Tableau des flux de trésorerie
Le tableau des flux de trésorerie fournit des informations sur les entrées de trésorerie et les paiements en espèces d’une entreprise au cours d’une période comptable, montrant comment ces flux de trésorerie relient le solde de trésorerie de fin de caisse au solde de début figurant au bilan de l’entreprise.
Le tableau des flux de trésorerie se compose de trois parties : les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, les flux de trésorerie provenant des activités d’investissement et les flux de trésorerie provenant des activités de financement.
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- Bénéfice net (perte nette)
- Une progression importante est observée dans le bénéfice net, passant d'une perte de 81,9 millions de dollars en 2019 à un bénéfice de 2,6 milliards de dollars en 2024. La perte significative en 2021 est suivie d'une reprise en 2022, puis d'une croissance accélérée au cours des deux dernières années, indiquant une amélioration notable de la rentabilité.
- Rémunération à base d’actions pour les attributions à base d’actions
- Les coûts liés à la rémunération en actions ont augmenté de manière progressive, passant d'environ 567,7 millions de dollars en 2019 à environ 1,075 milliard de dollars en 2024. Cela reflète une croissance constante des charges liées aux incitations en actions sur la période.
- Impôts différés
- Les impôts différés sont absents en 2019 et 2020, apparaissent en 2021 avec une valeur négative de 3,1 millions de dollars, puis deviennent positifs en 2022 avec 12,5 millions de dollars. En 2024, la valeur est fortement négative à -2,033 milliards de dollars, suggérant des décalages fiscaux importants et peut-être des ajustements liés aux pertes reportées ou à des ajustements fiscaux exceptionnels.
- Dotations aux amortissements
- Ce poste a connu une augmentation régulière, passant de 153,8 millions de dollars en 2019 à environ 283,3 millions de dollars en 2024, indiquant une accumulation continue d’actifs amortissables ou une intensification des dépréciations d’actifs.
- (Gain) perte liée à la sortie de l’installation
- Un gain de 7 millions de dollars en 2019 est enregistré, avec une perte de 3,1 millions en 2020. La donnée n’est pas présente par la suite, suggérant une absence d’opérations de sortie d’actifs significatives ou une non-application de cette rubrique dans les années suivantes.
- Amortissement des coûts contractuels reportés
- Une augmentation constante est notable, de 223,8 millions en 2019 à 446 millions en 2024, ce qui reflète une intensification de la reconnaissance d’amortissements liés à des contrats reportés, peut-être en lien avec des acquisitions ou des contrats à long terme.
- Amortissement des frais d’émission de dette
- Les frais d’émission de dette ont connu une forte hausse en 2021, atteignant 142,9 millions, avant de diminuer à des niveaux faibles dans les années suivantes, illustrant la capitalisation d’émissions de dette ou de nouvelles levées de fonds.
- Réduction des actifs au titre du droit d’utilisation des contrats de location-exploitation
- Une tendance à la constance apparaît, avec des valeurs allant de 44,5 millions à 55,3 millions de dollars, témoignant d’un renouvellement ou d’une réduction progressive des actifs liés à des contrats de location.
- Amortissement des primes de placement, déduction faite de l’accroissement des escomptes à l’achat
- Une variabilité importante est notée, avec une perte en 2019 puis une augmentation en 2021, suivie d’une chute à nouveau vers des pertes en 2023-2024, indiquant des fluctuations dans le traitement comptable des primes de placement.
- Perte sur conversions de billets de premier rang convertibles
- Une perte de 2,6 millions en 2019 apparaît, sans données par la suite, ce qui pourrait indiquer une opération ponctuelle ou une absence de nouvelles pertes sur ces conversions dans la suite de la période.
- Remboursements d’obligations de premier rang convertibles attribuables à l’escompte de la dette
- Une forte réduction est visible en 2019, avec une valeur négative de 97,6 millions, mais pas d’autres données par la suite, reflétant un remboursement important à cette date.
- Débiteurs (montant net)
- Les débiteurs ont connu une dégradation progressive, passant de 108,7 millions à 320,3 millions de dollars entre 2019 et 2023, avant une forte réduction en 2024, indiquant une gestion réduite ou un recouvrement des créances.
- Créances de financement, montant net
- Les créances de financement apparaissent à partir de 2021 avec une valeur négative importante de -738,7 millions de dollars, poursuivant une tendance négative significative en 2023 et 2024, ce qui peut refléter des financements ou des prêts accordés ou consolidés, ou une dépréciation de ces actifs.
- Coûts contractuels reportés
- Ce poste a augmenté de manière constante de 361,1 millions en 2019 à près de 489,3 millions en 2024, signifiant une progression des coûts contractuels à reporter, liés probablement à de nouveaux contrats ou acquisitions.
- Dépenses payées d’avance et autres actifs
- Ce poste montre une tendance à la baisse en 2020 (-1,6 million), puis une forte augmentation en 2021, atteignant -270,6 millions en 2023, avant de diminuer à nouveau en 2024, illustrant une gestion fluctuante des dépenses anticipées et des autres actifs.
- Comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs ont varié, passant de 32,3 millions en 2019 à une valeur négative de -15 millions en 2024, avec des périodes de croissance puis de diminution, ce qui peut indiquer une gestion de la trésorerie ou des relations fournisseurs en évolution.
