Structure du compte de résultat
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- État du résultat global
- Bilan : actif
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Valeur d’entreprise (EV)
- Ratio valeur d’entreprise/EBITDA (EV/EBITDA)
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2005
Nous acceptons :
Regeneron Pharmaceuticals Inc., structure du compte de résultat consolidé (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-31), 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31).
- Tendances des ventes nettes de produits
- Les ventes nettes de produits ont connu une variabilité importante au cours de la période analysée. Elles ont débuté à environ 67,65 % du chiffre d'affaires au premier trimestre 2020, avant de diminuer à un creux de 44,37 % au troisième trimestre 2024. On observe toutefois des fluctuations avec des pics alternés liés à des périodes de croissance ou de déclin, notamment une augmentation notable à 80,53 % au deuxième trimestre 2021, suivie d'une baisse progressive. La tendance générale montre une baisse relative sur la période, ce qui pourrait indiquer une diversification ou une variation de la composition du chiffre d'affaires.
- Tendances des revenus de collaboration
- Les revenus issus de collaboration ont connu une croissance significative au fil des années, passant d'environ 28,9 % du chiffre d'affaires en début de période à plus de 50 % en fin de cycle. La croissance a été particulièrement marquée à partir de 2021, avec des valeurs dépassant les 40 % et atteignant plus de 50 % à la fin. Cette évolution suggère une dépendance accrue à ces revenus, probablement liés à des accords de partenariat ou de licences stratégiques, devenant une composante majeure du chiffre d'affaires global.
- Tendances des autres revenus
- Les autres revenus représentaient une part relativement faible du chiffre d'affaires, fluctuant entre 0,9 % et 10,85 %. Leur part a été plus volatile dans le temps, avec des pics ponctuels notamment vers 2020, mais sans tendance claire à la hausse ou à la baisse de long terme. La contribution de ces revenus reste marginale par rapport aux principales sources, indiquant qu'ils jouent un rôle secondaire dans la constitution du chiffre d'affaires total.
- Évolution des coûts
- Les coûts de marchandises vendues et de la fabrication ont globalement fluctué en tant que pourcentage du chiffre d'affaires, avec des valeurs souvent négatives en raison de la comptabilisation spécifique des marges. Ces coûts ont été plus ou moins stables, oscillant généralement autour de 6-8 % du chiffre d'affaires. Le coût des revenus a suivi une tendance semblable, avec des pourcentages variant entre -16,39 % et -4,81 %, ce qui indique une gestion rigoureuse des coûts dans le contexte de revenus élevés et de marges bénéficiaires importantes.
- Marge brute
- La marge brute, en pourcentage du chiffre d'affaires, a conservé une forte stabilité, oscillant principalement entre 80 % et 89 %. Les valeurs sont généralement élevées, témoignant d'une forte rentabilité sur les produits et services proposés, avec une tendance légèrement à la baisse vers la fin, passant d’environ 88 % en début de période à 85,58 % en fin de période analysée.
- Dépenses de recherche et développement (R&D)
- Les dépenses en R&D ont représenté une part importante du chiffre d'affaires, souvent comprise entre -30 % et -45 %, ce qui est élevé mais cohérent avec le secteur pharmaceutique. La part consacrée à la R&D a connu une certaine volatilité, avec des pics en 2023 et 2024, indiquant probablement des investissements intensifiés dans des projets en cours ou futurs. La tendance générale reflète une politique d’investissement soutenue dans l’innovation, bien que la part relative ait diminué légèrement vers la fin de la période, passant de plus de 40 % à environ 38 %.
- Ventes, coûts et charges opérationnelles
- Les charges de vente, général et administratif ont varié entre -17,25 % et -21,91 %, représentant une partie importante des dépenses opérationnelles. Leur part a tendance à osciller mais sans tendance claire à la hausse ou à la baisse significative. La stabilité relative de ces charges indique une gestion efficace des coûts dans cette catégorie.
- Résultat d’exploitation
- Le résultat d’exploitation a connu une tendance hétérogène : élevé autour de 45 % en 2020, mais en déclin progressif pour atteindre environ 19,54 % au troisième trimestre 2024. Malgré une baisse de certains marges, la rentabilité opérationnelle demeure positive, témoignage de la solidité économique de l’activité, même si la direction doit surveiller une tendance à la contraction de la rentabilité.
- Résultat net
- Le revenu net en pourcentage du chiffre d'affaires a suivi une trajectoire volatile, débutant à 34,16 % en 2020, atteignant un sommet à 47,43 % en 2020 puis en déclin vers 22,96 % au troisième trimestre 2024. La fluctuation importante souligne une variabilité dans la charge fiscale, les autres produits ou charges exceptionnelles. La tendance à la baisse récente pourrait refléter des facteurs spécifiques comme des charges exceptionnelles ou des changements dans la fiscalité.
- Résumé général
- Les données indiquent une entreprise avec une forte rentabilité à court terme, notamment à travers une marge brute élevée, mais dont la rentabilité opérationnelle et nette montre des signes de contraction sur la période analysée. La dépendance croissante aux revenus de collaboration pourrait être stratégiquement significative, tandis que l’investissement soutenu dans la R&D traduit un engagement dans l’innovation. La gestion des coûts semble maîtrisée, même si des fluctuations importantes dans certains postes demandent une attention particulière pour maintenir la stabilité financière à long terme.