Structure du compte de résultat
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-29), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-30), 10-K (Date du rapport : 2024-12-29), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-29), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-01), 10-Q (Date du rapport : 2023-07-02), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-02), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-02), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-03), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-03), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-03), 10-Q (Date du rapport : 2021-07-04), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-04), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-27), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-28), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-29).
- Tendances générales des marges
- La marge brute a globalement varié entre 65,87% et 69,97% sur la période, montrant une stabilité relative avec une légère tendance à l'augmentation jusqu'au troisième trimestre 2021, avant de se stabiliser autour de 66-69%. Cela reflète une gestion efficace des coûts de production par rapport aux ventes. La marge opérationnelle a connu des fluctuations importantes, oscillant de 15,71% à 29,55%, avec une forte baisse au quatrième trimestre 2021, correspondant à une baisse du bénéfice d’exploitation, puis une reprise vers la fin de la période. La marge nette a suivi une tendance similaire, en passant d’un niveau proche de 7,73% à un pic exceptionnel de 121,91% au troisième trimestre 2023, probablement dû à des éléments exceptionnels, avant de se retrouver autour de 23-28%, signe d’une rentabilité robuste en fin de période.
- Évolution des coûts
- Le coût des produits vendus (CPV) demeure relativement stable en pourcentage des ventes, oscillant entre -30,03% et -35,88%. La période montre une légère tendance à la baisse du CPV en pourcentage, ce qui contribue à l’amélioration de la marge brute. Les frais de vente, de marketing et d’administration sont également relativement stables, oscillant généralement entre -23,35% et -28,84%. Cependant, ils connaissent des pics négatifs lors du quatrième trimestre 2021, impactant la rentabilité opérationnelle, mais aussi une tendance à la stabilisation vers la fin de la période. Les dépenses en recherche et développement (R&D) ont augmenté en pourcentage des ventes, passant de 12,47% à plus de 20% vers la fin, indiquant un investissement accru dans l’innovation, malgré une baisse temporaire en 2021. Pendant la même période, des défaillances en R&D apparaissent ponctuellement, mais restent faibles en proportion.
- Résultats opérationnels et bénéficiaires
- Le bénéfice d’exploitation a connu des hauts et des bas, avec une augmentation significative en fin de période, notamment au troisième trimestre 2023, où il dépasse 27%. La capacité de maintien ou d’augmentation de la rentabilité opérationnelle est attestée par ces fluctuations, malgré des baisses temporaires en 2021. Le bénéfice avant impôts a suivi une tendance volatile, mais le bénéfice net a finalement affiché une croissance importante vers la fin de la période, culminant à 50,24% en juin 2025, ce qui suggère la réalisation d’importants gains exceptionnels ou la réduction des charges fiscales. La contribution des revenus d’intérêts à la rentabilité semble également en augmentation, passant de faibles pourcentages (autour de 0,06%) à plus de 1,75% en 2023, renforçant le profil financier de l’entreprise.
- Éléments exceptionnels et autres éléments
- Les autres produits (charges) présentent une grande volatilité, avec des périodes de charges importantes, notamment au deuxième trimestre 2023 (-33,22%) et au deuxième trimestre 2024 (+33,44%), ce qui peut refléter des éléments exceptionnels ou des variations comptables. La restructuration reste sous contrôle globalement, avec des pourcentages en dessous de 1%, sauf lors de certains trimestres où elle atteint -0,74%. La dépréciation ou défaillances en R&D sont faibles et ponctuelles, ne pesant pas significativement sur la rentabilité. Enfin, les impôts ont varié considérablement, avec une tendance à la réduction de la charge fiscale en fin de période, ce qui contribue au bénéfice net élevé observé à certains trimestres.