EMC Corp. opère en 5 segments : Stockage d’informations ; Division du contenu d’entreprise ; Sécurité de l’information RSA ; Central; et l’infrastructure virtuelle VMware.
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Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer
31 déc. 2015 | 31 déc. 2014 | 31 déc. 2013 | 31 déc. 2012 | 31 déc. 2011 | |
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Stockage de l’information | |||||
Division du contenu d’entreprise | |||||
Sécurité de l’information RSA | |||||
Central | |||||
Infrastructure virtuelle VMware |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
- Évolution des marges bénéficiaires sectorielles
- Les ratios de marge bénéficiaire sectorielle pour divers segments de l'entreprise ont montré des tendances variables sur la période analysée. Le stockage de l'information a connu une légère baisse de 56,46 % en 2011 à 52,25 % en 2015, signalant une tendance à la diminution de la rentabilité dans ce secteur. La division du contenu d'entreprise a, quant à elle, maintenu une rentabilité relativement stable, avec une légère augmentation passant de 64,3 % en 2011 à 67,95 % en 2015, indiquant une performance stable voire en amélioration marginale.
- Sécurité de l’information RSA
- Ce segment a connu une croissance notable de sa marge bénéficiaire, passant de 56,76 % en 2011 à un pic de 67,94 % en 2012, puis se stabilisant autour de 66-67 % jusqu’en 2015. Cette stabilité relative après la hausse initiale témoigne d'une forte rentabilité persistante dans cette activité.
- Central
- La marge bénéficiaire pour la division Central a présenté une tendance très contrastée, débutant à 58,46 % en 2011, chutant à un point bas de 38,19 % en 2013, pour rebondir à 46,7 % en 2014 avant de redescendre légèrement à 38,95 % en 2015. Cette volatilité indique probablement des défis opérationnels ou des changements structurels impactant la rentabilité de cette division.
- Infrastructure virtuelle VMware
- Ce segment a maintenu une marge bénéficiaire élevée et relativement stable, oscillant entre 86,07 % en 2011 et 87,25 % en 2015. La constance de ces marges souligne une performance robustes et une rentabilité persistante dans cette activité spécialisée.
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer:Stockage de l’information
31 déc. 2015 | 31 déc. 2014 | 31 déc. 2013 | 31 déc. 2012 | 31 déc. 2011 | |
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Sélection de données financières (en millions de dollars américains) | |||||
Marge brute | |||||
Revenus | |||||
Ratio de rentabilité sectorielle à présenter | |||||
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer1 |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
1 2015 calcul
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer = 100 × Marge brute ÷ Revenus
= 100 × ÷ =
- Évolution de la marge brute
- La marge brute en millions de dollars américains a augmenté de 2011 à 2014, passant de 8 291 millions à 9 180 millions, avant de connaître une baisse en 2015, atteignant 8 518 millions. Cette tendance suggère une croissance initiale de la capacité de l'entreprise à générer une marge brute, suivie d'une contraction en 2015.
- Évolution des revenus
- Les revenus ont connu une progression régulière sur la période, passant de 14 684 millions de dollars en 2011 à un pic de 16 542 millions en 2014. Cependant, une légère diminution est observée en 2015, où les revenus tombent à 16 301 millions, indiquant une stabilisation ou une légère contraction du chiffre d'affaires après une croissance constante.
- Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer
- Ce ratio a globalement diminué au fil des années, passant de 56,46 % en 2011 à 52,25 % en 2015. La tendance montre une dégradation progressive de la rentabilité sectorielle déclarée, ce qui pourrait refléter des pressions sur la marge bénéficiaire ou une évolution des coûts et des marges bénéficiaires relatives par rapport au secteur.
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer: Division des contenus d’entreprise
31 déc. 2015 | 31 déc. 2014 | 31 déc. 2013 | 31 déc. 2012 | 31 déc. 2011 | |
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Sélection de données financières (en millions de dollars américains) | |||||
Marge brute | |||||
Revenus | |||||
Ratio de rentabilité sectorielle à présenter | |||||
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer1 |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
1 2015 calcul
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer = 100 × Marge brute ÷ Revenus
= 100 × ÷ =
- Marge brute
- La marge brute de l'entreprise a montré une légère baisse au cours de la période analysée. Elle a débuté à 425 millions de dollars en 2011, puis a augmenté à 432 millions en 2012. Par la suite, elle a diminué à 419 millions en 2013, puis à 417 millions en 2014, et enfin a encore reculé à 407 millions en 2015. Cette tendance indique une diminution progressive de la capacité à générer une marge brute à partir de ses revenus, bien que la variance soit modérée.