- Rémunération accumulée
- Ce poste a connu une croissance constante, passant de 66,8 millions à 84,4 millions en 2023, puis une forte baisse en 2024, ce qui peut indiquer des ajustements ou des échéances de paiement différé.
- Charges à payer et autres passifs
- Une augmentation significative est constatée en 2024, atteignant 384,5 millions de dollars, contre des valeurs négatives ou faibles dans les années précédentes, témoignant d’une augmentation récente de passifs à court terme ou d’obligations à payer.
- Produits reportés
- Une croissance régulière est observée, passant de 590,2 millions en 2019 à plus de 2,3 milliards de dollars en 2023, puis une légère baisse en 2024, ce qui indique une augmentation des revenus différés ou des engagements futurs.
- Variations d’actifs et de passifs d’exploitation, nettes des effets des acquisitions
- Une croissance constante est visible, passant de 227,5 millions en 2019 à plus de 910,3 millions en 2024, illustrant une expansion importante des activités d’exploitation contrôlées par l’entreprise.
- Ajustements visant à rapprocher le bénéfice net et les flux de trésorerie d’exploitation
- Une augmentation significative en 2019-2020 indique une extraction d’ajustements pour aligner la rentabilité comptable et la liquidité opérationnelle, avec une baisse marquée en 2024, probablement liée à des changements dans la composition des ajustements ou des opérations.
- Flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation
- Un développement positif marqué avec une croissance continue, atteignant 3,2 milliards de dollars en 2024, témoignant d’une forte génération de liquidités opérationnelles sur la période, malgré des investissements ou financements importants.
- Achats de placements
- Une tendance de diminution est observée, avec des investissements en placements qui ont considérablement baissé, notamment en 2024, signalant une réduction des investissements financiers ou une stratégie de gestion des liquidités différente.»
- Produit de la vente de placements
- Les recettes provenant de la vente de placements ont connu une hausse significative, en particulier en 2021 et 2022, puis sont restées stables en 2023-2024, illustrant une mobilisation de placements pour renforcer la liquidité ou pour d’autres stratégies financières.
- Produit des échéances des placements
- Une tendance générale à la baisse en 2022-2024 indique peut-être un allégement du portefeuille d’investissements ou le recouvrement prévu des placements arrivés à échéance.
- Acquisitions d’entreprises, déduction faite de la trésorerie et de la trésorerie soumise à restrictions
- Une forte activité d’acquisition en 2019-2021, suivie d’une baisse en 2022, puis d'une nouvelle réduction en 2023-2024, montre une période d’expansion stratégique qui s’est modérée dans la seconde moitié de la période considérée.
- Achats d’immobilisations corporelles, d’équipements et d’autres biens
- Les investissements dans les immobilisations sont relativement stables, avec une légère augmentation en 2020, puis une stabilité ou une légère baisse dans le reste de la période, signalant une maintenance ou une légère croissance dans le parc d’actifs physiques.
- Flux de trésorerie nets provenant des activités d’investissement
- Une forte sortie en 2019 (+1,8259 milliards de dollars), suivie de flux positifs ou négatifs modérés, indique une stratégie initiale d’investissement importante, puis une gestion plus prudente ou des désinvestissements ultérieurs.
- Remboursements de billets de premier rang convertibles
- Les remboursements importants en 2020 et 2024 indiquent des efforts de réduction de la dette à ces dates, avec des opérations de remboursement significatives.
- Paiement des frais d’émission de titres de créance
- Ce paiement a été réalisé en 2019, avec d’autres émissions ou remboursements en 2023-2024, reflétant une gestion active de la structure de la dette.
- Produit de l’émission de bons de souscription
- Ce produit apparaît en 2020, indiquant une levée de fonds par émission de titres dérivés, puis aucune activité dans les années suivantes.
- Achat de couvertures de billets
- Une transaction notable en 2020, probablement une opération de couverture hedge, sans suivi clair dans les années suivantes.
- Rachats d’actions ordinaires
- Une tendance de rachat important, notamment en 2019 et 2020, avec une poursuite en 2024, témoignant d’une politique active de réduction de capital ou de soutien au cours de l’action.
- Produit de la vente d’actions par le biais de plans d’intéressement à l’actionnariat des employés
- Une croissance régulière dans la vente d’actions, témoignant d’un programme de redistribution ou de levée de fonds via des plans d’actionnariat salarié.
- Paiements d’impôts liés au règlement net des attributions d’actions
- Une gestion régulière de ces paiements apparaît, avec une légère augmentation en 2022-2024, en lien avec la rémunération en actions.
- Flux de trésorerie nets provenant des activités de financement (utilisés dans)
- Une tendance à la baisse des flux négatifs, principalement en 2019-2020, puis une stabilité ou une meilleure gestion dans les années suivantes, illustrant une réduction des sorties liées au financement.
- Augmentation (diminution) nette de la trésorerie, des équivalents de trésorerie et de la trésorerie soumise à restrictions
- Une baisse en 2019 puis une relance nette en 2020, puis des variations fluctuantes indiquent une gestion active de la liquidité et des flux de trésorerie totaux.
- Trésorerie, équivalents de trésorerie et trésorerie soumise à restrictions, fin de période
- Une réduction en 2020, suivie d’une augmentation en 2022 puis une stabilisation à environ 1,55 milliard de dollars en 2024, témoignant d’une gestion prudente des liquidités sur la période.