Structure du compte de résultat
Données trimestrielles
Eli Lilly & Co., structure du compte de résultat consolidé (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-31), 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31).
- Tendances générales de la marge brute
- La marge brute en pourcentage du chiffre d'affaires s'est maintenue globalement élevée, oscillant autour de 76 % à 80 %, avec une légère progression vers la fin de la période, culminant à 84,27 %. Après une baisse significative à 72,4 % au deuxième trimestre 2021, la marge a retrouvé un niveau plus élevé, indiquant une amélioration de la rentabilité brute en fin de période.
- Évolution des coûts des ventes
- Les coûts des ventes en pourcentage du chiffre d'affaires ont présenté une tendance générale à la diminution, passant d'environ -20,74 % au début de 2020 à environ -15,73 % à la fin de 2025. Malgré quelques fluctuations, cette réduction indique une gestion accrue des coûts ou une amélioration de la productivité au fil du temps.
- Recherche et développement
- Les dépenses en recherche et développement ont, en pourcentage du chiffre d'affaires, fluctué autour de 23-26 %, avec des pics à près de 28 %. La tendance générale montre une certaine stabilité avec des périodes de légère augmentation, mais aussi des baisses temporaires, notamment vers la fin de la période, où cette dépense se situe autour de 21-23 %, indiquant une gestion constante des investissements en R&D.
- Marketing, vente et administration
- Les dépenses dans ce domaine ont varié entre 17 % et 27 %, sans tendance claire vers une augmentation ou une réduction significative. La variation indique une gestion flexible selon la période, avec des pics notables vers 27 % en 2020 et des niveaux plus faibles à environ 18-19 % vers 2023-2024.
- Résultat d'exploitation
- Ce indicateur a présenté une forte volatilité, avec un pic à 44,14 % au troisième trimestre 2024. La majorité des périodes ont connu des résultats positifs, certains avec des niveaux très élevés, notamment au quatrième trimestre 2023 et au troisième trimestre 2024, témoignant d’une bonne rentabilité opérationnelle ponctuelle. Cependant, des baisses significatives, notamment au premier trimestre 2024, indiquent une certaine fluctuation de la performance opérationnelle.
- Bénéfice avant impôts
- Ce bénéfice, en pourcentage du chiffre d'affaires, a suivi une tendance similaire au résultat d'exploitation, avec des pics importants à 43,56 % au quatrième trimestre 2024, et des niveaux plus faibles vers 2021-2022, atteignant parfois moins de 20 %. La période montre une forte croissance ponctuelle vers la fin de l’année 2024, suggérant une amélioration notable de la rentabilité avant impôts.
- Impôts
- Les charges fiscales ont globalement représenté entre 3,34 % et 7,17 % du chiffre d'affaires, avec une tendance à augmenter vers la fin de la période, culminant à 7,17 % au dernier trimestre 2025. La volatilité indique une gestion fiscale et une imposition variables en fonction des résultats et des ajustements fiscaux possibles.
- Bénéfice net
- Le bénéfice net a connu une forte volatilité, avec un résultat négatif enregistré au premier trimestre 2024 (-0,6 %) puis une reprise notable atteignant 36,38 % au troisième trimestre 2025. La tendance globale montre une amélioration de la rentabilité nette à partir de niveaux faibles ou négatifs, culminant vers la fin de la période, avec une croissance importante indiquant une performance financière renforcée.