- Revenus
- Les revenus ont connu une tendance fluctuante mais globale stable au cours de la période. En 2011, ils s’élevaient à 661 millions de dollars, puis ont diminué à 640 millions en 2012. Ils ont légèrement augmenté à 647 millions en 2013, puis sont restés stables à 640 millions en 2014, avant de reculer à 599 millions en 2015. La baisse la plus notable apparaissant en 2015, cette évolution peut indiquer un déclin de la croissance ou une contraction des ventes de l’entreprise sur la dernière année de la période analysée.
- Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer
- Ce ratio — qui reflète la proportion de bénéfice par rapport aux revenus sectoriels — a montré une augmentation constante, passant de 64,3 % en 2011 à 67,95 % en 2015. L’évolution indique une amélioration de la rentabilité relative, signifiant que, malgré une légère baisse des revenus et de la marge brute, l’entreprise a réussi à améliorer sa rentabilité sectorielle sur cette période, peut-être en optimisant ses coûts ou en améliorant ses marges opérationnelles.
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer: Sécurité de l’information RSA
31 déc. 2015 | 31 déc. 2014 | 31 déc. 2013 | 31 déc. 2012 | 31 déc. 2011 | |
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Sélection de données financières (en millions de dollars américains) | |||||
Marge brute | |||||
Revenus | |||||
Ratio de rentabilité sectorielle à présenter | |||||
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer1 |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
1 2015 calcul
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer = 100 × Marge brute ÷ Revenus
= 100 × ÷ =
- Analyse de la marge brute
- La marge brute, exprimée en millions de dollars américains, montre une tendance globale à la hausse sur la période considérée. Elle est passée de 470 millions en 2011 à 660 millions en 2015, enregistrant une croissance progressive malgré une légère stagnation ou une légère baisse dans certains intervalles. La croissance la plus marquée semble survenue entre 2012 et 2013, avec une augmentation notable de 51 millions. La tendance indique une amélioration de la capacité de l'entreprise à générer de la marge brute à partir de ses ventes, même si la croissance s'est ralentie vers la fin de la période.
- Analyse des revenus
- Les revenus en millions de dollars américains ont connu une progression constante de 828 millions en 2011 à un pic de 1035 millions en 2014, avant de diminuer légèrement à 988 millions en 2015. La croissance soutenue sur cette période reflète une expansion régulière des activités commerciales, bien qu'un ralentissement ou une contraction de l’activité ait été observé en 2015. La baisse de revenus en 2015 peut signaler une rotation ou une saturation du marché, ou des pressions concurrentielles accrues.
- Analyse du ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer
- Ce ratio, exprimé en pourcentage, a montré une forte amélioration entre 2011 et 2012, passant de 56,76 % à 67,94 %. Par la suite, le ratio est resté relativement stable à un niveau élevé autour de 66-67 %, avec une légère augmentation en 2014 à 67,44 % puis une stabilité à 66,8 % en 2015. La stabilité de ce ratio indique que la rentabilité sectorielle déclarée a été maintenue à un niveau élevé, témoignant probablement d'une gestion efficace des coûts et d'une marge bénéficiaire constante relative à la sectorielle, malgré les fluctuations de revenus et de marge brute.
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer:Central
31 déc. 2015 | 31 déc. 2014 | 31 déc. 2013 | 31 déc. 2012 | 31 déc. 2011 | |
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Sélection de données financières (en millions de dollars américains) | |||||
Marge brute | |||||
Revenus | |||||
Ratio de rentabilité sectorielle à présenter | |||||
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer1 |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
1 2015 calcul
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer = 100 × Marge brute ÷ Revenus
= 100 × ÷ =
- Évolution des revenus
- Les revenus de l'entreprise ont connu une croissance significative entre 2011 et 2013, passant de 130 millions de dollars à 309 millions. Cependant, à partir de cette période, une baisse progressive est observée, avec des revenus de 227 millions en 2014 et de 267 millions en 2015. Cette tendance indique une croissance accélérée initiale suivie d'une diminution dans les années ultérieures.
- Évolution de la marge brute
- La marge brute a fluctué de manière relativement stable, passant de 76 millions en 2011 à un pic de 153 millions en 2012. Par la suite, une baisse apparaît avec des valeurs respectives de 118 millions en 2013, 106 millions en 2014, puis 104 millions en 2015. La stabilité relative de la marge brute en termes de montant, malgré la baisse du chiffre d'affaires, peut indiquer des ajustements dans la gestion des coûts ou des variations dans la structure de l'offre.
