refléter une gestion proactive ou un renouvellement des échéances à long terme.
- Passifs d’impôt sur le revenu
- Cette ligne a baissé de 3,07 % en 2020 à 1,8 % en 2024, signalant une réduction relative du passif fiscal dans la structure financière, peut-être liée à une diminution des obligations fiscales ou à un report de celles-ci.
- Passif au titre des régimes de rémunération différée
- La proportion a diminué de 4 % en 2020 à 3,15 % en 2022, pour fluctuer autour de 3,32 % puis réduire à 2,59 % en 2024, illustrant une gestion ou une réduction des obligations à rémunération différée.
- Équivalents de dividendes
- Ce poste a fortement diminué, passant de 0,65 % en 2020 à 0,09 % en 2023, puis remontant légèrement à 0,14 % en 2024, ce qui témoigne d’une réduction de la part des dividendes différés ou des obligations de dividendes en suspension.
- Passifs à long terme liés aux contrats de location-exploitation
- Après une augmentation de 0,14 % en 2020 à 0,21 % en 2021, puis une diminution à 0,08 % en 2022, on observe une reprise à 0,36 % en 2024, suggérant une fluctuation dans la contractualisation et la gestion des contrats de location à long terme.
- Autres passifs à long terme
- La proportion a diminué de 4,79 % en 2020 à 3,08 % en 2024, indiquant une réduction progressive des passifs longs autres que ceux spécifiés, traduisant une simplification ou une réduction du passif à long terme global.
- Passifs à long terme
- Une tendance de baisse constante, passant de 7,86 % en 2020 à 4,89 % en 2024, témoigne d’un déplacement vers une structure financière avec moins d’obligations à long terme en proportion du passif total, possiblement par des paiements ou refinancements anticipés.
- Total du passif
- Sa part relative a augmenté en 2021 à 21,56 % puis a diminué de manière significative pour atteindre 13,03 % en 2024. Cette évolution indique une réduction globale de la part du passif dans la structure financière, ce qui pourrait refléter une optimisation du passif ou un renforcement des fonds propres.
- Actions ordinaires et capital versé additionnel
- Après une baisse notable entre 2020 (54,42 %) et 2022 (47,37 %), cette proportion a continué de diminuer jusqu’à 19,54 % en 2024. Cette tendance indique une réduction relative du financement par actions ou une augmentation des capitaux propres au détriment du capital social.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste a connu une croissance importante, passant de 24,72 % en 2020 à 68,77 % en 2024. La progression indique une rétention accrue des bénéfices, renforçant la structure des capitaux propres et signalant une politique de conservation des profits.
- Cumul des autres éléments du résultat étendu
- La contribution de cette rubrique est stable et négative, passant de 0,84 % en 2020 à -1,34 % en 2024, laissant entendre une influence marginale et négative de ces éléments en résultats étendus sur la structure financière globale.
- Capitaux propres
- Ils ont accru leur poids relatif, passant de 79,98 % en 2020 à 86,97 % en 2024, illustrant une solidification de la structure financière par une augmentation des fonds propres, notamment par la rétention des bénéfices accumulés.
- Total du passif et des capitaux propres
- Il reste constant à 100 % pour chaque année, ce qui confirme la cohérence de la répartition relative entre passif et capitaux propres dans la structure financière.