- Ratios de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer
- Le ratio de marge bénéficiaire sectorielle a connu une forte baisse entre 2011 et 2013, passant de 58,46 % à 38,19 %. Entre 2013 et 2014, une légère hausse à 46,7 % est observée, mais il redescend de nouveau à 38,95 % en 2015. Ces variations suggèrent une évolution dans la rentabilité relative de l'entreprise, avec une réduction globale de la rentabilité sectorielle sur la période analysée.
- Synthèse générale
- Globalement, l'entreprise a connu une période de croissance en termes de revenus jusqu'en 2013, suivie d'une phase de baisse. La marge brute est restée relativement stable en valeur absolue après son pic en 2012, tandis que la rentabilité sectorielle a connu une dégradation notable, avec des fluctuations et une tendance à la diminution sur la période. Ces observations reflètent une période de transition, marquée par une croissance initiale, puis par une stabilisation ou un déclin de certains indicateurs clés de performance financière.
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer: Infrastructure virtuelle VMware
31 déc. 2015 | 31 déc. 2014 | 31 déc. 2013 | 31 déc. 2012 | 31 déc. 2011 | |
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Sélection de données financières (en millions de dollars américains) | |||||
Marge brute | |||||
Revenus | |||||
Ratio de rentabilité sectorielle à présenter | |||||
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer1 |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
1 2015 calcul
Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer = 100 × Marge brute ÷ Revenus
= 100 × ÷ =
- Évolution de la marge brute
- La marge brute a connu une croissance continue sur la période, passant de 3 189 millions de dollars en 2011 à 5 780 millions en 2015. Cette augmentation indique une amélioration progressive de la rentabilité brute, témoignant d’une gestion efficace des coûts directs liés à la production ou à l'acquisition des biens et services vendus.
- Évolution des revenus
- Les revenus ont également connu une croissance constante, passant de 3 705 millions de dollars en 2011 à 6 625 millions en 2015. La tendance montre une expansion régulière de l’activité commerciale, reflet d’une augmentation des ventes ou d’une diversification des produits ou marchés.
- Ratio de marge bénéficiaire sectorielle à déclarer
- Ce ratio a maintenu une position élevée tout au long de la période, avec une valeur oscillant entre 86,07 % en 2011 et 87,25 % en 2015. La stabilité de ce ratio indique une capacité à conserver une marge bénéficiaire sectorielle élevée malgré la croissance des revenus et de la marge brute. La légère augmentation en 2012 et 2013, suivie d’une stabilisation, suggère une gestion efficace des coûts opérationnels par rapport aux revenus générés.
Revenus
31 déc. 2015 | 31 déc. 2014 | 31 déc. 2013 | 31 déc. 2012 | 31 déc. 2011 | |
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Stockage de l’information | |||||
Division du contenu d’entreprise | |||||
Sécurité de l’information RSA | |||||
Infrastructure d’information EMC | |||||
Central | |||||
EMC Information Infrastructure et Pivotal | |||||
Infrastructure virtuelle VMware | |||||
Éléments de rapprochement de corp | |||||
Consolidé |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
- Evolution générale des revenus
- Les revenus consolidés de l'entreprise ont connu une tendance globale à la hausse, passant de 20 008 millions de dollars en 2011 à 24 704 millions de dollars en 2015. Cette croissance annuelle témoigne d'une progression régulière, bien que l'augmentation ait ralenti en fin de période, avec une croissance marginale entre 2014 et 2015.
- Performance par segment
- Le secteur "Stockage de l’information" a enregistrée une croissance continue, passant de 14 684 millions de dollars en 2011 à un pic de 16 542 millions en 2014, avant de légèrement diminuer à 16 301 millions en 2015. La division "Infrastructure d’information EMC" suit une tendance similaire, avec une progression régulière de 16 173 millions de dollars en 2011 à 17 817 millions en 2014, puis une légère baisse à 17 888 millions en 2015. La "Sécurité de l’information RSA" a aussi connu une croissance constante jusqu'en 2014, atteignant 1 035 millions, avant de revenir à 988 millions en 2015.
- Perfomance de segments spécifiques
- La division "Division du contenu d'entreprise" a connu une baisse progressive, passant de 661 millions de dollars en 2011 à 599 millions en 2015, indiquant un déclin relatif dans cette activité. La section "Central" affiche une croissance notable jusqu'en 2013, avec un sommet à 309 millions, puis une baisse en 2014, et une légère reprise en 2015 à 267 millions. La contribution de "EMC Information Infrastructure et Pivotal" est également en croissance, passant de 16 303 millions en 2011 à 18 155 millions en 2015, illustrant une expansion dans ces activités.
- Segments en croissance significative
- Les revenus issus de "Infrastructure virtuelle VMware" ont connu une croissance soutenue, de 3 705 millions de dollars en 2011 à un sommet de 6 625 millions en 2015, ce qui montre une expansion accélérée dans ce domaine. La tendance indique une dynamique favorable sur cette activité spécifique, contribuant significativement à la performance globale.
- Variations inhabituelles ou données manquantes
- Une donnée notable concerne "Éléments de rapprochement de corp", qui présente une valeur négative en 2015 à hauteur de -76 millions de dollars, suggérant un ajustement ou une correction comptable à cette date. De plus, le segment "Consolidé" montre une croissance régulière, sans fluctuations majeures, corroborant une stabilité globale du résultat global sur la période.
- Résumé général
- Globalement, l'entreprise a accru ses revenus sur la période considérée, avec une croissance soutenue dans ses segments liés aux infrastructures et au stockage de l'information. La segmentation indique une concentration dans des activités technologiques en croissance, notamment dans l'infrastructure virtuelle VMware. La baisse du segment "Division du contenu d'entreprise" et la légère baisse de certains autres segments en 2015 suggèrent une redistribution ou un recentrage stratégique. La stabilité dans la croissance globale et l'importance accrue des domaines en expansion mettent en évidence une dynamique favorable, bien que la croissance ait commencé à ralentir à la fin de la période analysée.
Marge brute
31 déc. 2015 | 31 déc. 2014 | 31 déc. 2013 | 31 déc. 2012 | 31 déc. 2011 | |
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Stockage de l’information | |||||
Division du contenu d’entreprise | |||||
Sécurité de l’information RSA | |||||
Infrastructure d’information EMC | |||||
Central | |||||
EMC Information Infrastructure et Pivotal | |||||
Infrastructure virtuelle VMware | |||||
Éléments de rapprochement de corp | |||||
Consolidé |
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31).
- Évolution de la marge brute globale
- La marge brute consolidée a connu une croissance régulière entre 2011 et 2014, passant d'environ 12 169 millions de dollars à 15 249 millions. Cependant, en 2015, une légère diminution est observée, ramenant la marge à 14 991 millions, proche de celle de 2014. Cette tendance indique une croissance globale avec une stabilisation relative à la fin de la période.
- Performance par segments spécifiques
- Le segment "Infrastructure d'information EMC" a présenté une croissance continue sur la période, culminant à 10 295 millions en 2014, puis une baisse à 9 585 millions en 2015, suggérant une contraction ou une difficulté dans ce secteur spécifique en dernière année. Le segment "Informatique Infrastructure et Pivotal" a augmenté de manière constante, atteignant 10 401 millions en 2014, avant une légère baisse à 9 689 millions en 2015, marquant une tendance à la stabilité après une croissance soutenue.
- Le segment "Infrastructure virtuelle VMware" a connu une croissance forte et continues, passant de 3 189 millions en 2011 à 5 780 millions en 2015, illustrant une dynamisation significative dans ce domaine. Par ailleurs, la division "Sécurité de l’information RSA" a aussi affiché une progression notable, particulièrement entre 2011 et 2014 (+228 millions), avec une stabilisation en 2015 à 660 millions.
- En revanche, la division "Content de l’entreprise" a maintenu une marge brute relativement stable autour de 417-432 millions, avec une légère baisse en 2015. La division "Central" a fluctué modérément, passant de 76 millions en 2011 à un pic de 153 millions en 2012, avec une légère baisse ensuite.
- Les éléments de rapprochement de la société ont enregistré des valeurs négatives chaque année, avec une aggravation en 2015 à -478 millions, indiquant probablement des ajustements ou des charges relatives à la consolidation ou à des éléments exceptionnels.
- Evolution de la marge brute par secteur
- La marge brute des segments liés à l’infrastructure et à la virtualisation a connu une croissance soutenue en valeur absolue, témoignant d’une performance accrue dans ces secteurs clés. En parallèle, la marge brute de la division historique dédiée à la sécurité a également progressé, soutenue par une demande accrue dans ce domaine. La croissance globale du chiffre d’affaires en marge brute reflète une consolidation des activités et une diversification stratégique.
- Tendances générales et observations finales
- Au cours de la période analysée, l’entreprise a connu une croissance significative de sa marge brute totale, particulièrement dans ses segments liés à l’infrastructure virtuelle qui affichent une progression constante. La stabilité relative en 2015 laisse penser à un possible ralentissement ou à la fin d’un cycle de croissance dans certains secteurs, tout en maintenant une solide position dans ses segments clés. Les éléments négatifs liés aux rapprochements indiquent que des coûts ou ajustements réalisés en fin de période ont impacté négativement la marge globale.